Source: Desautels (Radio-Canada), 28 mars 2008.
Dans le cadre de l’événement Une heure pour la Terre, des millions de personnes d’un peu partout dans le monde éteindront leurs lumières de 20 h à 21 h, heure locale, le 29 mars. L’objectif est de sensibiliser les gens à la pollution et aux changements climatiques.
Amorcé à Sydney, en Australie, l’an dernier, le projet du Fonds mondial pour la nature s’étend maintenant à des dizaines de pays, dont le Canada. Plus de 2 millions de Sydneysiders y ont participé en 2007.
Quelque 150 villes canadiennes, dont Montréal, Toronto et Vancouver, y prendront part, et 55 000 Canadiens s’y sont inscrits. À l’origine, seul un projet pilote était prévu cette année dans la Ville Reine, mais des gens de tout le pays ont voulu se joindre à l’effort. (…)
La suite. À consulter: www.earthhour.org. Aussi, ce billet: Pollution lumineuse.
29 mars 2008 Ã 12 h 23
Faudrait peut-être mettre nos priorités à la bonne place un jour au lieu de sombrer dans l’hystérie collective attisée par le battage médiatique orchestré qui manipule les conscience des gens. On ne réfléchi plus on suit une mode, un coup de coeur.
LeSoleil en page 37 aujourd’hui publie un reportage captivant et donne un rebuffade à peine voilée à l’inconscience des luttent anticlimatiques et des dommages que ces lubies écolos font aux humains. Pas en 2100, mais actuellement. Ca s’intitule «Il y a une catastrophe alimentaire en vue».
Ca rejoint le consensus de Copenhagen initié par un ex activiste de Greenpeace, Bjorg Lomborg. http://www.copenhagenconsensus.com/Default.aspx?ID=788
Ca rejoint aussi les propos de l’institut Économique Molinari dont voici un extrait :
«De très fortes manifestations se sont déroulées il y a peu au Mexique (entre 130 000 et 150 000 personnes dans les rues de Mexico le 31 janvier dernier), pour protester contre la hausse du prix du maïs américain. Cette céréale est essentielle aux Mexicains, car elle sert à confectionner les tortillas, petites galettes qui sont à la base de l’alimentation du pays. Le Mexique importe aujourd’hui 10 millions de tonnes de maïs par an. Mais, depuis la mise en place du plan Éthanol par les États-Unis, son prix s’est envolé et un nombre croissant de Mexicains éprouve de grandes difficultés à s’alimenter. On mesure donc l’ampleur des dangers nés de la fabrication de biocarburants à partir de plantes et de céréales autrefois destinées au marché alimentaire. Les politiques de « forcing » écologique entreprises dans les pays développés se payent parfois au prix fort par les populations des pays plus pauvres.»
Et ca rejoint cette lettre ouverte au secrétaire général des Nations Unies en marge de la conférence de Bali qui a été écartée du tapage médiatique organisé. Personne ne véhicule la vérité scientifique…
ADAPTONS-NOUS AU CHANGEMENT CLIMATIQUE !
Lettre ouverte au Secrétaire général des Nations Unies
Le 13 décembre 2007
Re : La conférence des Nations Unies sur le climat conduit le monde dans une très mauvaise direction
Cher Monsieur le Secrétaire général,
Il n’est pas possible d’arrêter le changement climatique, phénomène naturel qui a affecté l’humanité au fil des ans depuis très longtemps. L’histoire géologique, archéologique, orale et écrite, atteste des défis profonds qu’ont du relever les sociétés du passé lorsqu’elles ont été confrontées à des changements non anticipés de température, de précipitations, de vents, et d’autres paramètres climatiques. Il faut que les pays du monde se donnent les moyens de mieux résister à tout l’éventail des phénomènes naturels en favorisant la croissance économique et la création de richesses.
Le Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC) a divulgué des conclusions toujours plus alarmantes concernant l’influence sur le climat de dioxyde de carbone (CO2) produit par les hommes, un gaz non polluant qui est essentiel pour la photosynthèse végétale. Nous avons observé les données qui ont conduit les experts à considérer les émissions de CO2 comme nocives, et nous disons que les conclusions du GIEC ne peuvent justifier la mise en Å“uvre de politiques qui réduiront nettement la prospérité future. En particulier, il n’est pas établi qu’il soit possible de changer significativement le climat global en réduisant les émissions humaines de gaz à effet de serre. De surcroît, parce que les tentatives de réduire les émissions ralentiront le développement, l’approche des Nations Unies en matière de réduction du CO2 est à même d’accroître, et non de diminuer la souffrance humaine qui résultera des futurs changements climatiques.
Les résumés à l’intention des décideurs sont, parmi les textes du GIEC, ceux qui sont les plus lus par les politiciens et les non scientifiques, et ils sont la base de la formulation de la plupart des propositions politiques en matière de changement climatique. Ces résumés, néanmoins, sont rédigés par une équipe relativement restreinte, et leur texte final est approuvé au mot près par les représentants des gouvernements. La majorité des contributeurs du GIEC, et les dizaines de milliers d’autres scientifiques qui ont qualité pour commenter ces sujets, ne sont pas impliqués dans leur rédaction. Et les résumés ne peuvent être considérés, en ces conditions, comme le reflet d’un consensus parmi les experts.
Contrairement aux impressions données par les derniers résumés :
-Les observations récentes de phénomènes tels que le retrait des glaciers, la montée du niveau des mers et les migrations d’espèces sensibles aux températures ne signalent pas de changements climatiques anormaux, car aucune des fluctuations constatées ne se situe à l’extérieur des limites de la variabilité naturelle connue.
-Le taux de réchauffement moyen (0,1 à 0,2 degrés Celsius par décennie) enregistré par les satellites au cours de la dernière partie du vingtième siècle se situe dans les limites du réchauffement et du refroidissement naturels tels que constatés au cours des 10 000 dernières années.
-Les principales autorités scientifiques, y compris des membres éminents du GIEC, reconnaissent que les modèles informatiques utilisés aujourd’hui ne peuvent permettre de prédire le climat. En dépit des prédictions informatiques de hausses de température, et en conformité avec ce que nous venons d’écrire, il n’y a pas eu de réchauffement global depuis 1998. Que les températures actuelles se stabilisent après une période de réchauffement à la fin du vingtième siècle correspond à la continuation aujourd’hui de cycles climatiques multi décennaux et millénaires.
