Source: Radio-Canada (Québec), 9 juillet 2007.
(…) Pendant des décennies, l’imposant monument du Vieux-Port était ignoré des passants. Toutefois, les Québécois semblent de plus en plus nombreux à se réapproprier les silos. « On ne remarque pas les édifices quand ils sont là depuis longtemps, mais là, ça change toute la dynamique. Je suis même allée à côté lors des feux, c’est vraiment gigantesque, c’est incroyable », dit une spectatrice.
Pourtant, les immenses silos ont sauvé le port de Québec au tournant du 20e siècle, au moment où l’industrie du bois périclitait, raconte l’historien et chroniqueur urbain Réjean Lemoine. (…)
La suite. À consulter, entre autres billets: «Le Moulin à images» : au-delà de 2008?.
9 juillet 2008 à 18 h 30
Tant mieux si les silos sont redevenus un point de mire et qu’ils aient une vocation culturelle. Mais des silos c’est fait pour entreposer des matières en vrac…
Il demeure pas moins que depuis le dédoublement des voies ferrées dans les rocheuses (50 milliards ) inaugurées au début des années 80 et la mise au rancart du protocole du nid-de-corbeau qui subventionnait le transport du grain de l’ouesty vers l’est, ces silos sont presque toujours vides. Pourquoi ne les utilisent t’on pas pour entreposer le vrac qui prend de l’espace sur les quais de la baie de Beauport. Ainsi, le projet de deux nouveaux quais ne serait plus indispensable, ni urgent.
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