Québec Urbain

L’Urbanisme de la ville de Québec en version carnet…


Deux fois plus de plaintes pour des Parc-O-Bus qui débordent

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 8 janvier 2020 26 commentaires

Marie-Pier Bouchard
Radio-Canada

Le manque de place dans les stationnements incitatifs du Réseau de transport de la Capitale (RTC) provoque toujours beaucoup de mécontentement. En un an, le nombre de plaintes liées aux Parc-O-Bus a plus que doublé, passant de 32 en 2018 à 67 en 2019.

Une situation qui touche particulièrement le Parc-O-Bus Pie-XII dans Sainte-Foy–Sillery–Cap‑Rouge et qui perdure depuis déjà plusieurs années.

Mardi matin, il était à peine 8 h et il affichait déjà complet. Les 100 cases de stationnement avaient trouvé preneurs.

J’ai été très chanceux, j’ai eu le dernier parking. Si j’avais traîné cinq minutes ou deux minutes, je n’aurais pas eu de place, lance Léopold Tchoumba.

Arrivé quelques minutes plus tard, Kamel Miladi a eu moins de chance.

« Je viens un peu plus tôt d’habitude et là j’ai été un peu retardé, je n’ai pas trouvé de place. Habituellement il y a de la place avant 7 h 30, raconte-t-il.

M. Miladi parle d’un retard dispendieux qu’il ne peut se permettre trop souvent.

Faute de prendre l’autobus, il doit se rendre au travail avec sa voiture et payer 18 $ de stationnement. Ce qui s’ajoute à son laissez-passer d’autobus qui lui coûte déjà 89 $ par mois.

En quelques minutes à peine, nous avons vu plusieurs automobilistes qui ont dû rebrousser chemin. La scène se répète tous les matins, racontent certains usagers.

Dépassé 7 h 30, il n’y a plus de place, affirme Christine Godin.

Situé sur le chemin des Quatre-Bourgeois, la popularité du Parc-O-Bus Pie-XII s’explique notamment par le fait qu’il donne accès aux principaux parcours d’autobus.

Par ailleurs, malgré la présence régulière d’un inspecteur sur place, il y a encore certains automobilistes qui s’y stationnent et se rendent au travail à pied sans utiliser le transport en commun.

Les contrevenants s’exposent à une amende de 75 $ à 500 $ ou risquent même d’être remorqués. Les affiches de la réglementation qui sont bien en vue dans les Parc-O-Bus ne semblent cependant pas les décourager.

La suite

Voir aussi : Transport, Transport en commun.


26 commentaires

  1. Roger

    8 janvier 2020 à 10 h 18

    Dommage pour ceux qui tentent d’utiliser le transport en commun. Ça doit en décourager plus d’un…

    J’aime bien le reportage de Radio-Can qui déterre un article sur le même sujet datant de… 2012! Le RTC n’est pas en mesure de régler un problème (que je considère somme toute assez mineur) et ce sont eux qui gère le dossier du tramway??! Come on… Comment pense-t-on faire augmenter les usagers de 30% avec le tramway (chiffre avancé par le RTC) alors qu’on n’est pas en mesure de s’assurer de la rétention des usagers qu’on a déjà…

    Ça manque de sérieux.

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  2. Jp-Duval

    8 janvier 2020 à 12 h 55

    100 places c’est peu….C’est guère plus de 100 passagers qui prendront le bus!!

    Bien hâte de voir que sera la situation lorsque le tramway sera terminé. Si on part du principe que le « machin » amènera une hausse de 30% de la clientèle, il y a fort à parier que les stationnements par-o-bus seront rapidement saturés. Cela amènera des couts supplémentaires pour l’agrandissement de ces stationements……En partant du principe que l’argent sera disponible et qu’il y aura assez de terrains à expoprier!!!

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  3. michel

    8 janvier 2020 à 14 h 19

    Labeaume dit « Faites-nous confiance, y’en a pas de problèmes, ça va être estraordinaire! »
    Les usagers lui répondent « Comment pouvez-vous nous dire qu’il n’y a pas de problème? Il manque de place pour se stationner dans les parcs-o-bus depuis plusieurs années ».
    Exaspéré, le maire se dit à nouveau « Il y a du monde très spécial à Québec… »
    Et la cerise sur le sundae : « En attendant le déploiement complet (du RSTC en 2026), le RTC invite les clients qui auraient de la difficulté à se trouver une place de stationnement dans les Parc-O-Bus à communiquer avec le service à la clientèle. »

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  4. " Le " lecteur assidu

    8 janvier 2020 à 16 h 17

    Lors de son dernier terme et à l’iniative de la conseillère et v.-p Julie Lemieux le RTC avait proposé un Parc-O-Bus, dans le quartier Montmorency.

