Profitant d’une météo exceptionnelle cet après-midi (il faisait soleil!!), j’ai fait une balade en vélo le long des nouvelles berges de la Saint-Charles. Mais évidemment, il fallait que je tombe ENCORE sur l' »oeuvre » d’un colon…
PS: quelqu’un a-t-il une idée du coût de fabrication d’un tel panneau d’interprétation?
Hey, les « ti-culs taggeurs »: y’a d’autres moyens de se distraire ou de se défouler de façon constructive, nom d’une Bobinette! Je ne sais pas, moi, lisez des Tintin, tricotez des mitaines, abonnez-vous à la bibliothèque de Québec, jouez au Nintendo ou Mario Bros, joignez les scoots ou un club de mycologues amateurs, collectionnez les insectes ou les tasses victoriennes, cultivez un potager, apprenez l’accordéon, la calligraphie ou l’origami, fondez un groupe de musique de chambre ou heavy-metal, militez dans un mouvement écologique, faites la promotion de l’éradication de l’herbe à poux, auditionnez pour Zoof Story, pratiquez la boxe, le karaté ou la savate… Et de grâce, arrêtez de briser le bien collectif!!
À consulter, entre autres billets: Scènes urbaines: le “tagâ€?, ou l’art d’enlaidir… (1) et Quand “graffitisâ€? riment avec “vandalismeâ€?: non pas un, mais deux autres exemples patents.
5 août 2008 à 16 h 59
Les tags sont une plaie, ce sont des gestes portés qui entrainent de nombreuses dépenses par les propriétaires et par les municipalités et l’argent ainsi dépensé ne va pas ailleurs. A quand une sur taxe sur toutes les bouteilles d’aérosol et les crayons marqueurs, du genre 10 $ de plus par bouteille allant directement dans les poche d’un fond…
TI CON….
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5 août 2008 à 17 h 59
Nous restons en condos….Et nous avions un problême avec quelques jeunes qui venaient pratiquer leur art sur notre édifice….
Nous en avons pris un sur le fait……………je vous laisse deviner la suite….Nous avons utilisé sa bombe aérosol afin de la « taguer »!
Nos murs sont maintenant absent de grafitis depuis un an!!
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5 août 2008 à 18 h 16
Bonjour,
Vous perdez votre temps a ecrire sur les taggueurs car ils ne doivent pas savoir lire!
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5 août 2008 à 18 h 56
Ces petits mal élevés qui s’amusent à vandaliser le bien public devraient se faire donner, à dose modérée bien sur, un petit goût de ce que Singapore fait avec ce genre de malfrats. C’est très frustrant de voir que des gens (pas juste des ados)n’ont aucun respect pour le bien public. Faire des tags comme ça, ce n’est pas un art, c’est un geste carrément anti-social. Que voulez-vous, c’est le prix à payer pour vivre dans une société laxiste à l’extrême qui refuse de se donner des normes de conduite en société et encore moins de les appliqués.
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5 août 2008 à 20 h 10
J’avoue qu’on est loin de l’art, du symbole protestataire ou de n’importe quel message à passer autre que « j’ai rien de mieux à faire ».
Faudrait leur faire lécher leur tags 24h/24h jusqu’à ce que ça parte…
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5 août 2008 à 20 h 11
Tant que l’on va seulement leur taper sur les doigts quand ils vandalisent le bien public et que certains continueront à les considérer comme des « artistes de la rue », le problème va perdurer.
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5 août 2008 à 20 h 29
J’avoue bien humblement, à la lecture de mes billets « anti-graffiteux », qu’il m’arrive de penser que je tombe dans le piège du populisme… À tort ou à raison?
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5 août 2008 à 20 h 34
il me semble que l’on a tendance à se répéter sur le sujet….
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5 août 2008 à 20 h 40
Il faudrait que notre administration municipale aille en mission à Chicago, ville où il n’y a AUCUN graffiti. Aucun.
C’est dû à des mesure radicales et soutenues qui ont porté leurs fruits.
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5 août 2008 à 20 h 46
« C’est dû à des mesure radicales et soutenues qui ont porté leurs fruits. »
Jean-Guy: trouve-moi un lien, et j’en fais l’objet d’un billet!!
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5 août 2008 à 20 h 46
Il existe pourtant des formes sociales de « tags » ou de « dessins de rue »
Quelques exemples:
– Je me rappelle, lorsque j’étais tres jeune ,des plus vieux avaient organisé une fête avec boisson et musique.(Un rituel d’ado devenant adulte?)
