Comme je connais bien les initiateurs de L’Accorderie, que j’encourage vivement ce type d' »alternative », c’est avec beaucoup de plaisir que j’ai lu cet article, dimanche!
Source: Daphnée Dion-Viens, Le Soleil, 13 janvier 2008.
Vous avez besoin d’un plombier, mais redoutez une facture salée. Et si vous pouviez le payer en temps? Une heure de plomberie contre une heure de cuisine ou de jardinage. Une forme de troc rendue possible grâce aux systèmes d’échange de services. Les initiatives de ce genre se multiplient à Québec, avec la création d’un troisième réseau officiellement lancé hier. Mais les embûches sont aussi nombreuses. (…)
Les deux initiatrices du système d’échange local (SEL) Les Don’Heures en sont encore aux balbutiements de leur organisation qui ne compte pour l’instant qu’une dizaine de membres.
L’objectif : échanger des services en fonction du temps et non de l’argent. (…)
Les systèmes d’échange de services existent au Québec depuis plusieurs années. Dans la capitale, L’Accorderie fonctionne depuis 2004 et compte aujourd’hui plus de 600 membres. Un autre réseau, le Jardin d’échange universel (JEU) de Québec, regrouperait une quarantaine de personnes. (…)
Les systèmes d’échange locaux (SEL) sont basés sur un concept canadien développé à Vancouver, au début des années 80, dans les quartiers victimes de la désindustrialisation et d’une mauvaise situation économique. Aujourd’hui, on en retrouve aux quatre coins du monde : Japon, Australie, États-Unis, France, Afrique du Sud… (…)
La suite. À consulter aussi, ce billet: L’Accorderie, un réseau d’échange de services et de coopération à Québec.
16 janvier 2008 à 21 h 42
Enfin quelques choses d’intéressant qui peut permettre aux gens une certaine sorte d’entraide et d’échange en dehors du système en place.
« Mais les embûches sont aussi nombreuses. (…) »
Surtout la mentalité des gens qui est à changer…
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