« Pour sécuriser son approvisionnement en eau et colmater les fuites, la Ville de Québec a prévu investir d’importantes sommes au cours des prochaines années. Long de plus de 2450 km et âgé de plus de 100 ans (pour certaines conduites), le réseau d’aqueduc de la Ville est l’objet de soins constants.
Il en est de même pour les réseaux d’égoûts, qui forment un labyrinthe de près de 4125 km jusqu’aux deux usines d’épuration des eaux usées.
Au cours des trois prochaines années, la Ville prévoit investir quelque 54 millions $ pour rhéabiliter et consolider ses insfracstructures. Ces investissements comprennent des travaux de réduction des fuites du réseau d’aqueduc et la modification des conduites afin d’améliorer leurs performances.
Actuellement au nombre de quatre, les usines de traitement de l’eau de la Ville feront aussi l’objet d’importants investissements au cours des prochaines années.
La Ville de Québec dispose de quatre sources d’approvisionnement: le lac St-Charles (57.3% de l’eau traitée), la rivière Montmorency et ses bassins versants (18.4%), le fleuve St-Laurent (18.1%) et les eaux souterraines (6.2%). »
Le Bulletin Municipal
14 mai 2005
J’ajouterais que lors d’un test fait à l’aveugle (eau embouteillée et eau de la Ville de Québec), « les testeurs » ont conclu que l’eau de la Ville était la meilleure. Vu à la télé de Radio-Canada. Est-ce qu’un test fait dans l’arrondissement Sainte-Foy aurait eu un résultat différent?