En contraste brut avec l’affirmation souvent répétée selon laquelle la science du climat a établi les faits de façon irréfutable, des recherches récentes et très sérieuses ont mis en doute davantage encore que ce n’était le cas l’hypothèse d’un réchauffement climatique global dangereux causé par les hommes (voir http://ipcc-wg1.ucar.edu/wg1/docs/ wg1_timetable_2006-08-14.pdf). Mais parce que les groupes de travail du GIEC ont reçu la consigne de ne prendre en compte que les travaux publiés avant mai 2005, les découvertes importantes issues de ces recherches n’ont pas été prises en compte : le dernier rapport du GIEC est, en ces conditions, d’ores et déjà concrètement périmé.
La conférence des Nations Unies sur le climat à Bali a été conçue aux fins de conduire le monde vers des restrictions drastiques d’émissions de CO2, sans que soient tirées les leçons de l’échec du protocole de Kyoto, de la nature chaotique du marché européen du CO2, et de l’inefficacité d’autres initiatives coûteuses destinées à diminuer les émissions de gaz à effet de serre. Les analyses basées sur un calcul avantage/coûts ne viennent pas justifier l’introduction de mesures globales destinées à limiter et à réduire la consommation d’énergie aux fins de réduire les émissions de CO2 . Il est, qui plus est, irrationnel de recourir au « principe de précaution » dès lors que la plupart des scientifiques reconnaissent que le réchauffement, aussi bien que refroidissement, sont des possibilités réalistes dans le moyen terme
La focalisation actuelle de l’ONU sur le « combat contre le changement climatique », illustrée par le communiqué de lancement du Rapport sur le développement humain par l’ONU le 27 novembre dernier distrait les gouvernements et les conduit à ne pas envisager une adaptation aux menaces des changements climatiques naturels inévitables et divers. Une anticipation nationale et internationale de ces changements est nécessaire, et doit être centrée sur les moyens à même de permettre aux êtres humains les plus vulnérables de s’adapter aux conditions futures. Les tentatives de prévenir le changement climatique global sont essentiellement futiles et constituent un gaspillage de ressources qui seraient mieux dépensées si elles étaient utilisées pour répondre aux problèmes réels et pressants auxquels l’humanité est confrontée.
Bien sincèrement.
Don Aitkin, PhD, Professeur, chercheur, ancien Président, Université de Canberra, Australie
William J.R. Alexander, PhD, Professeur émérite, Département.d’Ingéniérie des biosystèmes, Université de Pretoria, Afrique du Sud; membre du comité scientifique et technique des Nations Unies sur les désastres naturels, 1994-2000.
Bjarne Andresen, PhD, physicien, Professeur, Niels Bohr Institute, Université de Copenhague, Danemark.
Geoff L. Austin, PhD, Professeur, Département de physique, Université d’Auckland, Nouvelle Zélande
Timothy F. Ball, PhD, consultant en environnement, ancien Professeur de climatologie, Université de Winnipeg, Canada.
Ernst-Georg Beck, Biologiste, Merian-Schule, Fribourg, Allemagne.
Sonja A. Boehmer-Christiansen, PhD, Enseignante au Département de Géographie, Hull University, Rédactrice en chef, Energy & Environment journal, Royaume Uni.
Chris C. Borel, PhD, scientifique, Etats-Unis.
Reid A. Bryson, PhD, DSc, DEngr, ancien chercheur au Center for Climatic Research, Professeur émérite de météorologie, de géographie, et d’études environnementales, Université du Wisconsin, Etats-Unis.
Dan Carruthers, M.Sc., biologiste, consultant, spécialiste de l’écologie animale dans les régions Arctiques et Subarctiques, Alberta, Canada.
R.M. Carter, PhD, Professeur, Laboratoire de géophysique marine, James Cook University, Townsville, Australie.
Ian D. Clark, PhD, Professeur d’hydrogéologie et de paléoclimatologie, Département. de sciences de la terre, Université d’Ottawa, Canada.
Richard S. Courtney, PhD, consultant en sciences du climat et de l’atmosphère, expert au GIEC, Royaume-Uni.
Willem de Lange, PhD, Département des sciences de la terre et de l’océan, School of Science and Engineering, Université Waikato, Nouvelle Zélande.
David Deming, PhD (Géophysique), Professeur, College of Arts and Sciences, Université d’Oklahoma, Etats-Unis.
Freeman J. Dyson, PhD, Professeur émérite de physique, Institute for Advanced Studies, Princeton, New Jersey, Etats-Unis.
Don J. Easterbrook, PhD, Professeur émérite de géologie, Western Washington University, Etats-Unis.
Lance Endersbee, Professeur émérite, ancien doyen du Département d’ingéniérie, Monasy University, Australie.
Hans Erren, géophysicien et spécialiste du climat, Sittard, Pays-Bas.
Robert H. Essenhigh, PhD, E.G. Bailey Professor of Energy Conversion, Département d’ingéniérie mécanique, Ohio State University, Etats-Unis.
Christopher Essex, PhD, Professeur de mathématiques appliquées, Directeur adjoint du programme de physique théorique, University of Western Ontario, Canada.
David Evans, PhD, mathématicien, ingénieur en informatique, Directeur de « Science Speak », Australie.
William Evans, PhD, éditeur, Naturaliste, Département de sciences biologiques, University of Notre Dame, Etats-Unis.
Stewart Franks, PhD, Professeur, Hydroclimatologue, Université de Newcastle, Australie.
R. W. Gauldie, PhD, Professeur, Hawai’i Institut de géophysique et de planétologie, Ecole des sciences et technologies de l’océan, Université de Hawai’i à Manoa
Lee C. Gerhard, PhD, Scientifique émérite, Université du Kansas; ancien Directeur, Kansas Geological Survey, Etats-Unis.
Gerhard Gerlich, Professeur de physique mathématique et théorique, Institut fur Mathematische Physik der TU Braunschweig, Allemagne.
Albrecht Glatzle, PhD, Agro-Biologiste et Gerente ejecutivo, INTTAS, Paraguay
Fred Goldberg, PhD, Professeur, Institut Royal de Technologie et d’Ingéniérie mécanique, Stockholm, Suède.
Vincent Gray, PhD, expert au GIEC, auteur de The Greenhouse Delusion: A Critique of « Climate Change 2001 »,Wellington, Nouvelle Zélande.