    De mémoire, le projet en question aurait été implanté sous la portion de l’autoroute Félix-Leclerc, entre le pied de la falaise et le boulevard Ste- Anne.

    De mémoire il en avait été question sur Québec Urbain et je vous invite à y référer.

    Selon moi, ce projet n’avait que des qualités.

    Malheureusement, une poignée de résidents de  » ce coin de pays  » ne voyaient pas ce projet du même œil.

    À ma grande surprise, ils n’y voyaient aucun avantage pour eux et le  » coin  » en question.

    Pour être bref, le RTC n’a eu d’autre choix que de baisser les bras, ce qui m’amène à ce qui suit.

    Si vous venez qu’à circuler sur le boulevard Ste-Anne, le RTC est en train de finaliser la construction d’un nouveau Parc-O-Bus, du côté sud de ce boulevard, face à l’intersection de l’avenue du Sous-Bois.

    À l’évidence, les  » bidous  » qui auraient été investis dans un  » coin de pays  » qui en aurait bénéficié vont se retrouver  » ailleurs  » !

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    • Gérald Gobeil Utilisateur de Québec Urbain

      8 janvier 2020 à 17 h 00

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    • michel

      8 janvier 2020 à 18 h 44

      Les bidous qui devaient servir pour ce projet dans Montmorency ont-ils été réalloués ailleurs? Si oui, où?
      On apprend dans l’article ci-dessus que ça congestionne depuis plusieurs années dans les parcs-o-bus de Québec …

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      • laéR

        9 janvier 2020 à 11 h 20

        « Les bidous » iront au Par-O-Bus Montmorency, relocalisé sur le boul. Sainte-Annee et dont la construction est en cours. Devraient ouvrir cet été selon ce lien: https://www.rtcquebec.ca/informations-pratiques/grands-projets/projets-infrastructures

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      • michel

        9 janvier 2020 à 17 h 54

        Oui je sais qu’il y a un chantier de parc-o-bus en cours sur Sainte-Anne, et c’est tant mieux. Sauf que là on ne parle pas de la même enveloppe budgétaire. Le projet qui a avorté dans Montmorency remonte à 2012-2013. Les fonds pour celui-ci ne provenaient forcément pas des 3,3 milliards actuels.
        Ce qui n’aide vraiment pas le projet du RSTC, c’est l’impression qu’on a d’une gestion de broche à foin. La confiance dans le RTC avait déjà été affaiblie par le passé (écolobus, stations tempérées). Voilà qu’elle l’a été à nouveau ces derniers jours lorsque le journal nous a appris qu’il y avait débordement dans les parc-o-bus de Québec depuis plusieurs années.

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      • Insider

        9 janvier 2020 à 19 h 11

        C’est tu pas amusant de lire ça. Vous seriez le premier à dénoncer toute somme d,argent investie dans les parc-o-bus. Allez donc porter votre CV au RTC. Peut-être qu’avec plus d’employés comme vous le RTC deviendra compétente?

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  5. "Le" lecteur assidu

    8 janvier 2020 à 21 h 31

    @ Michel

    1- Faudrait poser votre question au RTC car ce projet  » Montmorency  » remonte à l’année 2012 (?)

    2- Je présume que l’enveloppe budgétaire de ce projet a été affectée ailleurs, à un autre projet spécifique, au fonds consolidé du RTC de l’année 2012 ou suivantes ? Autrement dit, je n’en ai aucune idée !

    3- Sans limiter ce qui précède, le Parc-O-Bus au sujet duquel je vous entretenais ci-haut représente certainement beaucoup de bidous.

    4- De mémoire Québec Urbain avait publié une image de ce dernier.

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    • michel

      9 janvier 2020 à 00 h 18

      J’ai travaillé pendant plusieurs années au gouvernement fédéral; en premier, pour y faire de la vérification comptable, ensuite de l’évaluation de programmes. Ce n’est pas juste mon côté emmerdeur qui explique que j’aime bien challenger les gens pour aller au fonds des choses …
      Le projet dans Montmorency a avorté. Où sont allés au juste les bidous? Dans des écolobus (2e génération)? Des stations tempérées à 750 000$ et + l’unité?
      Sur le site du RSTC, il n’y a que trois petits chiffres pour nous dire comment on compte investir 3,3 milliards de dollars de nos taxes et impôts. Et la gang qui agit en catimini dans ce dossier est la même qui n’a pas réglé à ce jour le problème des parc-o-bus qui débordent depuis plusieurs années …
      Quand est-ce que le ministre Bonnardel va allumer? Une régie régionale pour s’occuper du plus gros projet de l’histoire de Québec, ce n’est pas ASAP, c’est maintenant qu’il nous la faut. Ça urge !!!

      ps. On aura compris que je ne m’attends pas à ce que quelqu’un sur ce blog soit en mesure de me répondre. La gestion financière du RTC est telle qu’on ne pourrait comme moi que spéculer.

