Transport structurant: l’opposition regrette l’absence d’étude des besoins dans le document rendu public Taïeb Moalla (Journal de Québec)
Transport structurant: l’opposition regrette l’absence d’étude des besoins dans le document rendu public Taïeb Moalla (Journal de Québec)
Voir aussi : Projet - Tramway, Transport, Transport en commun.
21 janvier 2019 à 21 h 25
La vidéo de propagande du tramway est inexacte.
Le tramway y roule à 86,2 km/h. Pour être réaliste, il faut réduire la vitesse par 4… un peu plus s’il y a de la neige.
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21 janvier 2019 à 22 h 32
Cette vidéo https://www.youtube.com/watch?v=lTHfPpP9Jdw du tramway de Sapporo en hiver, permet de le voir rouler à 14,5 km/h.
Ça donne une bonne idée de la vitesse du futur transport structurant et moderne de Québec pour les 35 prochaines années. À cette vitesse, je comprends les gens de prendre leur voiture. 4G $ aux vidanges.
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22 janvier 2019 à 07 h 11
La vitesse n’est pas si importante à mon avis. L’important est de ne pas être prit dans des bouchons ou à des feux de circulation.
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22 janvier 2019 à 07 h 21
Ce sera la même technologie à Québec?
Il y aura un site propre mieux conçu?
À Québec le déneigement on maîtrise moins bien qu’à Sapporo?
Les voitures solos qui vont à peine plus rapidement, polluent moins par personnes transportées?
Combien de jours par année a-t-on ces conditions (neige sur le bord de la rue pas encore enlevée) à Québec?
Et les questions pourraient continuer. Par contre je suspecte que vous préfériez chercher les vidéos anecdotiques sur les internets au lieu de consulter les documents sérieux ou visionner les comités plénier sur le sujet.
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22 janvier 2019 à 06 h 12
Salut ! Oh toi disciple de ChoiX. Sérieusement, on s’en contre balance pas mal à combien roule le tramway dans la vidéo promotionnelle. Je ne pense pas que ça soit l’objectif qui était recherché.
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22 janvier 2019 à 07 h 36
Ne soyez pas si naïf. Un métro est le seul choix rationnel pour notre climat. Efficace, rapide, économique, durable, silencieux. Le tramway finira en disgrâce et sera un choix dispendieux pour les citoyens.
Vous manquez d’esprit critique. C’est comme si la ville utilisait les photos de Paris pour vendre notre ville aux touristes.
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22 janvier 2019 à 19 h 00
C’est qui le naïf là, vraiment…
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22 janvier 2019 à 06 h 42
» Laissez-vous porter par notre vision » est t-il écrit.
L’une des visions c’est de toujours nous montrer leurs vidéos et images par une belle journée d’été, avec ti-oiseaux, papillons, gens en bermudas et boulevards vidés des voitures. Belle utopie :-)
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22 janvier 2019 à 07 h 07
Impressionnant comme argumentaire. Chapeau! Le ministère de la propagande de nos 2 Jeff est puissant et les larbins sont au rendez-vous pour les appuyer…
Ce sera quoi le prochain commentaire? Une séance de climato-scepticisme comme à chaque année au mois de janvier ou février?
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22 janvier 2019 à 07 h 27
La cerise sur le sundae hier soir c’était d,entendre notre cher Jeff chef du groupuscule d’opposition à la Ville se plaindre des nombreux documents publiés. Sont-ce des études?
Dans le fonds notre cher Jeff ce qu’il souhaite, c’est un document qui appuiera sa position. Tout autre document, étude ou comité plénier qui ne va pas dans la direction qu’il souhaite c.-à-d. faire obstruction au Réseau structurant pour avantager son 3e lien ne pourra jamais le satisfaire. Qu’il feigne ou pas un intérêt pour un projet de métro notre cher Jeff a aucune crédibilité.
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22 janvier 2019 à 08 h 38
Insider je pense vous aller etre d’accord avec moi.
Si jf gosselin pourrait, il enlèverait tous les autobus de la ville. Les voitures en priorité et il endetterait la ville pour faire le 3ieme lien à l’est. Seule promesse de québec21!
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22 janvier 2019 à 20 h 52
Oui.
S’il pouvait il attacherait une ancre derrière chaque autobus. ;-)
Il est tellement pas crédible quand il feint s’intéresser au métro.
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22 janvier 2019 à 08 h 55
Urbanoïd Et si la ville avait choisi le métro vous seriez contre et proposeriez le tramway question de coût ….
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22 janvier 2019 à 09 h 49
M. Côté.
La question n’est pas de savoir si les « pro-tramway » refuseraient un métro. Bien évidemment, si la question n’était pas d’ordre financier, tout le monde préférerait un métro.
Ce qui est contre-productif, dans le débat des dernières semaines, c’est qu’on se sert du métro pour torpiller un projet (tramway) dont le financement va être accepté par les deux palliers de gouvernement: plutôt que de simplement s’opposer, proposer quelque chose de beaucoup plus gros et plus coûteux… mais que ni le provincial, ni le fédéral ne souhaitent financer.
