Québec Urbain

L’Urbanisme de la ville de Québec en version carnet…


Fermeture de l’école Notre-Dame-de-Foy: des citoyens s’organisent

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 16 septembre 2008 41 commentaires

C’est le web 2.0 à l’échelle hyper-locale. Le comité d’action contre la fermeture de l’école Notre-Dame-de-Foy, que la Commission scolaire des Découvreurs juge non rentable, ont récemment ouvert un blog pour que tous puissent suivre le déroulement de leur mobilisation.

Voir aussi : Arrondissement Ste-Foy / Sillery / Cap-Rouge.


41 commentaires

  1. Charles

    16 septembre 2008 à 10 h 16

    La bêtise (bis); on ferme des écoles à Sainte-Foy pour en rebâtir d’autres en périphérie.

    Une bêtise qui nous coûte collectivement des centaines de millions à l’échelle provinciale, payable à même vos taxes scolaires, municipales, provinciales et fédérales. L’étalement urbain est la seule et unique cause.

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  2. Benoît

    16 septembre 2008 à 11 h 10

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  3. Carol

    16 septembre 2008 à 11 h 23

    « L’étalement urbain est la seule et unique cause. »

    Faux ! C’en est une des causes, les autres sont les choix en tant que collectivités que nous avons faites pas toujours éclairées!

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  4. Denis

    16 septembre 2008 à 11 h 48

    Une école pour moins de 200 élèves. Il me semble que c’est seulement la logique qui parle quand on mentionne qu’elle doit fermer.

    On est pas dans un rang de campagne.

    Enfin, il me semble qu’y en a qui trippe gros avec leur étalement urbain. Vous êtes fatiguant, c’est incroyable, pire que les SPAM de type « Enlarge your penis ».

    En passant mon commentaire ne veut pas dire que je suis pour l’étalement urbain, mais on a fait le tour de la question des millions de fois, et quand on sera rendu à Ste-Marie ou ben à Donnacona, on parlera d’étalement.

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  5. Charles

    16 septembre 2008 à 12 h 12

    Le problème, denis, c’est que les Québécois sont un peuple semi-nomade (voir 1er juillet) et que les écoles sont, pour la plupart, en béton. On aurait intérêt à les construire sous des chapiteaux.

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  6. Benoît

    16 septembre 2008 à 12 h 54

    Denis, l’étalement urbain est une plaie à tous les nouveaux. Donnez-moi un seul avantage de la banlieue pour la société qui ne soit pas dommage à long terme et je changerai mon fusil d’épaule.

    En attendant, on assiste à des fermetures d’école dans les premières banlieues pour des secteurs plus neufs et encore plus éloignés, jusqu’au suivant… Wow!

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  7. Benoît

    16 septembre 2008 à 12 h 54

    « nouveaux » pour « niveaux »…

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  8. Denis

    16 septembre 2008 à 12 h 59

    @Benoît,

    Puisque j’ai pris la peine de mentionner que je N’étais PAS (NE PAS = NÉGATION) pour l’étalement urbain, je ne vous donnerai aucun argument qui irait dans le sens contraire de ce que je crois réellement.

    Par contre, ce que je peux vous mentionner, c’est que l’argumentaires entourant ce sujet est discuté à de multiples reprises sur ce blogue. Alors les choses récurantes ne sont pas très constructive.

    Au fait, vous proposez quoi comme solution?

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  9. Benoît

    16 septembre 2008 à 13 h 08

    Ma solution? Cesser de fermer des écoles pour en ouvrir d’autres ailleurs. Fermer une école pour une baisse naturelle de la population est une chose, mais fermer une école en raison d’un déplacement de la population en est une autre.

    Si les gens veulent s’installer dans un beau quartier éloigné en briques roses, soit! Mais qu’ils s’attendent à faire voyager leurs enfants davantage.

    Comme l’immense majorité du type de développement en Amérique du Nord, c’est une vision à court terme particulièrement stupide et néfaste.

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  10. Jacques T.

