CECI N’EST PAS UNE CRITIQUE DE LA PHOTO DE GILLES NÉRON.
Le problème lorsque l’on veut photographier la rue Saint-Pierre, l’église Notre-dame-des-Victoires ou d’autres rues parallèles, c’est la position du soleil. À titre d’information générale, Lévis vue de la rue Dalhousie, est à l’Est de Québec. C’est que l’axe de la rue Dalhousie à une inclinaison de 12 degrés Nord Ouest/Sud Est.
Petit défi aux photographes: photographier la façade de l’église Notre-Dames-des-Victoires ensoleillée, sans artifice. Peut-être possible vers le 21 juin…
À touts les habitués de Québec urbain et à Francis en particulier: BONNE ANNÉE
C’est pour cette raison que j’aime photographier lors des journés nuageuses. On perd en contraste et en « lumière spéciale », mais on gagne en n’ayant aucune perturbation [zone ensoleillé/zone ombragé] sur la même photo. On n’a donc pas de blanc brulé on de forte zone d’ombre (le numérique est encore faible à gêrer des fortes zones de contraste). De plus, elles se vire bien en noir et blanc :)
Il est vrai qu’un ciel nuageux mais lumineux donne aux photographies un éclairage uni. Dans le cadre de mon travail j’ai eu à photographier des milliers de bâtiments, le Vieux-Québec et l’ancier quartier Saint-Maurice à Thetford Mines, entre autres. Cet éclairage a toujours été privilégié lorsque possible.
Cependant si l’on désire une photo dans le même angle que celle de M. Néron et par un temps ensoleillé, on risque un ciel délavé. En fait mon autre commentaire aurait du spécifier ce côté de la chose.
Bien entendu le choix revient à l’auteur et il choisi l’heure, quand cela est lui est possible, à laquelle il s’exécutera.
En ce qui concerne le virage au noir et blanc, il y a des photographes, Ansel Adams entre autres qui a produit des clichés magnifiques. Je viens tout juste de me procurer un calendrier qui montre quatorze de ses photos. Celle de janvier 2006, a comme sujet, des conifères eneigés par un temps ensoleillé c’est à voir, il ne manque aucun détail.
Une différence majeur entre nous amateurs et les grands photographes comme Adams, se fait au tirage. Ces gens ont ou avaient un tireur atitré et ils étaient souvent présents lors d’un premier tirage qui pouvait être repris jusqu’à la satisfaction de l’artiste. Combien parmi nous peuvent ce permettre ce « caprice »?
Ceci dit, Francis a un bon oeil à la prise de vue comme à la sélection de nos envois.
Calmez-vous, les p’tits gars, il ne s’agissait pas de vous donner une leçon de photographie, mais seulement de montrer que la neige d’antan était encore dans les rues du Vieux Port.
Je me fous de la lumière au 21 juin et de l’angle du soleil à l’heure de votre réveil. J’ai voulu tout simplement illustrer la beauté d’une rue de la basse-ville sous la neige, celle tout neuve d’un matin de décembre. Si vous oubliez la poésie d’une telle vision pour les plaisirs de la technique, libre à vous, mais ne mêlez pas les ciels délavés à la communion avec la Nature. Franchement vous rendez malades les simples mortels qui osent se promener avec un appareil de photographie bien simple à foyer automatique. La prochaine fois je me ferai accompagner par Karsh.
Un conseil : si vous sortez photographier les rues de Québec ces jours-ci, soit bien avant le 21 juin, mettez un casque, car la cervelle risque de vous geler.
Ce n’est pas parce-que le hasard a fait qu’une discussion technique est intervenu dans la section commentaire de votre photo qu’elle ne nous plait pas. Si cela avait été le cas, je ne l’aurais pas publiée.
Suggestion: Prendre la première phrase d’André Voyer au pied de la lettre ;)
3 janvier 2005 à 10 h 14
CECI N’EST PAS UNE CRITIQUE DE LA PHOTO DE GILLES NÉRON.
