En 2023, la dixième Enquête origine-destination de la grande région de Québec-Lévis sera menée. Elle vise à joindre 40 000 ménages afin de recueillir des informations sur les déplacements réalisés par la population. Les données obtenues permettront de dresser un portrait de la mobilité régionale actuelle et des tendances à venir en matière de déplacements. Effectivement, les données recueillies dans le cadre des Enquêtes origine-destination sont des sources d’information significatives sur la mobilité des résidents du territoire étudié et contribuent à une meilleure planification de l’aménagement du territoire et des transports. Tel que proposé dans l’entente de collaboration, le gestionnaire du projet sera le Réseau de transport de la Capitale. De plus, la contribution financière maximale de 54 000 $ de la Ville de Québec (exonérée de la TPS et de la TVQ) pour l’ensemble des différents volets de l’enquête, devra être versée au Réseau de transport de la Capitale.
1er avril 2023 à 09 h 31
Les résultats vont encore confirmer que la majorité des gens de la rive-sud ont à faire à l’ouest sur la rive-nord. Ce n’est pas surprenant, c’est de plus en plus le véritable centre-ville de la région.
À l’ouest on retrouve :
– 2 des 3 cégeps de la rive-nord;
– la cité Universitaire;
– 2 des 3 plus importants centres d’achats de la région;
– le 2ème hôpital majeur de la région (CHUL);
– une concentration importante de bureaux privés, peut-être même la plus grande concentration de la région;
– Revenu Québec.
Si on va plus loin :
– le parc technologique;
– l’aéroport;
Il reste quoi à l’est?
– un vieux et beau centre-ville très touristique (heureusement!);
– les emplois de la fonction publique (heureusement!);
– un méga centre-hospitalier (Enfant-Jésus);
– le port de Québec;
– un cégep sur 2 campus.
– une magnifique gare de train… qui rallonge les trajets de 30 min.
Est-ce que j’exagère ou j’oublie des choses…?
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1er avril 2023 à 11 h 06
À chaud je pense aux activités culturelles (festivals, musées, principaux théâtres) et à l’animation générale, aux restaurants cotés, aux lieux de cultes principaux, aux stades, au congrès, aux activités politiques (Hôtel de Ville, parlement, aux activités administratives (concentration des ministères), aux nombreuses rues commerciales, les places publiques, les grands parcs, la citadelle et autres institutions militaires, les transports publics développés, les hôtels. Vous oubliez aussi des institutions scolaires historiques (FDL, Ursulines, école navale), les pavillons de l’université Laval, les conservatoires de théâtre et de musique, l’école d’administration publique, le Soleil, le pôle d’emploi technologique dans St-Roch, un cégep privé, la grande bibliothèque, et 100 000 personnes densément regroupées dans la Cité-Limoilou à elle-seule.
Je ne pense pas avoir charrié dans ma nomenclature.
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1er avril 2023 à 12 h 28
Bon point pour les activités culturelles avec le Grand Théâtre, le Palais Montcalm, le Diamant et autres. Il y a aussi les festivals et les musées.
J’avais cependant déjà mentionné la très grande importante de la fonction publique.
Le Soleil c’est quoi, une centaine d’employés au maximum? Au pif je crois que Beneva doit-être le plus gros employeur privé au centre-ville.
Pour le transport en commun la pointe Sainte-Foy est probablement aussi bien desservie que la Cité-Limoilou.
Le pôle d’emploi technologique est fortement subventionné. Je n’ai jamais entendu parler de subventions pour attirer des locataires dans les bureaux à Sainte-Foy.
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2 avril 2023 à 08 h 19
« Le pôle d’emploi technologique est fortement subventionné. Je n’ai jamais entendu parler de subventions pour attirer des locataires dans les bureaux à Sainte-Foy. »
@ Rene
La beauté avec Sainte-Foy et Lebourgneuf c’est que les subventions pour attirer les locataires sont cachées car une bonne partie des externalities qui viennent avec les stationnement gratuits aux employées et clients sont assumées à 100 % par tous les payeurs de taxes et impôts incluant moi et Roger qui ne vont presque jamais à Sainte-Foy.
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2 avril 2023 à 10 h 09
Le Soleil, c’est pour démontrer que les grands médias choisissent à peu près toujours les centres-ville. Je pense aussi à Radio-Canada (Ici Québec) que j’avais oublié d’inclure.
Ce n’est pas le nombre d’employé qui compte. C’est un paramètre très réducteur. Ce qui compte c’est l’influence de cette industrie (le 5e pouvoir) qui participe à la définition du coeur de n’importe quelle ville.
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1er avril 2023 à 11 h 52
Votre définition de « centre-ville » est uniquement basé sur l’emploi. Ce n’est pas ma définition de ce qu’est un centre-ville.
Ste-Foy est une mare de stationnements, et c’est construit autour de centres d’achats. Le coin est particulièrement austère pour tous déplacements en vélo ou à pied.
L’auto est reine. Elle est partout, les gens la désire, et ça se voit.
Le développement résidentiel est discutable. Ça pousse mais personnellement, je trouve ça laid et sans âme.
Alors, que reste-t-il à l’est? Tout ce que j’aime, et qui fait en sorte que je ne vais jamais à l’ouest.
Mon seul et unique centre-ville, il est à l’est.
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2 avril 2023 à 07 h 59
@René
PVI, ça fait longtemps qu’il n’y a plus de subventions spécifiques pour St-Roch liées au secteur technologique.
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2 avril 2023 à 08 h 05
@ Roger +1 Pour les même raisons que vous moi aussi mon centre-villle est à l’est.
@ PPDaoust Je dis souvent á la blague qu’essentiellement le centre-ville « c’est un centre de divertissement pour banlieusards » et je sais de quoi je parle car j’ai vécu en banlieue pour la 1re partie de ma vie.
@ Rene
Pour Le Soleil le chiffres ne sront pas á la hausse car on pouvait lire ceci dans un artcile de La Presse le 29 mars 2023:
« La troisième catégorie, celle qui devrait toucher le plus de salariés selon la directrice générale, comprend des postes qui seront « sujets à des départs volontaires ». La coopérative espère en fait que ces départs volontaires permettront d’éviter les mises à pied. « Évidemment, on ne sait pas encore qui va lever la main, ça demeure l’inconnu, mais de notre côté, on essaie de tout faire pour protéger les salles de rédaction. C’est la raison d’être de nos entreprises », insiste encore Geneviève Rossier. »
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