Gilbert Leduc
Le Soleil
(Québec) Confrontée à un manque d’espace pour garer les véhicules de ses 125 employés, M2S Électronique a eu une bonne idée. Pourquoi ne pas leur rembourser une partie du coût d’un abonnement permettant de bénéficier des services du transport collectif?
Mario Marcotte, le pdg de l’entreprise spécialisée dans l’assemblage de systèmes électroniques et électromécaniques intégrés, l’avoue. Il a frappé un noeud.
Pas un seul travailleur n’a manifesté de l’intérêt.
26 mai 2017 à 11 h 05
Ça prendrait au minimum 3 express qui partent de Pointe-Ste-Foy, terminus Charlesbourg et Beauport vers les parcs industriels. Actuellement, quelqu’un de Charlesbourg qui veut aller travailler en bus sur le boul. du parc Technologique mettra plus d’une heure de trajet (sans compter l’attente, le transfert, la marche), en faisant un crochet inutile par l’université. Belle logique. Après, on se demandera pourquoi pas plus de travailleurs ne lèvent la main.
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26 mai 2017 à 13 h 10
on déplace les emplois loin du centre ville et on crée de l’étalement urbain .
inutile de construire du logement au centre ville si les emplois ce déplace vers la périférie le centre ville va se transformé en un quartier residenciel de plus avec plus de probleme de transport.
Pour crée une ville on instale du travaille de l’activité économique au centre et les citoyens vont s’instalé tout autour.
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26 mai 2017 à 13 h 22
Désolé pour l’anglais mais c’est un excelent article
Most transit is oriented to downtown, a destination few people go to anymore as less than 8 percent of urban jobs and 1 percent of urban residences are located in central city downtowns. If you don’t want to go downtown, transit is practically useless
https://www.cato.org/blog/nine-reasons-few-americans-use-transit?utm_content=buffer67dc9&utm_medium=social&utm_source=twitter.com&utm_campaign=buffer
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26 mai 2017 à 15 h 27
Bravo pour l’initiative de payer pour l’abonnement de transport en commun. On vit présentement dans l’illogisme d’une majorité d’employeur qui finance le stationnement sans réflexion, mais peu qui offre un bonus équivalent aux employés n’utilisant pas les stationnements.
J’ai déjà eu un employeur qui me proposais de payer ma vignette de stationnement à 150$/mois, mais qui refusait de payer pour l’abonnement de TEC la moitié du prix…
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26 mai 2017 à 17 h 24
Pourtant, ils sont quand même bien désservis par les TEC. La 804 passe proche, mais il faut marcher un bon 15 minutes. Si je calcule le temps de me rendre de ma maison (Beauport), c’est 1h15. C’est sur que j’aurais de la misère à prendre la bus quand le trajet me prendrait 30 minutes maximum en auto.
C’est vraiment problématique de désservir les parcs industriels en autobus. Il y en a plusieurs éparpillés à travers de la ville. Ils sont eux-même assez étendus, de sorte que la bus doit elle-même faire une « run de lait » pour aller porter les gens proche de leur travail et leur éviter une longue marche.
Est-ce qu’on peut densifier les parcs industriels ? Généralement les entreprises qui s’y installent ont besoin d’espace. Disons que ce n’est pas facile de trouver une solution.
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27 mai 2017 à 07 h 56
les parcs industriels son pour la plupart dépourvue de trottoire qu’il faut prévoir déneiger au heure d’utilisation avant 7 heure le matin et de feu pieton au intersection
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27 mai 2017 à 23 h 16
En même temps… c’est pas pour rien qu’il en coûte plus cher du pied carré pour des locaux à Ste-Foy, centre-ville ou même Lebourgneuf, que dans la plupart des parcs industriels. C’est comme pour le résidentiel: c’est plus cher là où il y a plus de services. Je sais bien qu’on ne peut pas loger une usine de portes et fenêtres au 8e étage du Jules-Dallaire, mais c’est de même. On peut pas tout avoir, l’espace et les services sans en payer le prix.
De toute façon, à Québec la plupart des parcs industriels sont des enclaves avec peu d’accès, souvent autoroutiers ou historiquement par la voie ferrée (pour ce qu’il en reste). À part Hamel (et encore), il n’y a pas de route de plusieurs kilomètres qui traverse un parc industriel et du résidentiel/commercial/institutionnel. Autrement dit, il n’y a pratiquement pas moyen de faire des trajets d’autobus à Québec qui relient deux points importants en passant par un parc industriel « par hasard » sans faire menus détours. En fait, parcs industriels ou pas, les routes (pas autoroutes) qui traversent la ville à Québec sont rares… c’est un autre problème.
Puis les parcs industriels, par leur nature, ne sont pas assez denses pour justifier plusieurs parcours dédiés (les multiples combinaisons de plusieurs endroits vers plusieurs parcs), surtout pas hors pointe, même si un nombre raisonnable de personnes se mettaient à prendre l’autobus dans ces secteurs.
C’est dommage mais je ne vois pas de solution satisfaisante à ce problème.
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29 mai 2017 à 16 h 32
Un SRB sur Charest aurait été utile à au moins 3-4 de ces parcs industriels …
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