    16 septembre 2008 à 13 h 38

    L’unique raison de la fermeture de ces deux ecoles est la baisse du nombre d’enfants en bas age dans ce secteur de Sainte-Foy.

    Arretez de penser que la population de la Pointe-de-Sainte-Foy déménage vers la banlieue. Avec la construction de multiples condos dans ce secteur ce sont les ainées des banlieues qui vendent leur maison et qui viennent s’installer à la Pointe-de-Sainte-Foy.

    Pour ce qui est des banlieues, si vous avez des reproches à faire, faites-les a Monseigneur de Laval et à Jean Talon qui ont été les premiers à promouvoir l’installation de familles sur tout le territoire.

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  11. Yvan Dutil

    16 septembre 2008 à 14 h 20

    Pourtant dans ces secteurs viellissants, il y a aussi plusieurs jeunes couples qui rachetent les maisons délaissées par les babyboomers. Dans mon coin à Sainte-Foy, c’est ce qui s’est passé. Maintenant, il y a plein d’enfant dans le quartier et il y a trois classes de maternelle alors qu’il était difficile d’en fait deux il y a quelques années.

    À mon avis, mieux voudrais attendre un peu avant de fermer ces écoles. Un quartier sans école, c’est pas très attirant pour les parents.

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  12. Marie

    16 septembre 2008 à 14 h 22

    Effectivement, ce quartier, à l’image de toute la Ville, compte plus de personnes âgées que de jeunes enfants. Peut-être que le quartier est devenu moins abordable, ce qui expliquerait que les jeunes familles s’installent ailleurs. Sans doute aussi que la direction a manqué de vision dans sa gestion de l’école. Il aurait été intéressant de donner à cette école une plus-value (arts-études par ex) au lieu de se contenter d’en faire une simple école de quartier.

    M’enfin, je dis ça c’est mon opinion.

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  13. Denis

    16 septembre 2008 à 15 h 54

    « Peut-être que le quartier est devenu moins abordable, ce qui expliquerait que les jeunes familles s’installent ailleurs. »

    Effectivement Marie, c’est un bon point. Tant qu’à dépenser 200 000$ pour un bungalow des années 60 sans compter les rénovations, autant se chercher un terrain vierge et y bâtir sa propre maison. Après tout, pourquoi certains n’auraient pas droit à la nouveauté comme une génération entière l’a eu?

    Je dois admettre que si le coût était de 25% moindre que d’aller plus loin, je préférais demeurer dans les quartiers plus au centre, mais ce n’est pas le cas.

    Donc faisons de l’étalement urbain et allons nous bâtir à Montmagny. Je rigole.

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  14. psa

    16 septembre 2008 à 16 h 11

    Les vieux gardent leur maisons, les familles ne se renouvelle pas tout simplement. Les familles vont ou il y a de la place en banlieu.

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  15. Paul Bienvenue

    16 septembre 2008 à 16 h 27

    « L’étalement urbain est la seule et unique cause. »

    Faux.

    « Enfin, il me semble qu’y en a qui trippe gros avec leur étalement urbain. Vous êtes fatiguant, c’est incroyable, pire que les SPAM de type “Enlarge your penis�. »

    Vrai.

    « Donnez-moi un seul avantage de la banlieue pour la société qui ne soit pas dommage à long terme  »

    La santé mentale et physique. Vivre en banlieue est beaucoup moins stressant que vivre en ville.

    « L’unique raison de la fermeture de ces deux ecoles est la baisse du nombre d’enfants en bas age dans ce secteur de Sainte-Foy. »

    Vrai.

    “Peut-être que le quartier est devenu moins abordable, ce qui expliquerait que les jeunes familles s’installent ailleurs.�

    Très vrai.

    Félicitations à tous pour ces commentaires justes et équilibrés. Quant aux autres évangélistes radoteurs, pouvez-vous slaquez la poulie un peu s.v.p.?