Et ils avaient demandé la permission pour « taguer » et dessiner sur un vieux mur de garage dans la ruelle…
-Lors des fêtes de rue dans St-Jean Baptiste, la permission est accordé de dessiner sur les rues et trottoirs
-En Espagne , la permission est accordé aux gitans de dessiner a la craie sur les trottoirs et de quêter
-Dans les fêtes de Voisins, on invite souvent un tagueur professionnel a dessiner une grosse fresque (et il est payé comme amuseur public)
et ds ces fêtes on permet exceptionnellement les enfants a dessiner a la craie dans la cour asphallté. (on nettoie le lendemain)
Vous avez surement d’autres exemples…
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5 août 2008 à 21 h 18
Il y a des cas particuliers: une parole de contestation accepté socialement par un groupe mais rejeté par un autre groupe social
Je pense ici a Claude Péloquin , dont le fameux: »Vous êtes pas écoeuré de mourir bande de caves  » a été écrite sous forme de tag mural par Jordi Bonet (on peut le voir au Grand Théatre)
Il y a bien sur le cas John Lennon: » La campagne « War is Over » consiste en l’affichage sur de grands panneaux publicitaires de ce slogan dans la langue du pays, complété par une mention en plus petite et entre parenthèses « (if you want it) ».
Ce sont toutefois des tags sociaux et non anti-sociaux : Ils sont légaux , même s’ils sont contestataires !
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6 août 2008 à 08 h 19
En voyant le billet, j’ai tout-de-suite pensé à l’exemple de Singapour. Sébastien l’a évoqué, évitant pudiquement de parler du châtiment en question.
En effet, un dommage au bien public est punissable d’une série de coups de fouet…Vous devinerez qu’il n’y a pas de graffitis dans cette ville-État.
Il y a quelques années, un jeune touriste Américain s’était fait prendre à barbouiller les murs de cette ville. Malgré les protestations de l’Ambassade américaine, le jeune gringo a été relaché aprés avoir reçu son châtiment corporel, et après avoir nettoyé son méfait.
Un exemple à suivre.
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6 août 2008 à 08 h 21
Peut-être que votre réalité ne correspond pas à leur réalité. Peut-être est-ce un moyen de vous dire que vous êtes tous des cons (à leur yeux) et qu’ils existent. Que vos fontaines, vos expositions de carottes, ils n’en ont rien à battre. J’aime encore mieux cela qu’une agression physique.
Tiens une piste … plus de terrains de Basket, de skateparc, de piste de BMX et d’installations marginales ? Quand les jeunes ont rien à faire et bien ils se servent. Malheureusement, c’est à nos dépends, sur nos belles statues muettes.
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6 août 2008 à 08 h 30
À lire ce blog et à voir votre niveau d’intolérance, ça me donne envie de leur donner raison.
@Jean-Guy
Tu m’arrêtes de dire n’importe quoi tout de suite ok ? J’ai vécu 4 ans là -bas. Il existe des centaines de sites comme celui-ci. Aucun grafs, yeah right ! Diversifies un peu tes sources d’information champion.
http://www.chicagograffiti.com/
@Charles
Des coups de fouet pour un graffiti ?? Té un malade ou quoi ? Tu te prends pour qui ? Il existe de l’aide pour ton problème mon grand … non mais sérieusement.
Je propose la pendaison !
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6 août 2008 à 08 h 50
Je dois vous dire que je suis aussi un peu fatigué d’en entendre parler. Le but des tagueurs est que leur oeuvres soient vues et qu’on en parle… De plus, je suis persuadé qu’il existe une bonne proportion de tagueurs qui ont une conscience et qui sont aussi déçus que vous et mio de voir ce tag sur le panneau d’interprétation. Ce n’est pas vrai que tout doit rester d’un beau gris béton ou sinon que la Ville va organiser une fête pour le décorer. Bref, tous ces billets et commentaires (en raison du fait qu’il y en a eu beaucoup) sentent l’intolérance mais surtout l’incompréhension. Je pratique un sport de rue qui utilise les infrastructures urbaines d’une façon différente de leur fonction de base. Ça fait partie du plaisir et du défi de telles activités. J’ai une perception sûrement un peu différente de l’urbanisme que la vôtre…la différence c’est bon.
