Source : Vincent Desbiens, Journal de Québec, le 6 janvier 2025
Photo Le Journal de Québec Vincent Desbiens Vincent Desbiens
L’épicerie J.A. Moisan, le plus vieux commerce du genre en Amérique du Nord, liquide ses stocks en vue d’une fermeture, a appris Le Journal. Le lieu historique changerait de vocation, mais le bâtiment ne serait pas à vendre ont confirmé les propriétaires.
Donna Willett et son conjoint ont dû se rendre à l’évidence : le concept d’épicerie fine, si cher à leurs yeux pour perpétuer la tradition vieille de 154 ans, n’est «plus viable». «C’est une décision mûrement réfléchie, a lancé d’entrée de jeu la femme d’affaires gaspésienne qui a racheté le bâtiment historique en 2019. Toute l’équipe a travaillé fort pour essayer de maintenir l’épicerie, mais ce n’est plus possible. On ne peut pas continuer à perdre de l’argent comme ça.»
Tous les produits qui restent en inventaire feront donc l’objet d’une réduction de 25%, et ce, jusqu’à épuisement des stocks. Les gestionnaires prévoient la fermeture «d’ici la fin du mois de janvier».
6 janvier 2025 à 18 h 32
les commerces du centre ville condamné stagner , le manque de facilité de stationnement les prive des visite des banlieusards
le model du magasin de plein air Latulippe est a développé pour une croissance des marchands
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8 janvier 2025 à 08 h 30
Y’a quand même plus de 3000 places dans un rayon de 500 mètres. Mais, même avec du stationnement à la porte, est-ce que il y aurait vraiment des dizaines de personnes qui viendraient chaque jour de val bélair? Est-ce que ce commerce se distingue autant pour rouler 30 minutes pour faire un achat?
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6 janvier 2025 à 19 h 10
Sniff❗️Sniff❗️ Sniff❗️
On y a lunché quelques fois, certains samedis d’été; toujours un bon rapport qualité-prix.
Assisterons-nous à une nouvelle expérience gastronomique ❓🙏🙏🙏
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7 janvier 2025 à 21 h 18
Rien d’étonnant vu le prix moyen des items…
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8 janvier 2025 à 10 h 28
Les consommateurs se tourneront vers l’Épicerie européenne, qui est très bien implantée dans le quartier depuis plusieurs décennies. Mais il est dommage de perdre un établissement patrimonial comme J.A. Moisan.
Il y avait une autre épicerie fine, pendant quelques années, dans l’ancien local du Commensal. Est-ce que la rue Saint-Jean peut faire vivre trois commerces de ce type avec des taxes municipales stratosphériques? Nous avons maintenant la réponse.
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