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22 janvier 2019 à 21 h 01
Au contraire M. Côté! Le métro est la solution la plus économique à long terme.
Je préfère la qualité à la quantité. Un tramway est un compromis pour construire plus de kilomètres et atteindre les banlieues. Visiblement, la ville n’a pas considéré tous les frais sur 100 ans pour analyser toutes les options.
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22 janvier 2019 à 10 h 48
Le succès d’un projet de transport passe par une bonne communication à la population et la diffusion d’informations vérifiées.
Il est impératif que la ville prenne les devants à ce sujet, sinon le message reste contrôlé par l’opinion de tous et chacun, vraie ou fausse.
Quelques idées: encore plus de séances d’information publiques, une exposition d’information dans chaque arrondissement, un pavillon d’information permanent avant et pendant le chantier jusqu’à la mise en service, des feuillets d’informations, etc…
Le site web est très bien fait, c’est un bon début. J’ajouterais cependant une info-lettre à laquelle les gens pourraient s’inscrire.
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22 janvier 2019 à 12 h 04
Infolettre ? Bonne idée. J’ai partagé la suggestion avec la Ville de Québec
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22 janvier 2019 à 13 h 16
Je crois qu’une intervenante pendant le Sommet international sur la mobilité urbaine en 2017 avait abordé ce sujet en insistant sur l’importance de bien communiquer avant, pendant et après le projet.
Un autre intervenant avait aussi insisté sur l’importance d’ouvrir un canal de communication que les citoyens peuvent utiliser afin de s’ajuster et ainsi diminuer les inconvénients pendant les travaux.
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22 janvier 2019 à 13 h 40
Labeaume ? Communiquer ???
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22 janvier 2019 à 20 h 55
Pourquoi faut-il que tout commence et finisse par notre très honorable Régis? Le bureau de projet en collaboration avec la Ville et le RTC ne pourra pas communiquer?
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25 janvier 2019 à 12 h 47
@Insider: La réponse est simple: Parce que les animateurs de radios tournent tout autour de Labaume. On peut aussi dire qu’il n’a pas eu les meilleurs relations publiques. Dans tous les cas, il est devenu une légende encore en poste. Les gens rêvent (ou font des cauchemards) à lui constamment. La ville de Québec, c’est lui.
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26 janvier 2019 à 17 h 37
Où sont les 5200 pages? Où sont les études comparatives qui démontrent que le tramway serait un meilleur choix pour Québec que le métro?
Le maire joue très mal ses cartes. Il aurait été beaucoup plus simple et honnête d’admettre qu’il n’y a jamais eu d’études comparatives sérieuses des divers modes de transport parce que jamais Québec n’a eu d’indications des gouvernements supérieurs comme quoi ceux-ci auraient été disposés à financer un métro si on leur avait démontré que ce serait le meilleur choix.
Ce n’est pas Labeaume qui doit être pointé du doigt, mais bien les gouvernements supérieurs pour ne pas avoir exigé de telles études comparatives au préalable. Le maire ne fait que sauter sur l’argent. Et le PLQ, comme une girouette, a eu ses sautes d’humeur..
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27 janvier 2019 à 08 h 11
« Ce n’est pas Labeaume qui doit être pointé du doigt, mais bien les gouvernements supérieurs pour ne pas avoir exigé de telles études comparatives au préalable. »
Vous avez visionnez les vidéos du « Sommet international sur la mobilité urbaine 2017 » ? Ou encore mieux, vous y étiez?
Dites-moi sans croiser les doigts derrière votre dos qu’il y était suggéré que le métro était ce qu’il fallait privilégier pour la ville de Québec.
Dans ce contexte, les deux paliers de gouvernements auraient dû exiger de dilapider de l’argent supplémentaire afin de faire plaisir à un groupuscule de pression et notre micro opposition à la Ville. Misère!
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27 janvier 2019 à 16 h 28
Votre dernier paragraphe est un non-sens.
Primo, ce sont les gouvernements supérieurs qui vont payer la facture. Ils ne peuvent donc pas exiger de dilapider de l’argent supplémentaire. Un groupe de pression, comme « J’y vais en métro », pourrait l’exiger. À la limite, la ville aussi. Mais pas ceux qui paient la note..
Deuzio, parler de dilapidation des fonds publics pour un mode structurant de TEC ne fait pas très sérieux quand on supporte, comme vous le faites sur ce blog, le tramway. Les gens qui se seraient contentés d’un SRB pourraient vous servir votre propre médecine (qui serait ici aussi un non-sens) en disant qu’on dilapiderait de l’argent supplémentaire en passant d’un SRB à un tramway..
Les gouvernements supérieurs qui vont payer la facture auraient dû exiger de la ville qu’elle leur fournisse une étude comparative sérieuse. Et là je ne parle pas des 13 pages qui ont fait couler beaucoup d’encre récemment, et qu’un cégepien moyen aurait pu produire en quelques heures en fouillant internet, mais bien de quelque chose de beaucoup plus étoffée comme une étude coûts-efficacité.
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27 janvier 2019 à 17 h 17
« Ce n’est pas Labeaume qui doit être pointé du doigt, mais bien les gouvernements supérieurs pour ne pas avoir exigé de telles études comparatives au préalable.»