William M. Gray, Professeur émérite, Département. de sciences de l’atmosphère, Colorado State University, directeur du Tropical Meteorology Project, Etats-Unis.
Howard Hayden, PhD, Professeur émérite de Physique, University of Connecticut, Etats-Unis.
Louis Hissink MSc, M.A.I.G., éditeur, AIG News, consultant en géologie, Perth, Australie.
Craig D. Idso, PhD, Président, Center for the Study of Carbon Dioxide and Global Change, Arizona, Etats-Unis.
Sherwood B. Idso, PhD, Président, Center for the Study of Carbon Dioxide and Global Change, Arizona, Etats-Unis.
Andrei Illarionov, PhD, Chercheur, Center for Global Liberty and Prosperity; fondateur et Directeur de l’Institute of Economic Analysis, Etats-Unis.
Zbigniew Jaworowski, PhD, physicien, Président du Conseil scientifique du Laboratoire central de protection radiologique, Varsovie, Pologne.
Jon Jenkins, PhD, MD, computer modelling -virology, Australie.
Wibjorn Karlen, PhD, Professeur émérite, Département. de géographie physique et de géologie, Université de Stockholm, Suède.
Olavi Karner, Ph.D., Chercheur associé, Département de physique atmosphérique, Institut d’astrophysique et de physique de l’atmosphère, Toravere, Estonie
Joel M. Kauffman, PhD, Professeur émérite de chimie, University of the Sciences, Philadelphie, Etats-Unis.
David Kear, PhD, géologue, ancien Directeur Général, Department. of Scientific & Industrial Research, Nouvelle Zélande.
Madhav Khandekar, PhD, ancien chercheur à Environment Canada; Rédacteur en chef, Climate Research (2003-05); membre du bureau de Natural Hazards; expert au GIEC, 2007, Canada.
William Kininmonth M.Sc., ancien chef de l’Australia National Climate Centre, consultant pour la Commission de climatologie de l’Organisation météorologique mondiale, Australie.
Jan J.H. Kop, MSc, Professeur émérite d’ingéniérie en santé publique, Université technique de Delft, Pays-Bas.
R.W.J. Kouffeld, Professeur émérite, Conversion de l’énergie, Université technique de Delft, Pays-Bas.
Salomon Kroonenberg, PhD, Professeur, Département de géotechnologie, Université technique de Delft, Pays-Bas.
Hans H.J. Labohm, PhD, économiste, ancien conseiller au Clingendael Institute, Pays-Bas.
Lord Lawson of Blaby, économiste; Président du Central Europe Trust; ancien Chancellor of the Exchequer, Royaume-Uni.
Douglas Leahey, PhD, météorologue et consultant en qualité de l’air, Calgary, Canada.
David R. Legates, PhD, Directeur, Center for Climatic Research, University of Delaware, Etats-Unis.
Marcel Leroux, PhD, Professeur émérite de climatologie, Université de Lyon, ancien directeur du Laboratoire de climatologie et de risques environnementaux au CNRS, France.
Bryan Leyland, International Climate Science Coalition, consultant et ingénieur en énergie, Auckland, Nouvelle Zélande.
William Lindqvist, PhD, consultant en géologie, Californie, Etats-Unis.
Richard S. Lindzen, PhD, Alfred P. Sloan Professor of Meteorology, Département des Sciences de la terre et de l’atmosphère, Massachusetts Institute of Technology, Etats-Unis.
A.J. Tom van Loon, PhD, Professeur de géologie, Université Adam Mickiewicz, Poznan, ancien président de l’European Association of Science Editors, Pologne.
Anthony R. Lupo, PhD, Professeur de sciences de l’atmosphère, Department. of Soil, Environmental, and Atmospheric Science, Université du Missouri, Etats-Unis.
Richard Mackey, PhD, Statisticien, Australie.
Horst Malberg, PhD, Professeur de météorologie et de climatologie, Institut fur Meteorologie, Berlin, Allemagne.
John Maunder, PhD, Climatologue, ancien Président de la Commission for Climatology de la World Meteorological Organization (89-97), Nouvelle-Zélande.
Alister McFarquhar, PhD, économie internationale, Downing College, Cambridge, Royaume-Uni.
Ross McKitrick, PhD, Professeur, Département d’économie, University of Guelph, Ontario, Canada.
John McLean, PhD, analyste de données climatologiques, chercheur en informatique, Australie.
Owen McShane, PhD, économiste, directeur de l’International Climate Science Coalition, Directeur, Centre for Resource Management Studies, Nouvelle Zélande.
Fred Michel, PhD, Directeur, Institute of Environmental Sciences, Professeur de sciences de la terre, Carleton University, Canada.
Frank Milne, PhD, Professeur, Département d’économie, Queen’s University, Canada.
Asmunn Moene, PhD, ancien Directeur du Centre de prévision, Institut de Météorologie, Norvège.
Alan Moran, PhD, Economiste en énergie, Directeur de la IPA’s Deregulation Unit, Australie.
Nils-Axel Morner, PhD, Professeur émérite Paléogéophysique et Géodynamique, Université de Stockholm, Suède.
Lubos Motl, PhD, Physicien, Université Charles, Prague, République tchèque.
John Nicol, PhD, Professeur émérite de physique, James Cook University, Australie.
David Nowell, M.Sc., Chercheur à la Royal Meteorological Society, ancien président du Groupe météorologique de l’OTAN, Ottawa, Canada.
James J. O’Brien, PhD, Professeur émérite, météorologie et océanographie, Florida State University, Etats-Unis.
Cliff Ollier, PhD, Professeur émérite (Géologie), Research Fellow, University of Western Australia, Australie.
Garth W. Paltridge, PhD, physique de l’atmosphère, Professeur émérite, ancien Directeur de l’Institute of Antarctic and Southern Ocean Studies, University of Tasmania, Australie.
R. Timothy Patterson, PhD, Professeur, Département. de Sciences de la terre (paléoclimatologie), Carleton University, Canada.
Al Pekarek, PhD, Professeur de géologie, Département de sciences de la terre et de l’atmosphère, St. Cloud State University, Minnesota, Etats-Unis.
Ian Plimer, PhD, Professeur de géologie, School of Earth and Environmental Sciences, Université d’Adelaide, Professeur émérite de Sciences de la terre, Université de Melbourne, Australie.
Brian Pratt, PhD, Professeur de géologie et de sédimentologie, Université du Saskatchewan, Canada.