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  16. Philippe Tremblay

    16 septembre 2008 à 19 h 22

    “Donnez-moi un seul avantage de la banlieue pour la société qui ne soit pas dommage à long terme �

    La santé mentale et physique. Vivre en banlieue est beaucoup moins stressant que vivre en ville.

    J’aimerais bien qu’on me sorte une seule étude qui démontre qu’on est moins stressé à Beauport que dans le centre-ville de Québec, et que cette différence s’explique uniquement par le lieu de résidence et non d’autres facteurs démographiques (e.g. emploi, revenu, realité familiale, etc). Stressant vivre à Québec? On est pas à Washington ou à Philadelphie…

    Pour ma part, et c’est un commentaire très personnel, c’est la monotonie de la banlieue qui me stress…

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  17. Jean Cazes Utilisateur de Québec Urbain

    16 septembre 2008 à 20 h 56

    « “Donnez-moi un seul avantage de la banlieue pour la société qui ne soit pas dommage à long terme �

    La santé mentale et physique. Vivre en banlieue est beaucoup moins stressant que vivre en ville. »

    La santé mentale et physique… Cré M. Bienvenue! Sortez-nous des preuves de ce que vous avancez!

    En attendant, je vous suggère une relecture de trois billets précédents:

    https://www.quebecurbain.qc.ca/2008/02/20/pour-une-ville-qui-marche-de-marie-demers

    https://www.quebecurbain.qc.ca/2006/08/23/obesite-la-dependance-a-lautomobile-montree-du-doigt

    https://www.quebecurbain.qc.ca/2005/10/29/la-banlieue-un-mauvais-reve-retour-sur-une-etude-qui-a-fait-jaser-lhiver-dernier

    Jean Cazes
    Géographe et citoyen de Limoilou depuis 1992
    http://www.sauvonskyoto.org/francais/petition.asp ;-)

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  18. Max

    17 septembre 2008 à 02 h 22

    @Paul

    Ça sort d’où ça, «c’est moins stressant de vivre en banlieue qu’en ville?»
    Tu règles ça en deux secondes à coup de vrai ou faux.

    Explique-nous ça mon Paul, toi qui semble tout connaître!

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  19. nietnietniet

    17 septembre 2008 à 07 h 13

    En effet, Québec n’est pas une grosse ville stressante. Qu’on préfère l’espace de la banlieue à la proximité du centre-ville, soit ! Mais qu’on ne vienne pas me dire que c’est stressant rester à Québec.

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  20. Benoît

    17 septembre 2008 à 07 h 25

    Avoir un voisin comme Paul en banlieue serait assez stressant pour me passer la corde au cou.

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  21. Paul Bienvenue

    17 septembre 2008 à 08 h 33

    « Ça sort d’où ça, «c’est moins stressant de vivre en banlieue qu’en ville?» »

    Il me semble que c’est évident. Êtes-vous vraiment aussi bouché pour ne pas voir une telle évidence?

    J’ai vécu au centre-ville de Montréal et de Québec, pour votre information. Par où commencer? Bruit, pollution, gens qui courent dans tous les sens, etc. Il n’y a aucune comparaison possible. C’est indiscutable.

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  22. Jean Cazes Utilisateur de Québec Urbain

    17 septembre 2008 à 09 h 02

    « J’ai vécu au centre-ville de Montréal et de Québec, pour votre information. Par où commencer? Bruit, pollution, gens qui courent dans tous les sens, etc. Il n’y a aucune comparaison possible. C’est indiscutable. »

    Paul: je demeure dans Limoilou, et pourtant, je ne me sens pas du tout stressé dans l’environnement où j’habite, une rue traquille de triplex. Et même si tu avais raison, qu’on généralisait en admettant que la ville est généralement plus stressante, des centaines d’études prouvent qu’on s’en va vers un cul-de-sac social et environnemental en étendant les villes dans les champs de patates au profit du rêve américain du « bungalow très basse densité classe moyenne ». Et les gouvernements encouragent cette fuite en avant, en commençant, ce qui n’est surprenant, par nos « dévoués et très visibles » conservateurs qui savent cibler leurs électeurs types:

    http://nouvelles.sympatico.msn.ca/Stephen+Harper+en+Ontario+Nouvelle+maison+vieux+pont/Accueil/ContentPosting_SRC_grands_titres?isfa=1&newsitemid=411280&feedname=CBC_TOPSTORIES_V3_FR&show=False&number=10&showbyline=True&subtitle=&detect=&abc=abc&date=True

    C’est ça, penser à court terme et indidividuel, plutôt que collectif!

