Karine Gagnon
Journal de Québec
Dans la foulée des fusions municipales, en 2002, le service des archives de la Ville de Québec a vu ses avoirs exploser pour atteindre une dizaine de kilomètres de documents, parmi lesquels se trouvent de véritables petits trésors historiques.
Le défi des prochaines années, pour ce service, consistera à réduire la masse des documents, qui a certainement quintuplé avec les fusions. Cet effort concerne surtout les archives amassées par les plus petites villes, dont les critères de conservation étaient plus larges.
Pour vous donner une idée de la somme de documents d’archives que possède la Ville, l’équivalent de 40 années de travail accumulé serait nécessaire pour en faire le traitement, s’il était effectué par une seule personne. On parlait de 50 lors des fusions.
14 avril 2016 à 23 h 49
Je suis allé à cet entrepôt dans le cadre de mon stage en archivistique. Fort intéressant et impressionnant. J’ai d’ailleurs traité le Fonds Famille Amyot dont il est question (c’était mon mandat pour la durée du stage).
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