Source: Radio-Canada (Québec), 24 avril 2008.
Certains restaurateurs dans le quartier Saint-Roch sont à bout de souffle. La concurrence dans le secteur est forte en raison de la grande quantité de l’offre. Une soixantaine de restaurants de toutes sortes sont installés de part et d’autre de la rue Saint-Joseph. (…)
Pour sa part, le promoteur immobilier Jean Campeau, qui possède plusieurs immeubles dans le quartier, croit qu’il y a encore de la place. « À notre avis, il manque des spécialités pour faire une palette dans un quartier comme Saint-Roch, il a besoin d’une palette plus élargie », affirme-t-il. (…)
La suite. À consulter aussi, entre autres billets: La rue Saint-Joseph, coeur commercial de Québec.
24 avril 2008 à 21 h 32
Le probleme n’est pas la quantité mais la valeur qualité/prix. Il y a très peu de bons restaurants qui en valent le coût dans le quartier. Ceux qui sont bons risquent de dûrer: La Petite Boite Vietnamienne, le café du Clocher Penché, etc. Le reste c’est cher + ben ordinaire.
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24 avril 2008 à 21 h 38
Il manque un Boston Pizza
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24 avril 2008 à 22 h 08
pas sur qu’un boston pizza aurait sa place…..qualité moindre prix élevés…..peut-être qu’un mcdo aurait sa place ainsi que d’autres resto qui occuperait bien le quartier(cosmos et autre genre)
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24 avril 2008 à 22 h 54
Un moratoire? Ben voyons… depuis quand un moratoire sur les restaurants dans un centre-ville? Et on veut nous faire croire qu’il y a « trop » de restaurants?
Les restaurants qui savent le mieux s’adapter survivront, les autres non, c’est tout « naturel ».
Si vous tenez à un resto en particulier dans ce coin, c’est le temps d’y aller régulièrement.
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25 avril 2008 à 08 h 36
Pour des restos en bonne santé économique, à part la recette première qui est d’offrir du bon à bon prix, ça prend des bureaux et des résidents, ainsi qu’un accès facile.
Si j’étais fonctionnaire fédéral, j’aimerais que mon employeur s’installe dans le coin pour profiter des restaurants du secteur. Je ne voudrais pas avoir à choisir entre la halte-bouffe des galeries Canardière et la cafétéria de Robert-Giffard.
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25 avril 2008 à 19 h 14
Charles, les restos suivront. De toute façon ca sera sur une propriété de Robitaille Marine qui possède presque tous les terrains avoisinants le terrain acheté par la ville pour y installer, heu ??????? peut=être la neuro-cité si elle ne s’envola pas avec le nouveau gouvermnement provincial encore une fois!!!
La meilleure piza se trouve tout près. Giffard Pizza dans l’ancien Lion D,Or sur le boulevard Ste-Anne. Puis il y a le chnois coin Canardière et boul Ste-Anne.
Cesse de décrier mon coin, on fait tous partie de cette magnifique grande ville même si je suis de la « maudite banlieue »…
J’ai payé de mes taxes la construction et la démolition du mail st-roch. Je paye encore des taxes pour des subventions aux magasins pour qu’ils refacent leur facade sur St-Joseph…
Je paye aussi pour aménager des ruelles dans Limoilou et Montcalm sans avoir rien en retour dans mon coin…
Pendant qu’on aménageait la rivière St-Charles à coup de dizaines de millions et installait des passerelles pour piéton, le refoulement des égouts de la partie basse de St-Pascal près de D’Estimauville n »était pas réglé. On a retardé les travaux pour permettre de construire des passerelles pour piétons. Comme quoi le paraître passe avant l’essentiel. C’est ce que Me Loubier a appelé faire des sacrtifices dans le budget 2007…
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26 avril 2008 à 07 h 05
M. Trudel,
J’aimerais bien vous lire lorsqu’il sera question du réaménagement de Beauport. Pour l’instant, le réaménagement de la Baie de Beauport (meme si on parle ici de Limoilou, je crois) est un legs de plusieurs millions du fédéral a l’occasion du 400eme….comme la Pointe a Carcy et l’anse Brown le sont pour l’ouest de la ville. Il y a eu aussi Maizerets.
La question que je me pose, c’est pourquoi s’éparpiller a d’Estimauville plutot que d’utiliser Saint-Roch, alors que les commerces deja présents sont en train de péricliter.
J’ai beaucoup de respect pour Beauport. Me semble que ce serait beau, l’avenue Royale pas de poteaux, non?
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28 avril 2008 à 15 h 44
Le problème des restos, c’est pas juste dans St-Roch, c’est partout à Québec, il y en a carrément trop. Allez dans n’importe quel quartier, ca ouvre, ca ferme, ca ouvre, ca ferme…
La concurrence y est très vive, pas juste pour les clients, mais aussi pour les employés en cette période de pénurie d’emplois. C’est connu que les restaurants payent générallement mal leurs employés, et ils n’on pas de marge de manoeuvre pour les payer mieux question de ne pas les perdre, car le client n’est pas intéressé à payer plus cher qu’actuellement pour diner dans une petite binerie.
Et en plus, les restaurants honnêtes doivent compétitionner avec ceux qui paient leurs employés en partie ou totalité au noir, truc que ces derniers ont trouvé pour améliorerer le sort de leurs employés sans devoir refiler la facture au client.
Depuis quelque temps je remarques un grand nombre de « Sushi shops »… je me demande bien de quoi ils vivent!
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