Harry N.A. Priem, PhD, Professeur émérite de géologie planétaire et de géophysique, Université d’Utrecht, ancien Directeur de l’Institut de Géosciences, Pays-Bas.
Alex Robson, PhD, Economiste, Australian National University, Australie.
Colonel F.P.M. Rombouts, Responsable de la sûreté et de la qualité de l’environnement, Royal Netherland Air Force, Pays-Bas.
R.G. Roper, PhD, Professeur émérite de sciences de l’atmosphère, Georgia Institute of Technology, Etats-Unis.
Arthur Rorsch, PhD, Professeur émérite, Génétique moléculaire, Leiden University, Pays-Bas.
Rob Scagel, M.Sc., spécialiste des microclimats, consultant, Pacific Phytometric Consultants, Canada.
Tom V. Segalstad, PhD, (Géologie/Géochimie), directeur du Musée de géologie, Professeur de géologie environnementale, Université d’Oslo, Norvège.
Gary D. Sharp, PhD, Center for Climate/Ocean Resources Study, Salinas, Californie, Etats-Unis.
S. Fred Singer, PhD, Professeur émérite de sciences de l’environnement, University of Virginia ; ancien directeur du Weather Satellite Service, Etats-Unis.
L. Graham Smith, PhD, Professeur, Département. of géographie, University of Western Ontario, Canada.
Roy W. Spencer, PhD, climatologiste, chercheur, Earth System Science Center, University of Alabama, Huntsville, Etats-Unis.
Peter Stilbs, TeknD, Professeur de chimie physique, Ecole de sciences chimiques, KTH (Institut royal de Technologie), Stockholm, Suède.
Hendrik Tennekes, PhD, ancien Directeur de recherche, Royal Netherlands Meteorological Institute, Pays-Bas.
Dick Thoenes, PhD, Professeur émérite d’ingéniérie physique, Eindhoven University of Technology, Pays-Bas
Brian G Valentine, PhD, PE (Chem.), Technology Manager -Industrial Energy Efficiency, Department of Energy, Washington, DC, Professeur de sciences, University of Maryland at College Park, Etats-Unis.
Gerrit J. van der Lingen, PhD, géologue et paléoclimatologue, consultant en changement climatique, Geoscience Research and Investigations, Nouvelle-Zélande.
Len Walker, PhD, Ingénieur en énergie, Australie.
Edward J. Wegman, PhD, Department of Computational and Data Sciences, George Mason University, Virginie, Etats-Unis.
Stephan Wilksch, PhD, Professeur de gestion et de technologies de l’innovation, Université de technologie et d’économie, Berlin, Allemagne.
Boris Winterhalter, PhD, ancien chercheur, Geological Survey of Finland, ancien professeur de géologie marine, Université d’Helsinki, Finlande.
David E. Wojick, PhD, P.Eng., consultant en énergie, Etats-Unis.
Virginia Raphael Wust, PhD, chercheuse, Sédimentologie et géologie marine, James Cook University, Australie
A. Zichichi, PhD, Président de la Fédération mondiale des Scientifiques, Genève, Suisse, Professeur émérite de Physique, Université de Bologne, Italie.
(Copie transmise aux chefs d’Etat des pays dont les signataires sont citoyens).
Alors si ca vous a pris une heure pour lire tout ceci avec les référence à des sites internets, vous venez de prendre conscience qu’il faut réfléchir avant d’agir à tout ce qui se colporte pour manipuler les esprits…
À l’heure où la neige nous tombe sur notre tête encore, il est temps de choisir entre la survie de l’humanité en lui procurant la nourriture en abondance, de l’eau pour l’abreuver, des soins adéquats et de l’énergie pour son comfort dans les jours froids à l’abri dans sa maison. D’autres préfèrent des luttes chimériques sans issues où l’on s’apprauvrit et s’autodétruit sans se soucier du prix exorbitant des conséquences de nos actes. Certains en paye déjà la facture, 73 millions d’humains meurent de faim actuellement. L’Hystérie kyotiste n’attend pas 2100 pour faire ses premières victimes.
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29 mars 2008 Ã 13 h 25
Les bérets blancs de la nouvelle religion sont à l’oeuvre avec un autre geste futile et inutile. Alors saluons leur nouveau slogan : VERT DEMAIN…
Pendant ce temps je lis dans le Soleil d’aujourd’hui, en regardant tomber la neige icessante, un reportage en page 37: «Il y a une catastrophe alimentaire en vue». Nos écolos se sont t’il trompés dans leur croisade ???
La lutte au pétrole et son remplacement par le bioénergie fait 73 millions de vioctime dans le monde. Ca doit être que les écolos nous conduisent vers un monde meilleur.
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29 mars 2008 Ã 13 h 28
Je lis aussi un autre article de l’Institut économique Molinari qui va dans le même sens dont voici un extrait:
«De très fortes manifestations se sont déroulées il y a peu au Mexique (entre 130 000 et 150 000 personnes dans les rues de Mexico le 31 janvier dernier, pour protester contre la hausse du prix du maïs américain. Cette céréale est essentielle aux Mexicains, car elle sert à confectionner les tortillas, petites galettes qui sont à la base de l’alimentation du pays. Le Mexique importe aujourd’hui 10 millions de tonnes de maïs par an. Mais, depuis la mise en place du plan Éthanol par les États-Unis, son prix s’est envolé et un nombre croissant de Mexicains éprouve de grandes difficultés à s’alimenter. On mesure donc l’ampleur des dangers nés de la fabrication de biocarburants à partir de plantes et de céréales autrefois destinées au marché alimentaire. Les politiques de « forcing » écologique entreprises dans les pays développés se payent parfois au prix fort par les populations des pays plus pauvres.»
Pas de problème Al Gore ne s’appauvrit pas, il empoche les crédules manipulés par ses mensonges dérangeants au point de créer une hystérie collective.
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29 mars 2008 Ã 13 h 39
Je pourrais parler du Consensus de Copenhage qui abonde dans le même sens et qui a été rédigé par un ancien activiste de Greenpeace, Bjorn Lomborg.
Voir : http://www.copenhagenconsensus.com/Default.aspx?ID=788
Mais déjà ne suis l’infidèle, le proscrit, le sceptique, le mouton noir des adeptes du kyotisme.
