Source: Pierre-André Normandin, Le Soleil, 29 juillet 2008.
Ne se disant pas complètement rassurés par les assouplissements aux nouvelles règles limitant l’affichage, un groupe de commerçants de Québec demande à la Ville de mettre sur la glace toute cette partie de son futur règlement d’urbanisme. S’estimant brimées dans leurs «droits fondamentaux», ces entreprises veulent voir ce volet complètement réécrit.
La présentation de ces nouvelles règles en avril a soulevé une véritable levée de boucliers, particulièrement des pétrolières et des compagnies d’affichage, directement touchées. Malgré les compromis accordés à ces deux derniers groupes, une vingtaine d’entreprises de la capitale continuent à militer au sein de la Coalition des commerçants de Québec pour le droit à l’affichage. Elles souhaitent ainsi éliminer plusieurs autres restrictions incluses dans le futur règlement d’urbanisme de Québec, appelé à remplacer en décembre les neuf autres, hérités des villes fusionnées. (…)
La suite. À consulter, entre autres billets: Pétition en ligne d’Espace public (…).
29 juillet 2008 à 18 h 44
Le dernier groupe à chialer que leurs « droits fondamentaux » étaient brimés à cause de règlements d’affichage étaient les « Angryphones » du West Island. Je viens mettre ces commerçants soi-disant brimés dans le même bateau.
L’image de marque de Jean Coutu ains que leurs vitrines sont moches à s’arracher les cheveux. Même chose pour les néons qui font le tour des édifices Chez Ashton. Je suis content que quelqu’un essaye d’instaurer des règlements de ce genre pour éviter que les rues de Québec ressemblent au boulevard Papineau ou au boulevard Tascherau.
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