Québec Urbain

L’Urbanisme de la ville de Québec en version carnet…


Québec: une ville où il fait bon vivre

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 7 novembre 2024 Aucun commentaire

Philippe Renault
Le Figaro

La cité offre toutes les commodités d’une capitale sans les inconvénients d’une mégapole. Encore à taille humaine, elle propose un large éventail de loisirs ainsi qu’une proximité avec la nature et les fameux grands espaces du pays…

Célèbre pour son arrondissement historique classé au patrimoine mondial de l’UNESCO, Québec n’est pas pour autant une simple ville-musée nostalgique de son passé. Stimulée par une économie florissante depuis plusieurs décennies, elle ne cesse de se renouveler et de s’embellir. Hors de ses fortifications, la cité historique s’ouvre sur une agglomération plus hétéroclite, plus calme aussi, et où il fait bon vivre en famille.

Pour Sandrine Camus, une Française d’une cinquantaine d’années arrivée de Normandie en 2022, « la ville est parfaite pour des couples bien établis dans leur vie professionnelle avec des enfants en bas âge… il y a de nombreuses installations sportives gratuites, piscines ou patinoires, et la municipalité invite à sortir prendre l’air été comme hiver ». Avec son conjoint, ils ont choisi de s’installer en location du côté du Musée national des beaux-arts à une minute à pied des pistes de ski de fond des Plaines d’Abraham. « Québec est une ville géniale à vivre, un gros village dont je ne me lasse pas d’admirer les vieux murs, explique Sandrine, on y mène une vie simple et sans stress ». Elle reconnaît cependant à la capitale un côté un peu « pépère » loin de l’effervescence d’une grande métropole pouvant être recherchée par une jeunesse en quête de plus de dynamisme au quotidien.

Un environnement sécuritaire

Élodie et Bruno, jeune couple de trentenaires, et leurs deux enfants se sont eux installés dans une maison familiale de l’arrondissement de Charlesbourg, situé au nord de la ville, où les prix sont encore abordables. Élodie, entrée au Canada avec un visa étudiant, n’a pas eu de mal à trouver un emploi permanent à la fin de ses études en événementiel grâce à un stage. De son côté, Bruno, enseignant en sciences, travaille pour le moment à temps partiel, mais pense évoluer rapidement.

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