    Et contrairement aux préjugés de certains banlieusards qui n’ont pas mis les pieds dans les quartiers centraux depuis des lustres, je vois régulièrement des enfants allumés, heureux et ouverts d’esprit dans Limoilou. À lire, mon billet:

    https://www.quebecurbain.qc.ca/2006/11/07/quebec-ville-pour-enfant

    Agissons localement, pensons globalement. Voilà! ;-)

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  23. Manu

    17 septembre 2008 à 12 h 36

    L’étalement urbain n’a rien à voir là-dedans… si on avait un mouvement de migration des familles vers un secteur plus central, on fermerait Notre-Dame-de-Foy au profit d’une école dans le secteur plus central. Il ne s’agit que de maintenir des écoles là où il y a des enfants. Je me fie ici aux résultats de leur étude, et je ne suppose pas que la commission scolaire agit par intérêts douteux, en voulant vendre un terrain qui vaut cher par exemple (je suppose plutôt que c’est un simple adon).

    L’étalement urbain est un phénomène qui existe. Mais mautadine que j’suis tanné des mêmes sans dessein qui passent leur temps à dire que c’est la cause de tous les problèmes. Et si on disait plutôt que le problème c’est plutôt les égoïstes qui vivent en ville à une ou deux personnes dans un 4 et demi, alors qu’on pourrait y mettre une famille de 6 personnes comme il y a 50 ans. Est-ce qu’on arrêterait alors de se faire emmerder par des « p’tit chialeux de ville » qui se plaignent quand les banlieusards viennent en ville en auto parce qu’on y offre ce qu’ils cherchent, et qui se plaignent encore lorsqu’ils ne viennent plus en ville parce qu’on déplace l’offre de service en banlieue.

    Si vous n’acceptez pas de fonder une famille nombreuse dans un petit logement en ville, ne venez pas vous plaindre de ceux qui, comme vous, ne veulent pas le faire en ville. Alors mettons les écoles là où il y a des enfants. Logique non?

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  24. Max

    17 septembre 2008 à 12 h 56

    Pauvre Paul, tu sembles difficilement faire la distinction entre un fait objectif et ton opinion personnelle toute relative.

    Alors que tu parles de stress au centre-ville, d’autres parlent de vitalité et d’action. Fais juste avouer que c’est pas pour toi, sois bon joueur Paul.

    Je fais tout à pied et à vélo, je passe pas mon temps à rager sur le prix de l’essence et la congestion routière parce que j’en suis beaucoup moins dépendant que les banlieusards. Je passe pas mon temps dans des power centers et j’ai pas besoin d’un char pour aller au dépanneur et à l’épicerie. La banlieue est un accident de l’histoire et on commence à s’en rendre compte.

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  25. Paul Bienvenue

    17 septembre 2008 à 13 h 07

    Il n’y a rien de sain à vivre empilés les uns sur les autres, sans espaces et sans arbres, quoiqu’en disent les 5 extrémistes qui tiennent malheureusement ce site en otage.

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  26. Max

    17 septembre 2008 à 13 h 14

    @Manu

    «Et si on disait plutôt que le problème c’est plutôt les égoïstes qui vivent en ville à une ou deux personnes dans un 4 et demi, alors qu’on pourrait y mettre une famille de 6 personnes comme il y a 50 ans.»

