La lumière au bout du tunnel

13 commentaires

1. Charles

   18 septembre 2008 à 11 h 01

   Peu de gens connaîssent l’existence de ce tunnel à Québec. Si ma mémoire est bonne, il fait quelque chose comme 1,5 km de long et a été construit vers 1930, du temps où il était encore possible de faire des infrastructures sans se faire critiquer.

   N’empêche, cet accès permet aux trains d’effectuer rapidement le trajet entre le parc industriel Saint-Malo et le port de Québec. Un atout précieux pour notre ville.

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2. Martin Otis Utilisateur de Québec Urbain

   18 septembre 2008 à 11 h 03

   çà du être tout un effort pour le creuser dans le cap

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3. Lisette

   18 septembre 2008 à 12 h 40

   Il y a un dicton qui dit  » Il est bon de voir enfin la lumière au bout du tunnel et que ce ne soit pas encore un train qui nous arrive dessus » sauf que dans ce cas-ci, cela ne s’applique pas :-)))

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4. Raymonde Giguère

   18 septembre 2008 à 13 h 17

   Une anecdote à propos de ce tunnel. Tout le monde oublie qu’il existe. Lorsque nous avons emménagé sur Belvédère, la première nuit nous avons entendu le signal du train, puis la vibration sous nos pieds. Je croyais rêver. Nous nous trouvions loin de toute voie ferrée il me semble. Mais le matin bien réveillés mon mari et moi avons pensé à ce tunnel que nous pensions inactf!

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5. Erick

   18 septembre 2008 à 14 h 19

   Ce tunnel comme bien d’autres gros projets de cette époque a probablement été construit avec de la main d’oeuvre à très bon marché durant les années de la grande crise.

   Supposément qu’on voulait s’en servir pour acheminer des équipements millitaires au port discrètement, sauf que les dates de construction tombe entre 2 guerres. Une fois réalisé, il ne servait pas juste à acheminer de la marchandises au port, mais aussi comme corridor de passage pour des trains de voyageurs en provenance de la rive-sud en direction de la Gare du Palais. Il y avait à l’époque 2 voies sur le pont de Québec, dont l’une bifurquait vers Québec, et la Gare du Palais était desservie par l’ouest plutôt que par le nord, ce qui veut dire qu’il y avait des voies qui longaient la rivière St-Charles et la rue Prince-Edouard de Marie de l’Incarnation à la Gare du Palais.

   Contrairement à ce que plusieurs pensent, il est encore utilisé, mais seulement 3 fois par semaine environ, pour acheminer des céréales aux élévateurs à grains de l’Anse-aux-Foulons.

   Plusieurs projets ont été proposés pour « récupérer » ce tunnel, alors q’il n’y avait pas lieu de le récupérer vu qu’il est et a toujours été utilisé, par une compagnie privée de surcroit.

   Je me souviens qu’on parlait de s’en servir comme tunnel comme camions. On imagine qu’aujourd’hui que s’il devait complètement abandonné, ce serait un bon lieu pour une piste cyclable, mais jusqu’à avis contraire, il n’est pas disponible et la compagnie privée actuelle n’a jamais montré l’intention de s’en départir.

   A Vancouver ils ont utilisé un tunnel de ce genre qui était abandonné pour y faire circuler le SkyTrain (métro), le tunnel à voie simple ne permettait pas deux voies de large, mais permettait à deux Skytrains d’y passer l’un par dessus l’autre!

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6. C. A. Comeau, Québec

   18 septembre 2008 à 18 h 31

   Au milieu des années 60, on le surnommait le tunnel du Penn Mass, du nom du restaurant chinois au pied de Belvédère et qui surmontait le tunnel. C’était pour les adolescents une épreuve que de l’emprunter jusqu’à la plage, je l’ai fait au moins 2 fois. On est pas des plus brillant à 14 ans.

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7. Jacques

   19 septembre 2008 à 07 h 30

   Y aurait-il moyen, au moyen d’une carte routière de la ville de voir, dessiné, quel chemin ce trajet emprunte sous terre, pour qu’on puisse se faire une idée des gens qui ont le train qui leur passe sous l’arrière-train ?

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8. Francis Vachon Utilisateur de Québec Urbain

   19 septembre 2008 à 08 h 36

   ici:
   http://maps.google.com/?ie=UTF8&ll=46.799957,-71.242797&spn=0.011648,0.017982&z=16

   Suffit de continuer en ligne droite la ligne de chemin de fer qui semble s’arreter au sud de Charest. C’est là que le tunnel commence. Faire continuer la ligne droite jusqu’au chemin de fer qui longe le fleuve

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9. Marc

   19 septembre 2008 à 10 h 04

   en gros ca passe sous Belvedere

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10. Denis

    19 septembre 2008 à 13 h 49

    Tient ça me fait penser, vous savez le chemin de fer est surmonté du côté Nord d’un viaduc (charest).

    L’an dernier ce viaduc avait dû être fermé pour corriger des problèmes de structure (on voyait d’immense trou).

    Ils vont devoir le refaire au complet avant qu’il ne tombe.

    Alors je me disais: Pourquoi le refaire? Pourquoi ne pas tout simplement refaire la route avec un passage de train, surtout qu’il passe 3 fois par semaine, on s’entend que personne ne va mourrir dans son auto d’attendre 3 min de plus.

    Du coup, on vient d’offrir une plus belle vue sur Québec quand on arrive par Charest, on économise sur la construction d’un nouveau viaduc, on aura pas besoin de le refaire dans 35 ans, bref, c’est ce que je nomme du développement durable.

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11. Erick

    19 septembre 2008 à 14 h 06

    @Denis

    C’est ce que je m’étais dit l’an dernier quand ils on du renforcir à la hâte ce viaduc. Malgré le petit problème de sécurité qu’implique un passage à niveau près d’un portail de tunnel, me semble que cette option serait à évaluer sérieusement, et ce même dans l’optique d’une possible augmentation future du trafic ferroviaire sur cette ligne.

    3 fois par semaine aller et retour c’est à peu près le trafic qui passe sur le passage à niveau sur l’autoroute 20 à St-Hyacinthe, connaissez beaucoup de monde qui ont vu un train?

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12. Joe Bernier

    19 septembre 2008 à 15 h 52

    Pourquoi le refaire? Pourquoi ne pas tout simplement refaire la route… Denis, tu l’as l’affaire, Transport Quebec devrait considerer cette option la. La logique simpose dans un developpement durable. Et avec une economie de combien pensez-vous que cela pourrait se realiser?

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13. Erick

    19 septembre 2008 à 16 h 54

    @Denis et Joe Bernier
    Je ne qualifierait peut-être pas « développement durable » le fait de remplacer un viaduc par un passage à niveau alors qu’en développement durable on encourage généralement le transport ferroviaire. Mais en terme d’économie de fonds publics, là, je suis 100% d’accord.

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