Source: Yves Therrien, Le Soleil, 17 septembre 2008.
(…) Empruntant la formule du town hall meeting, si chère aux petites communautés anglophones, le maire Régis Labeaume a, pendant deux heures, hier soir, écouté les suggestions de quelque 200 citoyens venus lui dire ce qu’ils souhaitaient pour Québec après l’année fastueuse et festive de son 400e anniversaire. (…)
Si un autre résidant, Dominique Morin, rêve à une candidature olympique de la ville, le maire, lui, a les pieds plus à terre quand on lui demande son avis sur la construction d’un nouveal amphithéâtre sportif et la résurrection d’une équipe de hockey de la Ligue nationale.
«Au-delà du placotage, a indiqué M. Labeaume, ce qu’ils ont fait à Winnipeg (avec leur centre sportif), je le signerais. Mais il faut faire attention à ceux qui créent l’espoir et qui ne font jamais rien.»
«À Québec, dit-il, le sport professionnel est promu par des avocats qui n’ont pas d’argent dans leurs poches ou qui ne veulent pas en sortir. Quand ils nous disent qu’ils ont des investisseurs intéressés, ils ne sont pas capables de déposer une lettre de crédit pour confirmer ces engagements.» (…)
La suite. À consulter, ce billet: Québec en 2009: Les idées de Québec Urbain.
17 septembre 2008 à 15 h 49
On aurait plus souvent en avoir cette perception! Ceci dit, cette rencontre me semblait une bonne initiative. Peut-être fera-t-elle des petits?
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17 septembre 2008 à 15 h 50
« On aurait » = « On aimerait »! : )
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