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    • Che

      9 janvier 2020 à 11 h 20

      Ya rien de mieux que des comptables pour ruiner des projets.

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      • Jp-Duval

        9 janvier 2020 à 11 h 35

        Petite précision…..Les comptables ne font que mettre en chiffres les décisions prises en haut lieu.

        Ce sont les bureaucrates et technocrates qui peuvent ruiner un projet!!!

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  6. Che

    9 janvier 2020 à 15 h 36

    D’accord avec votre nuance. Ma phrase était un peu trop directe. Désolé pour les comptables.

    Je devrais plutôt parler des administrateurs qui ont une obsession des chiffres financiers et qui cherchent des poux dans les rapports comptables plutôt que de s’assurer qu’un projet arrive à ses objectifs.

    Je ne connaît pas beaucoup d’entreprises qui ont réussi parce qu’ils ont un département comptable particulièrement compétent. Les entreprises réussissent généralement parce qu’ils ont des bons produits/services à offrir.

    Je n’ai rien contre faire preuve de rigueur dans la gestion financière. Le problème c’est lorsque cette rigueur prend le dessus sur l’objectif principal, qui est d’avoir un bon produit/service.

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  7. michel

    9 janvier 2020 à 18 h 23

    « Je n’ai rien contre faire preuve de rigueur dans la gestion financière. Le problème c’est lorsque cette rigueur prend le dessus sur l’objectif principal, qui est d’avoir un bon produit/service. »

    En fait, les deux vont de pair.
    Il ne peut y avoir un « bon » produit/service sans une rigoureuse gestion financière parce que ce qui est « bon » est, selon moi, forcément efficient et que l’efficience repose sur les coûts (coûts-bénéfices, coûts-avantage).
    Il est vrai toutefois qu’une gestion rigoureuse des finances publiques n’assure pas en elle-même que les programmes soient efficaces. D’où l’intérêt d’aller au-delà de la simple vérification comptable et d’effectuer une évaluation (des besoins, de la mise en oeuvre, de l’impact, de la satisfaction de la clientèle).
    Mais bon, je pense qu’on peut s’entendre pour dire qu’un « bon » produit/service est un produit/service qui est à la fois efficace et efficient; autrement dit qui atteint ses objectifs et nous en donne le plus pour notre argent.

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    • Insider

      9 janvier 2020 à 19 h 02

      « Oui je sais qu’il y a un chantier de parc-o-bus en cours sur Sainte-Anne, et c’est tant mieux. Sauf que là on ne parle pas de la même enveloppe budgétaire. Le projet qui a avorté dans Montmorency remonte à 2012-2013. »

      Aie! Quand on ne se sait pas de quoi on parle on s’abstient. Ça m’a été confirmé que ce qu’a écrit laéR est vrai.

      C’est tellement du délire certaines choses qui sont affirmées dans la section commentaires sur QuebecUrbain que je n’ai plus beaucoup de motivation à répondre. Mais là il y a toujours bien une limite à tromper les contribuables avec des affirmations gratuites!

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      • michel

        9 janvier 2020 à 19 h 16

        Lequel de tes nombreux alter ego t’a confirmé cette vérité absolue?

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      • Insider

        9 janvier 2020 à 19 h 40

        J’ai lu des documents officiels suite à une demande que j’ai faite. Pas le genre de réponse que vous risquez d’obtenir avec vos théories me concernant et(ou) le RTC dignes d’un théoricien des complots.

        Depuis une éternité les initiés du milieu savaient ceci:

        « * Mise à jour (12 décembre 2012): Le RTC à la recherche d’un autre terrain aux abords du boulevard Ste-Anne. Le RTC avait sous-estimé les coûts du parc-o-bus sous les bretelles et le montant projeté dépasse le budget réservé pour ce projet. »

        et que l’alternative était située à intersection

        « Sainte-Anne / rue du Sous-Bois »

        tel que mentionné par laéR.