Au fait, comment cava nous couter de diminuer de 33% nos émissions canadienens en 4 ans ? Alors qu’elles ont augmenté dans les 16 années antérieures malgré tous les efforts consentis. À moins de cesser toute activité économique, je n’en vois pas l’issu. Quand je pense à Jordi Bonnet et à sa phrase qui a fait tant jaser…
Comment 35 pays induistrialisés signataires du protocole de Kyoto qui ne sont pas les plus pollués du monde peuvent régler le problème des autres pays non signataires qui émettent à eux seuls 75% des émissions ?
Pourquoi toutes les autres planètes se réchauffent en même temps que la terre ???
Y a t’il eu depuis la création de la planète d’autres cycles de refroissement et de réchauffement qui se sont passés avant l’arrib vée de l’homme ?
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29 mars 2008 Ã 19 h 50
La voiture électrique est commercialisée en Europe car les distances sont courtes et la batterie a une autonomie de charge de 150Km. La Cleannova est le résultat des recherches d’Hydro-Québec qui s’est associé au fabricant d,avion francais Marcel Dasseault.
D’asilleurs tout ce qui se fait en Europe se retrouve sur ce site http://www.clean-auto.com/
Quand aux biocarburants ce sont les groupes écolos qui ont accroché le grelot. Arrêtez de vous sauver de vos mauvais coup. A foerce de faire pression sur le gouvernement du Québec, le ministère de l’enbvironnement est en train de dépenser des centaines de millions dans une usine d’Éthanol sur la rive sud de Montréal et Equirterre et Gereeanpeace onrt appludi le plan vert Béchard. Si kje me sousiens bien, Steven Guilbeault le leag<der de Greenpeace rendu chez Équiterre se poromenait la main dans la main avec Claude Béchard à Noaïrobi. Et de temps en temps fraternisait avec Stéphane Dion qui a même jonglé pour le présenter dans Westmount tellement ils étaient prtoche. Au fait, Monsieur Guibault détient un bac. mineur en théologie, de quoi fonder une secte religieuse… VERT DEMAIN, le slogan pour les pélerins d’un monde meilleur…
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29 mars 2008 Ã 22 h 19
L’augmentation du prix du maïs, elle est dûe au plan de Bush pour que l’éthanol constitue 10% de l’essence utilisée par les américains je ne sais plus en quelle année. Ça n’a rien à voir avec les écolos (qui ont toujours affirmé que l’éthanol à base de maïs n’était pas une bonne solution), mais plutôt avec un effort visant à rendre les États-Unis moins dépendants du pétrole. Bush a sauté sur l’occasion du « Vert à la mode », tout comme le gouvernement du Québec, afin de faire passer ça à la population comme étant une mesure écolo.
Si le gouvernement écoutait les pressions des écologistes, ils investiraient plutôt dans le transport en commun.
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30 mars 2008 Ã 07 h 13
@Fernand Trudel,
…… « Faudrait peut-être mettre nos priorités à la bonne place un jour au lieu de sombrer dans l’hystérie collective attisée par le battage médiatique orchestré qui manipule les conscience des gens. On ne réfléchi plus on suit une mode, »
Tellement bon de vous lire ( commentaires pensés, sensés, intelligents ) que çà me donne le goût de revenir plus souvent sur ce site.
En espérant que certains habitués de ce blogue liront et reliront encore ces premières lignes de votre texte…. du moins avant de poster un commentaire.
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30 mars 2008 Ã 09 h 31
« Faudrait peut-être mettre nos priorités à la bonne place un jour au lieu de sombrer dans l’hystérie collective attisée par le battage médiatique orchestré qui manipule les conscience des gens. On ne réfléchi plus on suit une mode, un coup de coeur. »
Je vous retourne cette réflexion… en voyant la difficulté des gens de changer de paradigme, je considère que ce paragraphe pourrait tous aussi bien s’appliquer a votre «  »apparente » » difficulté a accepter que nos modes de vies doivent changer autant pour notre bien que celle de la planète !
Si je comprend bien, vous semblez croire ce qui se dit dans les médias…
« Pourquoi toutes les autres planètes se réchauffent en même temps que la terre ??? »
D’où vous sortez cela ?
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30 mars 2008 Ã 13 h 43
C’est d’un ridicule incroyable.
Sauf ceci:
Est-ce que la solution de l’éthanol est bonne? NON! D’ailleurs au Québec le prix du blé augmente considérablement parce que les provinces des Prairies consacrent des champs blés à des nouveaux champs de maïs destinés à l’éthanol. Ma boulangerie sur Honoré-Mercier à d’ailleurs augmentés tout ses prix de 25% et les pâtes devraient augmentées de beaucoup dans les prochaines semaines (ceci dit, allez donc faire votre épicerie tout de suite, en autobus de préférence).
Pour le reste, c’est de la foutaise. Des gens qui préfèrent ne pas y croire parce que c’est plus facile. Et de toute façon ce sont surtout les jeunes et les baby boomers branchés qui parlent d’écologie (les fatiguants!). On les aiment pas eux, ils dérangent trop nos vies simples et conservatrices bien rangées.
« -Les observations récentes de phénomènes tels que le retrait des glaciers, la montée du niveau des mers et les migrations d’espèces sensibles aux températures ne signalent pas de changements climatiques anormaux, car aucune des fluctuations constatées ne se situe à l’extérieur des limites de la variabilité naturelle connue. »
Quoi? Voyons c’est une joke! Radio-Canada annonçait cette semaine qu’en 2007 TROIS FOIS LA SUPERFICIE DE L’ALLEMAGNE a fondue en Arctique…. « ça c’est normal… » Ben ouais! Fait moi avaler ça, c’est aussi crédible que Vincent Lacroix.
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30 mars 2008 Ã 13 h 45
Je vous invite à regarder l’évolution de la fonte de l’Arctique sur cette carte.
http://en.wikipedia.org/wiki/Image:2007_Arctic_Sea_Ice.jpg
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30 mars 2008 Ã 19 h 35
L’astrophysicien familier avec els question de changement cliamatiques et écologiste à ses heures en moi voudrait faire quelques commentaires:
-Les autres planètes se réchauffe: C’est faux, et c’est certainement pas le Soleil eui en est la cause car sa luminosité n’a pas varié pendant les 30 dernières années.
-Les écologistes ont poussé l’éthanol: Faux. Ce sont els agriculteurs qui ont pensé faire une coup d’argtent avec cà . à la table nationale des groupes écologistes, cette option a été rejetée d’emplée.