    Me semble que tu nous as déjà servi cela comme argument. Tu te rends comptes que ça mène nulle part. Personne ne veut vivre à 5 ou 6 dans un quatre et demi de nos jours et c’est tant mieux (question de salubrité). De toute façon, des familles de 5 ou 6, il n’y en a que très peu maintenant. Contrairement à ce que tu sembles croire, un centre-ville ne comporte pas seulement des 4 1/2 (quel cliché), mais des vraies maisons aussi (oui, oui). Et la densité d’un population dans un secteur est une mesure sérieuse qui ne se compte pas seulement en préjugés, comme tu sembles le faire.

    J’ajoute que tu devrais plutôt remercier les égoïstes (sic) qui n’ont pas tous quitté les centres villes et qui font vivre la ville. La renommée et le rayonnement de Québec (et de toutes les grandes villes) passe par le dynamisme de sa vie en ville… et non par ce qui se passe dans une banlieue anonyme à l’architecture douteuse. Je pense aux condos dans Lebourgneuf qui récréent du vieux en neuf… Quel paradoxe!

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  27. Max

    17 septembre 2008 à 13 h 18

    Sans arbres!, tu te fous de ma geule. As-tu déjà marché dans Montcalm et Limoilou?

    Quelle mauvaise foi!

    Alors que Manu dis qu’on a trop d’espace en ville, Paul trouve qu’on vit empilés…. Ouff, je sais plus qui croire.

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  28. nietnietniet

    17 septembre 2008 à 14 h 07

    Franchement Paul ! Pas d’arbres !

    Il y a des secteurs ou il n’y pas beaucoup d’arbres mais j’en connais plein d’autres qui sont parsemés d’arbres et de beaux parcs.

    D’ailleurs si tu te promènes dans le nouveaux développements en banlieue, c’est assez désertique !

    En ce qui concerne le bruit, c’est vrai qu’il y en a plus qu’en banlieue. Pollution ? C’est pas exactement Pékin. Pis de gens qui courent dans tous les sens !! C’est assez relax dans Montcalm et SJB, je vois pas personne se garocher partout.
    D’autre diront qu’il y a de la vie.

    Ca me tape sur les nerfs ces gens qui possèdent la vérité absolue. Les banlieusards qui disent que la ville c’est sale et moche et les citadins qui disent que la banlieue est ennuyeuse.

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  29. Philippe Tremblay

    17 septembre 2008 à 14 h 41

    Paul Bienvenue a écrit:
    « Il n’y a rien de sain à vivre empilés les uns sur les autres, sans espaces et sans arbres »

    Après vous essayez de nous faire croire que vous avez déjà vécu à Québec… si vous sortiriez de chez vous verriez que des arbres, c’est pas ca qui manque à Québec (même que certains ici trouvent qu’il y a trop de parcs en ville, c’est bien pour dire).

    De toute façon il est impossible d’avoir une discussion avec vous, vous prenez vos opinions et prejugés personnels pour des dogmes et vous traitez de bouchés tout le monde qui ne pense pas comme vous. Rester ignorant si ca vous rend heureux. Et de grâce restez dans votre banlieue!

    Fin de la discussion qui s’est déjà trop eloigné du sujet de ce billet ;)

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  30. Claudie

    17 septembre 2008 à 14 h 47

    Il me semble qu’il y a moyen d’avoir une opinion sans tapocher les autres…

    Lors de la création de ce site, les gens avaient pleins d’opinions différentes sur les sujets abordés et chacun disait ses arguments dans le respact des autres. Aujourd’hui j’ai l’impression que c’est à celui qui criera le plus fort!

    C’est dommage

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  31. Denis

    17 septembre 2008 à 14 h 56

    « J’ai vécu au centre-ville de Montréal et de Québec, pour votre information. Par où commencer? Bruit, pollution, gens qui courent dans tous les sens, etc. Il n’y a aucune comparaison possible. C’est indiscutable. »

    En fait au contraire, je trouve cela très discutable. En effet, lorsque j’habitais au début de la rue Saint-Paul (En face des Façades de la gare, là où y a une SAAQ) donc tout juste à côté de l’autoroute dufferin, je trouvais toujours que le coin était plus relaxant quand je revenais de chez mes parents à Saint-Augustin, limite de Cap-Rouge.

