Québec Urbain

L’Urbanisme de la ville de Québec en version carnet…


«Il faut mettre un frein à l’étalement urbain» -Marie Demers

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 14 avril 2008 1 commentaire

Marcher comporte de nombreux avantages. Photothèque Le Soleil.

Devinez quel essai je m’achèterai au prochain Salon du livre! ;-)

Source: Éric Moreault, Le Soleil, 12 avril 2008.

L’homme est-il encore un bipède? Après tout, il passe plus de temps assis que debout. Le sédentaire doit donc réapprendre… à marcher! Et se libérer du joug de l’automobile. Mais les villes sont conçues pour les bagnoles, ce qui rend la marche difficile, voire périlleuse. Avec de nombreuses conséquences sociales, environnementales et en matière de santé publique. La Québécoise Marie Demers propose de façon convaincante, avec son livre Pour une ville qui marche, une nouvelle vision de l’aménagement urbain centrée sur le piéton et le cycliste plutôt que l’automobiliste (…)

Q Québec est une ville de chars, comment peut être reçu un tel discours?

R Je suis perplexe, pour ne pas dire sceptique. On a développé cette mentalité d’autoroutes, de banlieues et d’étalement urbain. Ce qu’il y a de plus négatif en Amérique du Nord, on le fait. On ne peut se comparer avec ce qui se fait en France, on vit en Amérique du Nord, on semble l’oublier. Les villes ont été créées un peu de la même façon. Les problèmes sont les mêmes et les solutions vont être les mêmes. À Québec, il faut mettre un frein à l’étalement urbain et au développement autour. Si la population n’est pas plus dense, on ne pourra mettre un accent plus grand sur le transport en commun, la marche et le vélo. (…)

La suite. À consulter, entre autres billets: Pour une ville qui marche, de Marie Demers

Voir aussi : Étalement urbain, Environnement, Publications & ressources Internet, Qualité et milieu de vie, Québec La cité, Vélo.


Un commentaire

  1. Max

    15 avril 2008 à 10 h 04

    Lebourgneuf est un très bon exemple d’étalement urbain. C’est peut-être au milieu de la « map » de Québec et ses ex-banlieues, mais ça reste un champ de patate perdu.

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