-Les pays signataire de Kyoto, compte pour au moins 50% des émissions polluantes. C’était un critère pour que le traité entre en vigueur,
-Contrairement aux prétention de certains, le Canada n’a rien fait pour réduire ses émissions de gaz à effet de serres. C’est une des principales raison spourquoi on est à 33% au dessus des objectifs de Kyoto.
-D’autres pays qui ont fait de vrais efforts ont vu leur production de GES diminuer: Grande-Bretagne, Allemagne en autres.
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30 mars 2008 Ã 21 h 17
@ Yvan Dutil
A propos de l’éthanol, je reviens d’un voyage au Brésil. Là -bas, comme au Mexique d’ailleurs, la culture du maïs afin de le vendre aux raffineries d’éthanol fonctionne à plein régime. Mais c’est ce qui semble permettre aux gens de sortir d’un niveau de vie dont on a peu l’idée ici…
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31 mars 2008 Ã 00 h 45
… et on ne parle pas de la forêt amazonienne qui est rasée pour produire l’éthanol. C’est pas joli sur le bilan de GES!
Mais je ne voudrais pas blâmer ceux qui tentent simplement de se sortir de la misère. D’une part, si les autres pays (incluant nous-même) ont « pu » dévaster leurs forêts au cours des derniers sièlces et en tirer un avantage économique, pourquoi pas eux? D’autre part, il faudrait plutôt pointer du doigt ceux qui leur demandent de produire de telles ressources, par le simple fait d’en acheter (ça inclut encore nous-même, directement ou indirectement, qu’on en achète là ou ailleurs, considérant que le marché du maïs et de l’éthanol en est un mondial).
Et pour revenir au sujet, les histoires de jouer avec nos lumières, ça ne me dit pas grand chose. D’ailleurs, j’y pense, s’il avaient vraiment voulu réussir leur coup avec les lumières au Québec, ils auraient pu engager Jean-Marc Parent comme mascotte.. Allez tout le monde, on flaschshh nos lumières!
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31 mars 2008 Ã 06 h 07
Gérard: Au Brésil, ils ne cultivent pas le maïs, mais la canne à sucre. Il ne semble pas que l’on puisse comparer le taux de production d’éthanol à base de canne à sucre avec l’éthanol produite à base de maïs. Les conditions climatiques entre le Brésil et les prairies américaines sont aussi forts différentes.
Pour ce qui est du contre-argument à l’effet que la plantation de la canne-à -sucre pour l’éthanol au Brésil détruit la forêt amazonienne, ils se trompent de cible, car la forêt amazonienne ne fait pas un bon sol pour la canne à sucre: les nutriments sont trop rapidement drainés et le sol devient infertile après une courte période de temps. Le problème est davantage lié à l’élevage du boeuf, les zones déforestés servant principalement au paturage.
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31 mars 2008 Ã 06 h 55
Effectivement, le Brésil utilise la canne à sucre pour produire son éthanol, ce qui est beaucoup plus efficace que les graines. Ceci dit, avec des math de niveau primaire on peut facilement montrer que la production potentiel de biocarburant est marginale par rapport aux besoins.
Pour ce qui est du dévellopement par la destruction des forêts. Mis à part les pays du tiers monde comme le Québec, on évite la déforestation. Des pays comme l’Allemagne et le Japon, on mis en place des programmes de protection des forêt au Moyen-Âge qui ont donné des très bon résultat. De plus, il y a plusieurs pays d’Afrique qui une plus grande fraction de territoire protégés que le Québec.
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31 mars 2008 Ã 07 h 10
Oups. Excusez-moi pour l’erreur relativement au maïs. Pourtant, je me suis promené au milieu de plantations de….canne à sucre!
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31 mars 2008 Ã 08 h 15
@Ludovic : merci pour les précisions.
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31 mars 2008 Ã 10 h 40
Voilà le genre de geste ridicule qui enlève de la crédibilité aux écolos.
– – – – –
Voila aussi une petite nouvelle/sondage dans Le Soleil qui est sortie aujourd’hui.
http://www.cyberpresse.ca/article/20080331/CPSOLEIL/80331011/6907/CPSOLEIL
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31 mars 2008 Ã 19 h 13
Il est vrai qu’il existe un réchauffement naturel sur terre. Mais cela ne justifie absolument en rien de laisser l’Homme émettre davantage de gaz à effet de serre. Nous ne ferions qu’accroître les risques d’un changement climatique encore plus brusque et coûteux. Et bon sens, nous n’avons qu’une planète!!! Ne prennons pas trop de risques.
Ceux qui résistent aux politiques environnementales sont soit des polémistes en mal d’attention, soit des idéologues autistiques, soit des partisants politiques protégeant leurs intérêts, soit des gens travaillant pour l’industrie pétrolière. Y’a une personne plus haut qui fait partie d’une de ces 4 catégories. Ainsi que la pléiade d’intellos qu’il cite.
On peut toujours questionner l’efficacité d’une mesure ou d’une autre, ce que je fais moi même souvent, mais au delà à dire qu’il est mieux de tout laisser aller, sans restriction, FOUTAISE.
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1er avril 2008 Ã 18 h 46
Au lieu de demander de nouvelles sources d’énergie pouvant remplacer celle actuellement utilisée, la gogauche écologiste désire plutôt une grande noirceur… comme en Corée du Nord.
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5 avril 2008 Ã 17 h 13
dans cette hystérie collective on a une autre un peut débile : la pollution lumineuse.. ci vous ne voulez pas de lumière déménager en forêt et crisser nous la paix..
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6 avril 2008 Ã 11 h 09
Les astronomes amateurs sont donc « un peu débiles » pusique « l’hystérie » semble bien partagée dans ces milieux. Vous pouvez peut-être aller dans la forêt boréale mais nous autres Européens, quoique fascinés par le Sahara, n’avons peut-être pas forcément envie d’y déménager pour la seule raison de contenter les lubies d’élus tenant mordicus à illuminer leurs monuments toute la nuit. Par ailleurs la lutte contre la pollution lumineuse a déjà fait faire des économies à des industriels qui en ont profité pour remplacer leur éclairage.
En ce qui concerne le climat je propose :
Quelques Vérités sur la Planète 2.0
Assortiment d’assertions, par les FF(*) Associés
– RCA = Réchauffement Climatique Anthropique. Une intox, une imposture, une religion basée sur l’exploitation des peurs. Constitue le Politiquement Correct, la Pensée Unique(**) du moment.