    Le bruit qu’on entend et le stress environnant dans ce développement des années 90 est tout à fait déplaisant, et je cite:

    – Enfants criant à tue-tête de 8h00 à 20h00
    – Bruit de tondeuse une à la suite de l’autre
    – Bruit de scie, clouage, rénovation ou autre
    – Musique d’un voisin toujours trop fort
    – Hydravion en basse altitude
    – Enfants jouant en plein milieu de la rue (toujours peur d’en écraser un)
    – Adolescents en fin de soirée, saoul et qui jasent forts (dieu sait qu’une voix d’ado qui mue c’est stressant, surtout à une heure du matin quand tu veux dormir)
    – Char modifié qui passe
    – Pleur de bébé à 6h00 du matin (un quartier c’est écho, surtout à l’arrière)

    Bref, les stimulis que l’on retrouvent en banlieu sont d’autant plus stressant que ceux que j’ai retrouvés en ville.

    Par contre, faudrait arrêter de nous écoeurer avec la banlieu et le centre-ville, Québec est crissement petit pis l’étalement urbain est un rien ici.

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  32. Charles

    17 septembre 2008 à 15 h 03

    Pour revenir au sujet, la fermeture d’une école précipite le déclin et la mort d’un quartier. Dans le cas d’une communauté rurale, c’est encore pire.

    Dans le cas précis de Notre-Dame-de-Foy, l’église patrimoniale a brûlé il y a plusieurs années. Les ruines ont subsisté, et on a tenté d’en faire un centre d’interprétation avec plus ou moins de succès. On a recontruit une église moderne juste à côté, et la communauté colombienne de Québec a donné un peu de vie à ce quartier. L’école en est le prolongement naturel. Fermez l’école, dispersez les immigrants, et croyez-moi, pour la plupart, c’est le petit coup de pouce dont ils ont besoin pour quitter-non pas le quartier-mais la ville de Québec. Ils iront retrouver leurs compatriotes à Montréal ou Toronto.

    La fermeture de cette école n’est bonne pour personne. Et prouve la myopie de plusieurs de nos concitoyens.

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  33. Max

    17 septembre 2008 à 23 h 40

    «Par contre, faudrait arrêter de nous écoeurer avec la banlieu (sic) et le centre-ville, Québec est crissement petit (sic) pis l’étalement urbain est un rien ici.»

    Voici un extrait du site web de la Copreq:

    Le savez-vous?

    * Québec est la ville d’importance où il y a le plus d’asphalte par superficie en Amérique du nord.
    * Québec est la seule ville au monde où on compte 5 axes autoroutiers (nord-sud) sur une largeur (est-ouest) de 7 km.
    * Québec possède le record du monde en superficie de centres commerciaux par habitant.

    ««««««««* Québec (400 000 habitants avec l’agglomération) s’étale comme une ville de 2 millions d’habitants.»»»»»»»»»»»»»»»»»

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  34. Manu

    18 septembre 2008 à 00 h 39

    @Max : je sais très bien que mon argument n’est pas plus sérieux que ceux qui nous achalent tout le temps avec le même discours d’étalement urbain. C’est justement pour montrer que l’étalement urbain n’est pas causé par des gens qui décident de s’installer là où c’est possible de le faire.

    En passant, on peut avoir de l’asphalte, des autoroutes et des centres d’achats sans que ce soit nécessairement de l’étalement urbain. D’ailleurs, si on regarde d’autres villes comme Calgary, on voit à plusieurs endroits que le ratio asphalte/superficie est plus faible qu’à Québec. Pourquoi? parce que les terrains sont plus grands et que les gens sont beaucoup plus étalés. D’ailleurs, c’est probablement dans les quartiers résidentiels denses de St-Jean-Baptistes ou St-Sauveur qu’on retrouve un haut ratio asphalte/superficie.

