La structure extérieure de L’INRS est pratiquement terminée. Finalement, sans être d’une beauté fracassante, c’est bien mieux que le premier croquis qu’on nous avait présenté.
La structure extérieure de L’INRS est pratiquement terminée. Finalement, sans être d’une beauté fracassante, c’est bien mieux que le premier croquis qu’on nous avait présenté.
Voir aussi : Arrondissement La Cité - St-Roch, Projet - INRS.
19 décembre 2004 à 09 h 53
Certain que l’INRS est un peu terne comme bâtiment. Ce ne sera pas un point de repère majeur dans le paysage de Saint-Roch… Cependant, l’aménagement intérieur a l’air d’être beaucoup plus intéressant.
Signaler ce commentaire
19 décembre 2004 à 10 h 32
Et ça doit être le chantier le plus déficitaire à Québec, ça leur prend un temps fou à faire la finition, et ça semble tellement bordélique (fait, défait, refait…) que ça doit coûter une fortune!
(Les pauvres gens qui travaillent à l’intérieur doivent souffrir aussi…)
Signaler ce commentaire
19 décembre 2004 à 11 h 44
Finalement , c’est tres bien!
C’est un bâtiment de qualité!(Il va couter cher par contre) qui se marie assez bien avec le renouveau de St-Roch.
il ne répete pas l’erreur de la bibliotheque Gabrielle Roy ou on a TROP cherché à intégrer le bâtiment dans un quartier pauvre , sans chercher à témoigner du « renouveau » .(le low profile vs le New profile)
Signaler ce commentaire
19 décembre 2004 à 15 h 37
J’appuie le fait que l’INRS s’intègre correctement au nouvel ensembl de Saint-Roch. Mieux, sa banalité extérieure le fait passer inaperçu… C’est pas laid, c’est juste « manqué ».
Pour ce qui est de la bilbiothèque Gabrielle-Roy, comme pour bien des bâtiments, imaginez-le avec d’autres matériaux et vous auriez un édifice beaucoup plus intéressant.
Je dis cela car sa forme générale est assez intéressante.
Signaler ce commentaire
19 décembre 2004 à 16 h 04
Tout à fait d’accord jb: Seul l’habillage de la bibliotheque (chez Emmaeus) me déplait…
Rien à redire de son architecture!
Quant à l’INRS, c’est sur que les contraintes du lieu font qu’il n’y a pas de possibilité réelle de se faire valoir. Ca restera tjrs un bâtiment squeezé et a l’étroit dans son espace minimale.
Mais qu’est-ce que l’architecte pouvait y faire?
Pour l’homme de la rue que je suis( HOMO URBANUS) C’EST TRES SATISFAISANT!
Signaler ce commentaire
20 décembre 2004 à 13 h 11
Je trouve le nouveau bâtiment de l’INRS incompatible au quartier Saint-Roch, c’est une greffe qui a échoué. En le regardant j’ai l’impression de voir un édifice qui est déjà désuet, fatigué, sale- mon oeil ne s’habitue pas! Peut-être que l’intérieur est intéressant, mais pour quelle raison l’observateur extérieur ne pourrait-il pas ressentir un confort, une chaleur… D’où vient l’idée d’un tel projet? Sommes-nous allergiques au beau?
Signaler ce commentaire
20 décembre 2004 à 16 h 13
Ce bâtiment est assez ordinaire merci. Une partie de la finition extérieure déjà terminée, est complètement « muffée ». Sur Sainte-Hélène les espaces entre les fenêtres sont en déclin. Pour un projet de cet envergure, on aurait dû utiliser des planches continues et non essayer de raboudiner les retailles. À certains endroits l’espaces entre deux planches est de près de un pouce. J’ai aussi hâte de voir combien de temps vont durer les joints de « mono » entre les cadres de fenêtres et le déclin. J’ai observé un ouvrier posant du mono sur des matériaux poussièreux.
Et la brique, en fait un bloc de béton aux dimensions d’une grosse brique, très perméable qui devient foncée à la moindre pluie. Quel sera la résistance aux changements de température? Sa seule qualité, la couleur pâle.
Signaler ce commentaire
20 décembre 2004 à 17 h 48
Mon opinion est partagée quand à ce nouvel immeuble. Je trouve que son apparence générale est à la fois décevante et intéressante…
Décevante pour le choix des matériaux: de la brique qui s’apparente dangereusement à cette affreuse brique jaune qui recouvrait presque tous les bungalows des années 1960…
Intéressante pour les parties vitrées de style « modulaires », particulièrement celle qui donne sur Dorchester.
Le problème à Québec, c’est que soit on fait du neuf qui a l’air du vieux (ou du déjà vu des millions de fois), soit on ose et le résultat n’a l’air de rien…
Un édifice un peu plus haut que long, des matériaux moins ternes, un look qui fait moins « parc industriel » ç’aurait donné un très bel édifice urbain!