– Réchauffement climatique : A peut-être lieu, peut-être pas, de toute façon, S’Est-Arrêté-En-1998. Naturel et bénin voire bénéfique, pas comme le refroidissement (voir Refroidissement Global-1).
– GIEC = Groupe Intergouvernemental d’Etude sur le Climat. Autrement dit : le Soviet Suprême ; Big Brother ; L’Unique Source de Désinformation ; L’Eglise du Réchauffement Climatique Anthropique (RCA).
– Al Gore = Algore, Agent du GIEC. Ancien vice-président des Etats-Unis, preuve de son hypocrisie. Excellent client de nombreux fournisseurs d’électricité. Pratique la simonie, comme son Eglise le lui permet : achète des indulgences de reboisement.
– La Vérité qui Dérange = Film de propagande du GIEC réalisé et diffusé par Algore à grand renfort de publicité subventionnée par le contribuable.
– Scientifiques reconnaissant le RCA = Alarmistes, Scientifiques du GIEC, Gourous du RCA.
– Personnes reconnaissant le RCA = Le Troupeau (du RCA).
– Discours reconnaissant le RCA = une Mantra du RCA.
– Discours reconnaissant le RCA = Dernier avatar des discours malthusiens et catastrophistes. Est appelé à se révéler faux, comme les précédents.
– Trou d’ozone, appauvrissement de la couche d’ozone : Phénomène naturel observé dès 1956 par les Français (ccrc) et 1958 par les Anglais (bh) en des lieux opposés de l’Antarctique (vérité censurée). Cause inconnue. Sûrement la contribution du chlore d’un volcan stratosphérique, dont une seule éruption suffit à envoyer plus de 1000 fois le chlore contenu dans la totalité de la production de CFC depuis le début de l’ère industrielle. Peut-être aussi les radicaux NOx créés par les effets électromagnétiques du Soleil (voir “Le Soleilâ€?).
– Théorie du trou d’ozone anthropique = Avatar précédent de discours apocalyptique, consensus scientifique des années 1980. A remplacé l’intox du refroidissement global (voir Refroidissement Global). A été démenti (vérité censurée) mais comprend encore des croyants car il a été utilisé opportunément par les industriels des CFC (voir Protocole de Montréal). Devinez qui est chargé de psalmodier la mantra du Trou d’Ozone ? Le GIEC, bien entendu! Gare à vos financements si vous exprimez un quelconque désaccord !
– Protocole de Montréal = Traité frauduleux, basé sur une science douteuse (voir ci-dessus), mais signé sous la contrainte des puissants industriels des CFC dont les brevets étaient sur le point de tomber dans le domaine public (vérité censurée).
– Protocole de Kyoto = Traité frauduleux, basé sur une science douteuse. Toutefois, toujours pas ratifié par les Etats-Unis grâce à la courageuse résistance de quelques individus au Politiquement Correct, mais pour combien de temps ? (voir Exxonmobil)
– Refroidissement Global-1 = Futur changement climatique (vérité censurée). Sera terrible, comme le montrent de nombreuses chroniques historiques. Beaucoup de civilisations y ont disparu, et il faudra s’y préparer. On sera alors reconnaissant de nos émissions présentes de CO2… quoique celles-ci aient un impact minime (voir Contribution anthropique).
– Refroidissement Global-2 = Ancien avatar des discours catastrophistes, consensus scientifique des années 1970, à la mode simultanément avec l’hiver nucléaire, l’épuisement des ressources, la bombe à retardement démographique,… qui se sont tous révélés faux.
– Discours niant le RCA = Vérité censurée.
– Discours répétitif niant le RCA = Vérité censurée, mais gagnant en audience et en crédibilité parmi les personnes encore libres.
– MWP = Terme en anglais pour “Période chaude médiévaleâ€?, bien plus chaude que maintenant (vérité censurée), allant des Vikings (800) au navigateur chinois Zheng He (1420) qui s’est promené au nord du Groenland. Période causée par les 4_4 de Charlemagne, selon les alarmistes (voir 4_4)!
– Reconstructions passées de température = La-Crosse-De-Hockey-Est-Brisée.
– Crosse de hockey = Totem brisé des croyants du RCA. Sa chute a entraîné la destruction complète de la théorie du RCA (vérité censurée).
– Ours polaires = Autre totem, plus émotionnel celui-là , des croyants du RCA. En réalité leur nombre augmente actuellement (vérité censurée).
– Vapeur d’eau = 95-98% du Réchauffement Climatique, 99.999999% naturel (vérité censurée).
– Le Soleil = Le Soleil Tout-Puissant, agent dominant et capricieux de tous les climats du passé, du présent et du future, de l’évolution de la couche d’ozone,… mais qui ne peut procurer de l’énergie de manière fiable qu’à des prix exorbitants que seuls les bobos-écolos les plus riches et les plus portés vers le Politiquement Correct peuvent se permettre !
– Panneaux solaires = Signe extérieur de richesse dans une société dominée par le Politiquement Correct.
– Pays sous-développés = Exclus du développement à cause des réglementations sur l’environnement. Mais un jour, dans pas trop longtemps, un de ces pays s’éveillera, résistera résolument au dogme imposé par le GIEC, et alors-là tout ce château de cartes tremblera !!!
– Les pauvres = Victimes des réglementations sur l’environnement, pour autant, responsables de leur pauvreté.
– Nature = Capricieuse et imprévisible. Pour autant, elle renferme des ressources illimitées pour n’importe lequel de nos besoins !
– Contribution anthropique = Toujours minuscule (vérité censurée).
– Théorie du Pic du Pétrole = Une imposture, mais qui peut être opportunément utilisée pour contrer les gourous du RCA au sujet des scenarios catastrophistes du GIEC.
– Croyants au Pic du Pétrole = Crétins utiles (voir ci-dessus).
– Incertitudes = Surestimation de la contribution anthropique.
– Grandes incertitudes = Enorme surestimation de la contribution anthropique.
– Incertitudes = Egale crédibilité de toute assertion… quoique certaines soient plus égales que d’autres (voir ci-dessus).
– Incertitudes = Peut-être, peut-être pas… Pourquoi se faire du souci ?
– Incertitudes = Juste une question d’opinion. De “il dit, elle ditâ€?.
– Erreur = Mensonge, imposture, fraude.
– Faux = Mensonger, frauduleux.
– Modèles = Préciser SVP : Top Models ou Modèles du GIEC (voir ci-dessous).