Le problème lorsque l’on veut photographier la rue Saint-Pierre, l’église Notre-dame-des-Victoires ou d’autres rues parallèles, c’est la position du soleil. À titre d’information générale, Lévis vue de la rue Dalhousie, est à l’Est de Québec. C’est que l’axe de la rue Dalhousie à une inclinaison de 12 degrés Nord Ouest/Sud Est.
Petit défi aux photographes: photographier la façade de l’église Notre-Dames-des-Victoires ensoleillée, sans artifice. Peut-être possible vers le 21 juin…
À touts les habitués de Québec urbain et à Francis en particulier: BONNE ANNÉE
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3 janvier 2005 à 10 h 27
C’est pour cette raison que j’aime photographier lors des journés nuageuses. On perd en contraste et en « lumière spéciale », mais on gagne en n’ayant aucune perturbation [zone ensoleillé/zone ombragé] sur la même photo. On n’a donc pas de blanc brulé on de forte zone d’ombre (le numérique est encore faible à gêrer des fortes zones de contraste). De plus, elles se vire bien en noir et blanc :)
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3 janvier 2005 à 17 h 09
Il est vrai qu’un ciel nuageux mais lumineux donne aux photographies un éclairage uni. Dans le cadre de mon travail j’ai eu à photographier des milliers de bâtiments, le Vieux-Québec et l’ancier quartier Saint-Maurice à Thetford Mines, entre autres. Cet éclairage a toujours été privilégié lorsque possible.
Cependant si l’on désire une photo dans le même angle que celle de M. Néron et par un temps ensoleillé, on risque un ciel délavé. En fait mon autre commentaire aurait du spécifier ce côté de la chose.
Bien entendu le choix revient à l’auteur et il choisi l’heure, quand cela est lui est possible, à laquelle il s’exécutera.
En ce qui concerne le virage au noir et blanc, il y a des photographes, Ansel Adams entre autres qui a produit des clichés magnifiques. Je viens tout juste de me procurer un calendrier qui montre quatorze de ses photos. Celle de janvier 2006, a comme sujet, des conifères eneigés par un temps ensoleillé c’est à voir, il ne manque aucun détail.
Une différence majeur entre nous amateurs et les grands photographes comme Adams, se fait au tirage. Ces gens ont ou avaient un tireur atitré et ils étaient souvent présents lors d’un premier tirage qui pouvait être repris jusqu’à la satisfaction de l’artiste. Combien parmi nous peuvent ce permettre ce « caprice »?
Ceci dit, Francis a un bon oeil à la prise de vue comme à la sélection de nos envois.
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5 janvier 2005 à 19 h 05
À André et Francis,
Calmez-vous, les p’tits gars, il ne s’agissait pas de vous donner une leçon de photographie, mais seulement de montrer que la neige d’antan était encore dans les rues du Vieux Port.
Je me fous de la lumière au 21 juin et de l’angle du soleil à l’heure de votre réveil. J’ai voulu tout simplement illustrer la beauté d’une rue de la basse-ville sous la neige, celle tout neuve d’un matin de décembre. Si vous oubliez la poésie d’une telle vision pour les plaisirs de la technique, libre à vous, mais ne mêlez pas les ciels délavés à la communion avec la Nature. Franchement vous rendez malades les simples mortels qui osent se promener avec un appareil de photographie bien simple à foyer automatique. La prochaine fois je me ferai accompagner par Karsh.
Un conseil : si vous sortez photographier les rues de Québec ces jours-ci, soit bien avant le 21 juin, mettez un casque, car la cervelle risque de vous geler.
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5 janvier 2005 à 20 h 07
Ce n’est pas parce-que le hasard a fait qu’une discussion technique est intervenu dans la section commentaire de votre photo qu’elle ne nous plait pas. Si cela avait été le cas, je ne l’aurais pas publiée.
Suggestion: Prendre la première phrase d’André Voyer au pied de la lettre ;)
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