Louis Gagné
Radio-Canada (Québec)
Régis Labeaume veut contrer les effets néfastes associés à la gentrification en misant notamment sur le logement social.
Le maire de Québec affirme que la revitalisation de certains secteurs a entraîné un phénomène d’embourgeoisement qui tend à repousser les populations moins favorisées vers les quartiers situés en périphérie.
Il a cité en exemple le quartier Saint-Roch, au centre-ville. L’arrivée de plusieurs entreprises œuvrant dans les nouvelles technologiques a créé un engouement pour ce secteur autrefois en déclin.
« Dans les villes technologiques ou celles qui ont réussi à transformer leur économie, où les techies sont, où les nouveaux riches sont, ç’a crée de la gentrification. Il y a des [gens] qui se déplacent à Duberger, aux Saules [où] les populations sont beaucoup plus pauvres qu’elles l’étaient », a déclaré le maire vendredi.
Vision sur l’habitation: des groupes communautaires mitigés Henri Ouellette-Vézina, Le Soleil. Une extrait: Trop souvent, selon elle, les intentions du municipal ne se convertissent pas en résultats politiques. «Quand c’est le temps de mettre une pression sur les paliers supérieurs pour que leurs programmes soient mieux financés et pour obtenir plus d’unités [de logements sociaux], on l’entend pas beaucoup le maire Labeaume», illustre-t-elle.
26 juin 2018 à 18 h 24
Quelle connerie.
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