Signaler ce commentaire
20 décembre 2004 à 19 h 31
Marie, st-Roch est un quartier qui a toujours été « laid » , c’est ce qui fait son charme!
Donc si vous dites que l’édifice de l’INRS est laid; c’est donc qu’il s’integre assez bien à st-Roch!
Ames sensibles, si vous n’aimez pas le laid, n’allez pas à st-roch … tenez vous pres du chateau frontenac plutôt! Même les gens de st-roch sont laids(c’est ce qui fait leur charme) âmes sensibles ,les gens sont beaucoup plus beaux à la sortie du Nautillus ou du Hilton.
Signaler ce commentaire
21 décembre 2004 à 09 h 23
Jaco, j’habite St-Roch, je travaille dans St-Roch. Je ne suis AUCUNEMENT d’accord sur le fait que Saint-Roch se doit d’être laid. Au contraire, je suis souvent agréablement surprise par de nouveaux bâtiments, des nouveaux développements ou des efforts de revitalisation et de restauration. Jaco, dire que St-Roch a toujours été laid c’est se complaire dans le facile, c’est une vision tellement pessimiste.
Signaler ce commentaire
21 décembre 2004 à 09 h 23
Jaco, j’habite St-Roch, je travaille dans St-Roch. Je ne suis AUCUNEMENT d’accord sur le fait que Saint-Roch se doit d’être laid. Au contraire, je suis souvent agréablement surprise par de nouveaux bâtiments, des nouveaux développements ou des efforts de revitalisation et de restauration. Jaco, dire que St-Roch a toujours été laid c’est se complaire dans le facile, c’est une vision tellement pessimiste.
Signaler ce commentaire
21 décembre 2004 à 10 h 28
« Finalement, sans être d’une beauté fracassante, c’est bien mieux que le premier croquis qu’on nous avait présenté. »
Ah bon? Je trouve que ça se ressemble beaucoup…
Signaler ce commentaire
21 décembre 2004 à 10 h 33
Marie, j’adore st-roch!
J,ai cru que TOI , tu aimais pas st-roch , quand tu disais ; »sommes-nous allergique au beau? »
Car pour beaucoup de gens , le beau à Québec , c’est uniquement le style ‘chateau Frontenac » les fausses tourelles, le décor Walt Dysney…
j’ai cru que tu étais » Alice au pays des rêves »
Je me suis sans doute trompé …
Signaler ce commentaire
21 décembre 2004 à 16 h 55
Je dois être à contre-courant, car je l’aime bien cet édifice, moi aussi j’étais très perplexe quand j’avais vu le croquis. Je le trouve très créatif comparé à tout ce qui s’est fait depuis le début du chantier du quartier St-Roch.
J’aime en particulier le logo en dépoli sur la fenestration, et le fait qu’on peut voir au travers de l’édifice d’est en ouest vers le haut, j’ai hâte de voir le soleil s’aligner dans ça. La couleur pâle de la brique. La rythmique des fenêtres sur les rues latérales qui me fait penser aux anciennes cartes perforées. Mais il y a en effet le « clapboard » qui détonne un peu au rez-de-chaussée sur les côtés.
J’ai surtout hâte de voir quand la façade côté Dorchester sera terminée, avec les câbles et les panneaux (éclairés?) sur la structure dénudée et l’étrange escalier de béton qui monte nulle part pour l’instant.
Ce projet a sûrement établi un record du chantier le plus interminable du centre-ville…
Signaler ce commentaire
21 décembre 2004 à 23 h 12
Chose intéressante que l’on peut observer à l’intérieur:
L’escalier pour monter aux 2 premiers étages est bien en évidence dans le hall. Cela fait changement de la plupart des édifices à bureau où l’escalier est bien caché. C’est une très bonne chose pour encourager un minimum d’activité physique aux employés.
Signaler ce commentaire
21 mars 2005 à 16 h 58
Ben, moi, j’y travaille et je le trouve très très bien ce bâtiment. De l’intérieur surtout, où tout est ouvert avec de la lumière à profusion. Ya même un fantôme qui pleure lorsqu’il vente… Fantôme de la Taverne Royale, sans doute. Pour ce qui est du revêtement extérieur, ce serait bien d’attendre la fin des travaux (qui sont fort longs, en effet) avant de monter aux barricades. Et surtout, de se rappeller que ce sont (que je sache) les voisins du Roulement à billes qui ne voulaient pas d’un bâtiment plus haut, pour ne pas leur cacher la lumière… Ben là, a) on la leur cache et b) le bâtiment n’est pas très haut. Mais à mouins d’enterrer tous le monde en sous-sol…
Signaler ce commentaire