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  35. Denis

    18 septembre 2008 à 08 h 34

    Je comprend maintenant pourquoi certains ont beaucoup de difficulté à avoir une argumentation intéressante… Y SE BASENT SUR DES SITES COMME LA COPREQ, pis en plus, ça vient nous écoeurer avec des chiffres bidons SANS SOURCE.

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  36. Jean Cazes Utilisateur de Québec Urbain

    18 septembre 2008 à 08 h 54

    « Je comprend maintenant pourquoi certains ont beaucoup de difficulté à avoir une argumentation intéressante… Y SE BASENT SUR DES SITES COMME LA COPREQ, pis en plus, ça vient nous écoeurer avec des chiffres bidons SANS SOURCE »

    Libre à toi de contredire la source! ;-)

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  37. Denis

    18 septembre 2008 à 10 h 15

    @Jean,

    Je n’ai pas besoin de contredire la source, Y EN PAS. Pourquoi contredire quelque chose qui n’existe pas.

    Tant qu’à y être, pourquoi je ne me ferais pas un site semblable à la COPREQ, et que dans le bas j’y ajouterais des informations de statistique SANS SOURCE, et ce site deviendrait ma source? Comme ça, selon toi, je pourrais contredire la COPREQ.

    Jean, tu t’es surement déjà fait mentionner de citer tes références. C’est quoi la valeur sinon? La crédibilité ca se travail.

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  38. Jean Cazes Utilisateur de Québec Urbain

    18 septembre 2008 à 10 h 44

    « Jean, tu t’es surement déjà fait mentionner de citer tes références. C’est quoi la valeur sinon? La crédibilité ca se travail. »

    Effectivement, je m’efforce d’être le plus rigoureux possible en citant mes sources, entre autres pour rendre justice au travail de ceux je cite…

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  39. Jean Cazes Utilisateur de Québec Urbain

    18 septembre 2008 à 11 h 01

    … de ceux QUE je cite…

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  40. Denis

    18 septembre 2008 à 12 h 09

    « Effectivement, je m’efforce d’être le plus rigoureux possible en citant mes sources, entre autres pour rendre justice au travail de ceux (que)je cite… »

    Et bien voilà. Ainsi, même si Max cite la COPREQ, ce site n’est pas très crédible à la base. S’il était du gouvernement ou autre, j’aurais moins besoin de savoir d’où provient la source, parce que souvent ce sont eux qui font l’analyse.

    Par contre, dans ce cas ci, la COPREQ n’a aucune valeure, et en plus de faire référence à des statistiques, elle n’ose même pas nommer la source.

    Tk, on a fait le tour, j’ai moi-même mal au coeur de me lire.

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  41. Pierre

    1er octobre 2008 à 15 h 19

    À VENDRE …ÉCOLE DE QUARTIER POUR DES CONDOS

    La CSDD a besoin d’ARGENT pour renflouer sa DETTE dans le scénario qu’elle nous a présenté ce printemps, elle a choisi l’école primaire
    Notre-Dame-de-Foy, et CÅ“ur-Vaillant Campanile secteur Ste-Foy pour la fermeture.
    Parlons de dénatalité!
    Les secteurs « centre » de la ville de Québec vivent des moments difficiles.
    La florissante et nombreuse population des années ’60 et des années ’70 n’est plus et les commissions scolaires cherchent des solutions afin d’assurer le maintien de leur budget de fonctionnement en créant de nouveaux programmes. À la Commission Scolaire des Découvreurs (CSDD), il est de leur intention de répondre au
    besoin en forte croissance de francisation des immigrants en mettant en place les
    structures de services qui seront requis. Cette nouvelle clientèle vient donc consolider
    d’une certaine façon la décroissance de la clientèle de la CSDD et nécessite un plan
    d’instauration et de planification afin de gérer la croissance de la francisation.

    _ La qualité de vie de mon QUARTIER est en cause. Un quartier sans école devient vite
    dépourvu d’enfant et la vie active que les enfants amènent ne pourra être
    remplacée, parce que les enfants sont les poumons de la vie.

    Pierre

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