Source : Pierre-Paul Biron, Le Journal de Québec, le 21 mai 2017
Pointés du doigt plus souvent qu’à leur tour pour leurs problèmes mécaniques durant leur passage dans les rues du Vieux-Québec, les Écolobus auront été mal-aimés jusqu’à la fin alors qu’ils prennent aujourd’hui la rouille, entassés dans la cour d’un ferrailleur de la région, a découvert Le Journal.
C’est le triste point final d’une saga qui aura fait couler beaucoup d’encre dans la Vieille Capitale. Le recyclage des cinq derniers véhicules avait été annoncé en mars après que le RTC eut fait don de trois Écolobus au Centre de Formation Wilbrod-Bherer, mais personne n’avait pu voir comment se terminait vraiment l’histoire.
23 mai 2017 à 07 h 54
Visiblement, un achat improvisé et non adapté à nos besoins. Encore une fois, aucune imputabilité. On est au Québec après tout.
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