La conclusion à ce commentaire décousu est que d’après moi la majorité des tags sont faits dans des endroits peu passants, laids, pas vraiment agréables à fréquenter et que au moins ces gens sortent de chez eux et ont une activité (qui peut être difficile à comprendre, j’en conviens, surtout pour celui des «don’t cry»), ils n’écoutent sûrement pas le banquier. Je suis d’accord avec le fait qu’il y a des actes de vandalismes et je les condamne. Mais tant qu’à y être pourquoi pas répertorier les tables a pic-nic endommagées, les poubelles et les fenêtres cassées ?
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6 août 2008 à 09 h 07
@ toudgge
Singapour est une démocratie dont le niveau de vie est parmi les plus élevés au monde, se comparant aisément aux standards nord-américains. On est loin d’une société archaïque.
Je ne m’attends pas à ce que notre société se mette à imposer des châtiments corporels demain matin, ce n’est ni vraiment soutaitable, ni envisageable dans notre contexte idéologique actuel.
Mais notre société n’a plus de repaires. On transmet aux jeunes le message de s’enrichir et de jouir de la vie. C’est clair qu’il y a des laissés pour compte.
Il ne faut pas les laisser se complaire dans la misère, mais plutôt encourager des comportements plus nobles.
Peut-être que tu vis chez tes parents à Saint-Romuald ou à Beauport. Les graffitis, tu trouves ça beau quand tu vas en ville le samedi soir. Moi, j’ai subi le vandalisme sur mes murs, jusqu’à m’écoeurer et finalement déménager.
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6 août 2008 à 09 h 48
Et dire qu’on veut faire un pays avec ces gens…
Les enfants-rois qui se permettent tout, vous connaissez ???
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6 août 2008 à 11 h 15
Enfin pour revenir a Singapour dont j’ai evoque l’exemple, le chatiment en question s’appelle la bastonnade. Evidemment, je suis contre son utilisation, c’est pourquoi je disais qu’on devrait servir une dose moderee de la medecine Singaporeenne a nos ados en perdition. Par contre, il y’a surement moyen d’atteindre un point d’equilibre entre l’autoritarisme brutal de Singapour et la laxisme epouvantable du Quebec/Canada.
Ce qu’il faut c’est d’ocupper ces jeunes puisque les parents n’ont pas de temps a leur consacrer. A chaque ete, des milliers de travailleurs saisonnniers Mexicains viennent travailler sur nos fermes. Pourquoi ne pas utiliser nos ados pour faire ce genre de travaux ? Pourquoi ne pas utiliser nos ados pour faire des travaux d’entretien pour la ville comme ramasser les dechets dans les rues et les parcs ou encore nettoyer la flotte des voitures de police. Bref, n’importe quoi pour les tenir ocupper et leur transmettre les valeurs du travail et de la responsabilite personelle. De cette facon, les jeunes apprendraient a cesser de se comtempler le nombril et cela leur permetterait de devenir de meilleurs citoyens en faisant des activites qui serviraient toute la collectivite. Le pire, c’est qu’il va s’en trouver pour me traiter de fasciste de faire ce genre de propositions.
Autre chose. Dans ce billet on parlait des tags et des grafittis. Une autre chose qui m’ecoeure particulierement, c’est de voir tout ces residus de gomme a macher coller a nos trottoirs (ces fameuses taches noires). Il y’a sufisamment de poubelles publiques, pourquoi les gens crachent-ils leur gomme par terre plutot que de la foutre dans une poubelle? Meme chose pour les megots de cigarettes, bouteilles vides, sacs de McDo etc. Il faudrait commencer a distribuer des amendes pour mettre tout ces gens inciviques au pas.
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6 août 2008 à 12 h 39
C’est déjà plus propre qu’en Europe ou que dans l’ouest, le Québec. Les villageois commenceraient-ils à regretter l’époque où on désignait Québec comme étant un gros village? Et bien maintenant, c’est une ville. Avec des punks, des ados, des tags, des concerts en plein air qui font (attention) du bruit, des crimes. Je trouve que les commentaires précédents pèsent lourdement. On sent les incompréhensions intergénérationnelles. Sais-tu pourquoi y’en avait pas dans ton temps des tags? Parce que tu es tellement vieux que dans ton temps ça existait pas des aérosols!
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6 août 2008 à 19 h 18
Hmmm….M. Max vous avez la plume assasine!!! Mais la mienne ne manque pas de verve non plus!!
Si des parasites décident pour une quelconque raison que marquer ( ou taguer) un territoire est un signe d’intelligence que grand bien leur fasse….Mais si la majorité considère le geste comme un simple acte de vandalisme et bien que ces individus assument leurs méfaits.