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      • michel

        9 janvier 2020 à 20 h 10

        En quoi le fait de citer un passage qui indique que le RTC était à la recherche d’un autre terrain dans les environs discrédite ce que je disais par rapport à l’enveloppe budgétaire qui n’était forcément pas la même? Si le premier projet de parc-o-bus remonte à 2012-2013, il va de soit que les ressources financières afférentes ne provenaient pas du budget actuel de 3,3 milliards du RSTC. D’où mon questionnement d’hier soir. On les a mis où les bidous de ce projet après que celui-ci ait avorté? Viens pas me dire que le RTC les a retournés au gouvernement en se disant que de toute façon dans six ans il y aurait une nouvelle manne de 3,3 milliards qui proviendrait des gouvernements.
        Tu devrais te calmer le pompon l’ami et réfléchir avant d’écrire du n’importe quoi…
        Sur ce, j’ai une game de hockey à écouter. Adios !

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      • Insider

        9 janvier 2020 à 20 h 20

        « On les a mis où les bidous de ce projet après que celui-ci ait avorté? »

        L’argent a été gardé pour l’alternative selon les documents officiels que j’ai lu. Mais ça votre imagination trop fertile vous empêche de l’envisager. Quand par exemple le MTQ se commet pour subventionner un projet on ne peut pas détourner l’argent quoi que vous en pensiez. Si seulement vous aviez été impliqué dans ce genre de projet comme maître d’oeuvre ou donneur de contrats vous le sauriez.

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      • michel

        9 janvier 2020 à 21 h 10

        Les parc-o-bus ne relèvent pas du MTQ. Ce sont des aménagements municipaux dont la responsabilité incombe aux sociétés de transport en commun, et non au gouvernement. Nice try !
        Pour ce qui est des documents officiels que tu aurais apparemment lus, donnes-moi la source précise (auteur, titre, année de publication, ainsi que la page où c’est écrit). De la fabulation, encore une fois…

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      • Insider

        9 janvier 2020 à 21 h 34

        Ben oui, ben oui le MTQ ne subventionne et n’a jamais subventionné ce genre d’infrastructures. « Nice try ! » C’est impossible d’avoir un débat rationnel avec vous.

        Vous vous enfonces de plus en plus. À une époque j’ai été impliqué via mon employeur dans un projet de la région de Montréal.

        Le cadre réglementaire disait ceci:

        « Dépenses admissibles

        Les dépenses admissibles à une subvention sont plafonnées pour
        les années 2007 et 2008 à 4 000 $ par place de stationnement, en
        excluant le coût d’acquisition du terrain. Pour les années
        subséquentes, ce montant est indexé annuellement selon l’indice
        des prix à la consommation, sans les aliments, au 31 décembre pour
        la province de Québec. Ce montant maximal ne vaut que pour les
        stationnements en surface et ne s’applique pas aux stationnements
        étagés. Les dépenses admissibles comprennent les éléments suivants :
        – les études préliminaires;
        – la préparation des sites (démolition, excavation, asphaltage,
        etc.);
        – les travaux de réfection ou de construction d’infrastructures
        routières requises aux fins d’exploitation d’un stationnement
        d’incitation;
        – l’adaptation ou l’achat d’équipements et de dispositifs requis
        aux fins d’exploitation d’un stationnement d’incitation;
        – les aménagements et les équipements requis pour l’attente de la
        clientèle au stationnement d’incitation;
        – les aménagements paysagers;
        – l’acquisition et l’installation de la signalisation requise, s’il y a
        lieu;
        – les frais juridiques et les honoraires professionnels, jusqu’à
        concurrence des taux et tarifs fixés par les tarifs d’honoraires
        pour services professionnels fournis au gouvernement du
        Québec (R.R.Q., c. A-6, r. 30, r. 30.1, r. 31, r. 31.1) et adoptés
        en vertu de la Loi sur l’administration financière (L.R.Q.,
        c. A-6). »

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      • Insider

        9 janvier 2020 à 21 h 37

        « De la fabulation, encore une fois… »

        Une autre théorie du complot? lol

        J’ai obtenu la permission de lire. Par contre, si je veux conserver ce genre de privilège, je vais m,abstenir de tomber dans votre piège. Meilleur chance la prochaine fois, je vais choisir votre théorie du complot en laissant le lectorat y accorder une crédibilité ou pas.. ;-)

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  8. Insider

    9 janvier 2020 à 21 h 03

    « Quand est-ce que le ministre Bonnardel va allumer? Une régie régionale pour s’occuper du plus gros projet de l’histoire de Québec, ce n’est pas ASAP, c’est maintenant qu’il nous la faut. Ça urge !!! »

    By the way quand on consulte ceux qui exploitent les projets cité en exemple ( Ottawa et Toronto par exemple ) par nos prophètes de malheurs afin de prouver que ce sera un échec à Québec avec le Réseau structurant, ils avouent que si c’était à refaire ils éviteraient ce genre de piège.

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