– Modèles du GIEC = GIGO (Garbage in, garbage out).
– Modèles du GIEC = Logiciels installés sur les ordinateurs du GIEC afin de fabriquer l’imposture du RCA.
– Validation des modèles (du GIEC) = Ajustement fin des logiciels afin de régler le montage des jolies images projetées dans La Vérité qui Dérange (voir La Vérité qui Dérange).
– Aérosols = Grandes incertitudes au sujet de leur effet (voir Incertitudes). Utilisés comme un paramètre d’ajustement dans les modèles du GIEC.
– Climats de Pluton, Triton, Jupiter = Réchauffement Global sans 4_4 (C’est Le Soleil, idiot !)
– 4_4, ou aussi SUV (Sport Utility Vehicle). Véhicule des gens libres. Différents modèles (oui, des modèles de voitures, ressemblant bien plus à des Top Models qu’à des modèles du GIEC !), du Hummer à des versions plus ordinaires. Hélas, cet adorable engin est constamment accusé par les alarmistes comme étant la cause principale du RCA.
– Climat de Mars = RCA causé par deux 4_4, selon les alarmistes.
– Spirit = Contribue à 50% du RCA de Mars, selon les alarmistes.
– Opportunity = (Voir Spirit).
– CO2 = L’unique cause du RCA, abondamment produit par les 4_4, selon les alarmistes.
– CO2 = Toujours La Vie.
– Augmentation de la concentration atmosphérique du CO2 = Le désir de C. Keeling pris pour une réalité (voir ci-dessous).
– Augmentation de la concentration atmosphérique du CO2 = Dégazage de l’océan ; éruptions volcaniques ; Respiration ; fonte du permafrost ; feux de brousse naturels,…le moindre hoquet d’une seule de ces sources excède toutes les émissions anthropiques de CO2 depuis le début de l’ère industrielle. Mais le GIEC, sourd et aveugle, base tous ses modèles sur le présupposé, dont la preuve fait notoirement défaut, que l’augmentation de la concentration atmosphérique du CO2 est réelle et d’origine humaine. Quel orgueil!
– Charles Keeling = Un agent du GIEC, qui a inventé une mesure biaisée des concentrations atmosphériques de CO2 afin de faire croire à une augmentation réelle.
– Méthane = Flatulences de bovidés. Par conséquent, c’est une cause naturelle du réchauffement climatique, ce ne sont pas les 4_4.
– Méthane = Sa concentration s’est stabilisée dans l’atmosphère, pour des raisons naturelles. Est amenée à décroître, pour des raisons naturelles (voir Nature). Preuve s’il en est que les alarmistes ont tort, comme toujours.
– Carottes glaciaires = Prouvent que l’augmentation de la concentration du CO2 atmosphérique est toujours causée par l’augmentation de température et que, par voie de conséquence logique, le CO2 ne peut avoir aucun effet sur la température. Pour autant, elles ne sont pas fiables pour reconstruire les concentrations de CO2 du passé.
– Stomata des feuilles = Méthode fiable pour reconstruire les concentrations de CO2 du passé, tant qu’elle montre que lors de la Période Chaude Médiévale et à l’époque romaine ceux-ci étaient plus élevés qu’à présent. Par conséquent, Charlemagne possédait un 4_4, selon les alarmistes.
– Satellites, ballons météorologiques = Fiables pour mesurer les températures globales… tant qu’ils montrent qu’il n’y a pas de réchauffement.
– Les satellites indiquent désormais un réchauffement = Leurs données ont été corrigées afin de s’ajuster aux modèles du GIEC (voir ci-dessus). Sûrement à la demande expresse de ce dernier, sous peine de se voir couper les vivres !
– Mesures de température à la surface de la terre = Non fiables, mal calibrées, polluées par l’effet des îlots de chaleur urbaine,… sauf pour montrer que Le-Réchauffement-Global-S’Est-Arrêté- En-1998.
– Mesures de concentrations atmosphériques de gaz en traces (dont le CO2) = Non fiables, mal calibrées, utilisant un protocole unique fabriqué par C. Keeling (un agent du GIEC), polluées par des effets dus aux volcans, ….,sauf pour montrer que les concentrations en méthane sont amenées à chuter (voir Méthane).
– Crédits de recherche = Sommes astronomiques s’élevant à plusieurs milliards d’€ ou de $, allouées par nos Etats tentaculaires, pour toute activité, notamment la fabrication de modèles (voir Modèles du GIEC), sous la condition expresse que les rapports finaux soient autant de documents soutenant l’hypothèse du RCA. Constituent les salaires réguliers des gourous du RCA, sous étroite surveillance du GIEC.
– Shell, BP = Deux des premiers industriels s’étant mis à psalmodier la mantra du RCA.
– Exxonmobil = Bien qu’étant encore une des cibles favorites du Troupeau du RCA, c’est un des derniers convertis à la Mantra. Pour des raisons de brevets (voir Protocole de Montréal), ou obligé de céder à la Pensée Unique, ou pour d’autres raisons politiques ?
– AAPG = American Association of Petroleum Geologists (Association Américaine des Géologues du Pétrole). Le converti le plus récent à la mantra du RCA, quoiqu’encore tiède, ce qui indique qu’il s’agit plus probablement d’une abjuration motivée par la peur des prochaines dragonnades plutôt que par une réelle conversion. Le GIEC va sûrement garder un Å“il vigilant sur ces hérétiques. Mais, peut-être un transfert de siège est-il prévu vers un des pays en développement se préparant à résister au dogme du GIEC (Voir Pays sous-développés)…
– Rayons cosmiques = Il est prouvé qu’ils sont la cause présente du changement climatique récent.
– Matière sombre = Sûrement, la prochaine cause du changement climatique récent !
Bonne journée
Yves
Notes :
(0) : Quelques mises à jour sont attendues, concernant notamment la désormais immaculée Mme Soleil ainsi que des productions récentes de quelques génies méconnus.
(*) FF : Férus du feu, des fossiles,… Toute ressemblance du titre avec la production littéraire d’un ancien ministre excellent connaisseur de tout ce qui est volcanique ou de certains animaux préhistoriques ne serait que pure coïncidence.
(**) L’auteur ne voudrait en aucun cas prétendre plagier le site du même nom proposant une compilation complète et à jour de toute assertion en opposition avec celles avancées dans les documents du GIEC, collationnée par un excellent conteur, si convaincant qu’il semble s’en être persuadé lui-même.
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