Vivre en société implique la notion de respect….Venir faire le grafouilleur sur mes murs est un manque de respect en mon endroit….Cela peut sembler intransigeant mais la liberté de l’un s’arrête ou débute la liberté de l’autre. Si ces etres en mal de crise d’hormones viennent sévir ils devront affronter une répression sociale….et subir les méfaits de l’appareil judiciaire.
Dura lex sed lex.
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7 août 2008 à 08 h 42
J’ai un problème avec la philosophie de Mathieu comme quoi il est tolérable que des gens fassent des graffitis dans les endroits laids. Peu m’importe que quelqu’un vienne peindre un tableau digne de Da Vinci sur le mur de béton gris et moche d’un fond de ruelle où personne ne passe, si c’est fait sans autorisation sur le bien publique ou sur une propriété privée alors je suis d’accord pour qu’il s’expose à une sévère amende.
Par contre, je reconnais que certains graffitis sont très intéressants et qu’ils contribuent au décor urbain. La ville et même les propriétaires de résidences devraient davantage faire appel au talent de ces artistes pour décorer leurs propriétés et les rémunéré en conséquence. Mais c’est à eux seul de décider ce qu’ils veulent voir sur leurs murs et non à quelqu’un d’autre de venir imposer quoi que ce soit.
Et pour répondre à votre question Mathieu, le bris de tables à pique-nique et autre mobilier urbain est également quelque chose qui ne devrait pas être toléré. Savez-vous combien ça coûte à la population d’installer une seule table à pique-nique dans un parc ?
Et oui la différence c’est bon, tant que c’est fait dans le respect, et toute forme de vandalisme est entre autre chose une forme de manque élémentaire de respect.
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7 août 2008 à 11 h 38
Je questionne la pertinence de ce genre de billet qui revient souvent, lorsque je lis les commentaires et constate tous simplement (généralement) que cela ne fait que ressortir de l’intolérance et peut-être un manque de discernement de certain lecteur.
Heureusement ce n’Est point l’opinion de la majorité de ceux qui lise QU.
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7 août 2008 à 14 h 53
Parce que selon toi je suppose, l’opinion de la majorite representerait necessairement des positions plus eclaires, mieux documentes voir plus acceptables. Je n’ose pas imaginer ce que Galilee a pu ressentir apres qu’il eut declarer que la terre est ronde!!!
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12 août 2008 à 13 h 21
L’intolérance, qu’est-ce dont ? le fait de ne pas accepter que les biens publics soient saccagés ? Tant que c’est public, paradoxalement ça ne touche directement personne car on n’a pas l’impression de payer « de suite ». Des artistes ? oui pour certains, très peu d’entre eux, et les graffitis que l’on voient sur les panneaux publics ne sont pas le fait d’artiste mais de vandales, juste comme ça, parceque ça dérange l’opinion public. c’est une façon de ce rebeller contre le système…Tant que l’aérosol n’était pas abordable en supermarché, cette forme de dégradation n’était pas répendu.
Aujourd’hui l’Europe « tolérante » est devenu poubelle dans bien des grandes villes,(gommes au sol, crachats en tous genre, escréments de chien sur les trottoires, papiers, canettes vident jetées en pleine rue..) Aujourd’hui en Europe ce ne sont plus les panneaux qui sont tagués mais vos voitures. Et là ce n’est plus le même son de cloche ! parceque là ça touche au portefeuille directement, dès le lendemain, pour nettoyer. Combien de personnes tolérantes accepteraient de rouler avec leurs voitures taguées ? Combien de ses gens tolérants disaient il y à encore dix ans « il faut être tolérant ce ne sont que des artistes qui s’expriment »
Où commence et où fini la tolérance ? Où commence et où fini l’éducation ?
Qu’aurait-il fallu faire il y à quelques années pour stopper l’hémoragie de « l’art de la rue » pour qu’elle ne s’applique pas ajourd’hui aux voitures ? aux biens personnels ? aux façades de commerce ? Aujourd’hui en France dans une ville comme Lyon sur des rues piétonnes comme la rue « de la République » en plein centre ville, quand le commerçant qui a investit des sommes considérables ne peux pas ouvrir sa boutique car les façades vitrées de celle-ci on été « taguées » pendant la nuit « par de jeunes artistes » Est-ce de l’art ? Est-ce que sa vitrine de commerce doit servir de support à l’expression artistique ? Les tolérants dans l’âmes que feraient-ils ? viendraient-ils au travail avec leurs voitures taguées, ouvrirent leurs boutiques aux vitrines taguées ? L’Europe seraient-elle un vivier d’artistes de la rue ? Savez vous qu’en Europe et notamment en France certains matin des trains ou des métros ne peuvent pas partir parceque de « jeunes artistes on tagués » toutes la nuits les vitres de ses moyens de locomotions ? De la même façon qu’ils auraient tagués les panneaux d’indication à Québec. Alors que faut-il faire ? Attendre patiemment et payer un peu plus chaque année pour laisser s’exprimer l' »Art de la rue  » ??