C’est vous qui avez utilisé le verbe exiger.
Faites semblant que les initiés du milieu – par exemple les experts qui étaient au sommet – ne connaissent pas déjà les conclusions d’une telle étude, c’est en ce sens qu’il s’agit de gaspillage.
Le milieu académique sait depuis fort longtemps pour quelle densité de population un métro devient rentable. Quand le groupuscule de pression cite d’autres villes avec une population comparable à Québec, prend bien soin de ne pas comparer la densité de la population. Les villes de Rennes et Lausanne ont une densité moyenne environ 4 fois plus élevée que Québec. Et ce n’est qu’un des aspects que nos gérants d’estrade omettent d’analyser.
Vous déformez mes propos en prétendant que je suggère « de dilapidation des fonds publics pour un mode structurant de TEC ». N’importe qui ayant lu un minimum de mes commentaires ici sait très bien que de prétendre ça relève du délire.
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31 janvier 2019 à 13 h 06
Voici un commentaire intéressant que j’ai lu dans le journal Le Devoir en réponse à la lettre « Le trafic induit de la caféine » que Émilie Coulombe, membre du collectif J’y vais en métro a expédiée au journal.
« Jean Richard – Abonné 31 janvier 2019 10 h 30
Mobilité et aménagement du territoire
Métro (souterrain) ou tramway ? La question est inutile aussi longtemps qu’on n’a pas encore bien compris et défini ce qu’on appelle la mobilité et l’aménagement du territoire.
Montréal a opté pour le métro, il y a plusieurs années, on pourrait dire un siècle car on en a parlé pendant 50 ans avant que la chose n’aboutisse. Ce métro est très efficace, même si certains médias sensationalistes prétendent qu’il est toujours en retard et en panne (c’est normal, ces médias vivent grâce à la pub des constructeurs automobiles). Il y a pourtant une situation à laquelle le métro n’est pas étranger : c’est que ce métro tout en souterrain a laissé la voie libre à l’automobile en surface. Pire, l’efficacité du métro et la primauté de l’automobile dans les rues ont fait en sorte qu’on a négligé les transports en commun en surface. Le tramway vétuste, on l’a mis au rancart alors qu’on aurait pu le moderniser. On a aussi mis au rancart les trolleybus, plus efficaces que les bus à batteries qu’on veut mettre en service aujourd’hui.
Ce tout-au-métro pour le collectif et le tout-à-l’auto pour l’individuel, le premier stagnant plus souvent qu’à son tour et le second progressant comme un cancer fulgurant, a fait en sorte que la mobilité n’a cessé de se détériorer. En souterrain, il y a saturation aux heures de pointe, et en surface, c’est la congestion presque 24 heures par jour. Montréal paie très cher d’avoir aussi longtemps négligé son réseau de surface. Les riverains des lignes de métro s’en tirent assez bien malgré la saturation, mais là où le métro ne se rend pas, transport collectif est synonyme de grande lenteur et de fiabilité douteuse. Alors, si on veut un métro à Québec pour refouler les usagers en souterrain afin de ne pas nuire à la circulation automobile, on répète l’erreur montréalaise. Connaissant l’amour des Québécois pour leur char, c’est un risque à ne pas prendre. »
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2 février 2019 à 10 h 32
J’ai écrit ceci: « Et ce n’est qu’un des aspects que nos gérants d’estrade omettent d’analyser. »
M. Richard a abordé 2 autres sujets.
Dans son livre Human Transit, Jarred Walker a écrit ceci:
« A core idea of this book is that we will have clearer conversations, and make better decisions. If we distinguished carefully between values and expertises and understand their interplay in our transit debates.
– What is transit’s purpose? How should we measure the results of our transit system? Ridership? Emissions? Complaints?
– What counts as adequate and useful transportation? What for example, is the minimum level of quality that transit should be aiming for?
– What kind of city do you want? Transit like all transportation infrastructure can have big impacts on the form, feel, and functioning of your city, so it’s important to understand those impacts in advance.
Experts like me can clarify these questions but shouldn’t be answering them for you. My job in this book is not to make you share my values but to give you the tools to clarify and advocate yours. You and your community, get to choose « what » you want and « why ». An expert’s job is to help with « how ». It’s a crucial distinction, one that often gets lost in transit debates. »
Bref, la population va choisir à l’aide de valeurs le genre de ville et ce que le système de transport en commun doit donner comme résultat. Vous exprimerez le « quoi » et le « pourquoi ».
L’expert vous aidera pour le « comment ».
Au Québec il y a énormément de confusion dans le débat. Pensez-vous que le groupuscule d’opposition au Conseil de la Ville exprime le « quoi » et « pourquoi »?
Notre cher Jeff, n’est-il pas beaucoup plus dans le « comment » que dans le « quoi »? A-t-il défini clairement ce que l’on souhaite comme ville et résultats du système de transport en commun?
La confusion amène un débat confus et trop souvent futile. Les rôles de chacun ne sont pas bien définis et tout s’enchaîne pour produire un débat qui dérape.
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