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12 août 2008 à 17 h 41
Et bien il y en a qui réagisse, hi hi hi ! ;-)
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29 août 2008 à 22 h 25
Les  »tags » comme vous le dites sont un mouvement très bien doccumenté ayant pris naissance dans les metros new yorkais au début des années 70/ fin des années 60. Ces signatures etaient celles d’individus inscrivant un surnom, souvent accompagné de la rue sur laquelle ils vivais ex: taki 183.
Cette brève introduction pour vous amener au  »vif » du suget. Ce qui est sur ce panneau d’interprétation n’est clairement pas un nom… donc, par définition ce n’est pas un  »tag ». Donc a la base, le nom de votre billet est completement absurde. La moindre des choses avant de porter une critique aussi radicale sur un sujet, c’est d’en connaître les bases mêmes, ce que vous ne semblez pas faire.
Même les vilains  »taggeurs » comme vous les appelez, trouve ce genre de vandalisme tout a fait absurde! Ce que ces gens observent sont le style, le placement et le rendu final du  »tag » en question. Donc même du point de vue d’un de ces vilains  »taggeurs » ce genre de vandalisme est ridicule.
Je comprends que la chose vous importune, mais si vous preniez ne serait-ce que une heure pour tenter de comprendre la démarche derrière l’exercice vous pourriez peut-être remarquer meme dans un tag rapidement executé la meme dynamique que celle d’un tableau abstrait ou un artiste a projeté de la peinture sur une toile… ce n’est pas superbe, c’est une recherche de dynamique, même chose pour le tag.
Je ne critique pas la politique internationale parce que je n’y comprends absolument rien… donc vous ne me verrez pas sur les blogs a dire: tout ca c’est moche, ca cause des guerres, ca brise la nature et ca pollue… On devrais abolir les gouvernements…
faites-en donc de même pour tout ce qui touche le mouvement du graffiti =)
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1er septembre 2008 Ã 12 h 55
wouha… alors là je suis scotcher, tant de haine de mépris d’incompréhension, moi qui ai visité le Québec pour mes vacances je ne voyais pas les habitants comme ça.( je sais que ce n’est pas la majorité) Je suis un tageurs ainsi qu’un graffeurs de 18 ans, et je le fait non pas pour vandalisez un environnement ( crade est architecturalement immonde ) mais car c’est une magnifique occasion de l’embellir un peux, et dites moi? vous voyer les mures sans tag vous pouvez me dire leurs couleurs? vous ne voyer pas la pomme si rouge mais le vert qui en sort. je dois avouez que je comprend que certaine personne n’aime pas ça mais de la a fouetter un homme bordel vous ne trouver pas que le monde vas assez mal comme ça??? le tag ne fait de tord a personne, ce n’est pas un meurtre ou un vol. vous ne pouvez pas comprendre je pense car vous n’etes pas ouvert. en visitant Montréal j’ai vu passablement de tag ou graff mais merde j’y ai aussi vu des tox des clochards des putes et vous ne les chasser pas pourtant? ce que je veux dire par là c’est que ce serait du racisme de faire çà vous êtes d’accord non ? alors que pourtant c’est la vile qui les a créé tout comme les tag, a chaque environnement son problème et celui des villes se sont les coincés du Q pas les tag, je vais m’arrêter la car j’ai envie de pisser sur leurs mures comme sa ils pourront aussi se plaindre des gens qui on une vessie… ( je viens de suisse et je sais lire merci a Raymond Dorris et tout les autres de m’avoir réconforter dans mon action, mort au con, au intolérant, au fascistes et VIVE LA VIE!!!!!!!!!!!
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10 septembre 2008 Ã 06 h 20
« alors que pourtant c’est la vile qui les a créé tout comme les tag, a chaque environnement son problème et celui des villes se sont les coincés du Q pas les tag, je vais m’arrêter la car j’ai envie de pisser sur leurs mures comme sa ils pourront aussi se plaindre des gens qui on une vessie… »
Sans commentaire…
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