Le retour de la « manne blanche »? Peut-être dès demain soir…
Source: Radio-Canada (Québec), 20 octobre 2008.
Les citoyens des quartiers résidentiels de Limoilou et de la Cité, à Québec, vont voir la neige s’accumuler sur leurs terrains l’hiver prochain. L’administration Labeaume décide d’uniformiser à l’ensemble des secteurs de la ville sa politique de déneigement.
Un comité d’élus, qui s’est penché sur la question du déneigement à la demande du maire, a présenté lundi matin 18 recommandations. Cette démarche fait suite aux 544 cm de neige tombés l’an dernier.
Cet hiver, la neige accumulée au sol sera donc soufflée sur tous les terrains, sauf sur ceux jugés trop restreints pour l’accueillir. Les résidents les plus touchés seront ceux de Limoilou et de la Cité, notamment dans le secteur Sillery. Auparavant, la neige était enlevée dans certains de ces secteurs. (…)
La suite. À consulter enfin, entre autres billets: La Ville de Québec pourrait cesser de déneiger les trottoirs.
21 octobre 2008 à 08 h 36
Le pire c’est que les prévisions disent qu’il va y avoir autant, même plus de neige que l’hiver passé…. Je préfère ne pas y penser
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21 octobre 2008 à 10 h 10
J’espère que ce n’est pas une quelconque pression venant d’une jalousie mal avisée de certaines banlieues envers d’autres qui force cette décision.
Le terrain avant de mon bloc à Limoilou fait probablement 10 pieds carrés. C’est plus un jardin qu’un terrain… De l’autre côté de la rue, la neige s’élevait tellement qu’un dangeureux corridor, retenu par une cloture de fortune, était nécessaire pour sortir des immeubles.
Pourquoi on s’entête à gérer la neige comme si la ville n’existait pas, c’est-à-dire la mettre dans un coin et attendre qu’elle fonde? Pourquoi ne pas la mettre dans le fleuve, utiliser du chauffage géo-thermique pour la faire fondre dans les dépots? Pas toute, juste le surplus! Impact environmenental, direz-vous, mais déplacer la neige a déjà un impact. Me semble qu’il y a un défi d’ingénierie à relever là…
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21 octobre 2008 à 10 h 15
Comment peut-on prétendre sérieusement qu’il y en aura plus ou moins ? La seule chose dont on peut être certain, c’est qu’il y en aura. N’y avait-il pas été dit au début de l’été dernier qu’il serait chaud et sec ? Il n’y a pas de modèle mathématique qui puisse faire de telles prévisions. Seulement, les gens veulent tout savoir et les médias leur donnent sans être vraiment sérieux.
Alors, autant de neige que l’année dernière ? Je l’espère. À moins qu’on ait de grandes vagues de froid ?
Oui, un ou l’autre, question de faire chier les pleutres québécois complexés face à leur hiver.
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21 octobre 2008 à 10 h 24
Martin, la question qu’on devrait plutôt se poser est pourquoi planifie-t-on et gère-t-on la ville comme si l’hiver n’existait pas.
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21 octobre 2008 à 12 h 11
« J’espère que ce n’est pas une quelconque pression venant d’une jalousie mal avisée de certaines banlieues envers d’autres qui force cette décision. »
Rien de tel. C’est juste une question économique. La neige coûte cher à gratter et encore beaucoup plus cher à camionner et entreposer.
Le choix de souffler la neige partout où il reste de la place est tout à fait approprié et j’espère bien qu’ils taxent « localement » en conséquence les endroits où les bâtiments sont collés sur la rue et où l’on doit ramasser le moindre centimètre qui tombe depuis le début de l’hiver. Idem pour les endroit où le stationnement en avant prend tout l’espace.
A la limite ils pourraient même décider de « rapetisser » certaines rues, mais il faudrait qu’ils la déblayent rapidement dès la fonte car les grilles d’égouts se trouveraient bouchées.
Par contre, négliger l’entretien des trottoirs, qui me semble une économie de bouts de chandelles comparé au camionnage de la neige. J’espère qu’ils vont gérer cela intelligemment. Par exemple, déblayer un seul trottoir au lieu de deux sur le 3e avenue c’est pas tout à fait la même chose que de déneiger un seul trottoir sur le boul. Hamel. Même si dans le 2e cas le trottoir est beaucoup moins utilisé, il y est beaucoup moins sécuritaire d’y obliger les piétons à traverser et retraverser le boulevard.
On se fait bien des peurs, mais peut-être que finalement on passera Noel sur le gazon.
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21 octobre 2008 à 12 h 51
Il y a plein de citoyens qui « s’énervent le poil des jambes » pour rien… on parle simplement de mettre de la neige sur les terrains, là où il y a l’espace nécessaire. Cela veut entre autre dire qu’on arrête d’en mettre lorsqu’elle est rendue à débouler dans la rue, dans les allées, sur les habitations, etc. Et si je me fie à l’hiver dernier, lorsque c’est le cas sur un terrain et qu’on ne peut pas simplement souffler la neige aux alentours, on ramasse alors la neige sur est tout le tronçon de rue (j’imagine que ça serait un bordel de gestion et d’inefficacité d’y aller terrain par terrain).
Autrement dit, s’il n’y a pas de place à mettre de la neige, il n’y aura pas de neige qui y sera soufflée. Tout simplement…
C’est d’ailleurs ce qu’a rappelé François Picard hier soir lors de la scéance du conseil municipal (suite à des questions de citoyens, même si ce sujet avait été repoussé de l’ordre du jour).
Je crois, sans en être certain, que cette règle toute simple vient remplacer les calculs de volume de neige admissible sur un terrain en fonction de ses dimensions, sa pente, etc.
Finalement, si par les hivers passés (notamment le dernier) certains se sont retrouvés ensevelis sous la neige (passage piétonniers condamnés, abris d’auto écrasés, etc), cela peut être dû dans quelques cas à une erreur des déneigeurs de la ville (trop de neige ou mal répartie), mais aussi aux déneigeurs privés d’entrées (qui font souvent moins attention que ceux de la ville, juste à les voir aller…), ou à n’importe quel citoyen qui a soufflé ou pelleté sa neige dans un tas qui tenait de peur, en se disant à chaque tempête que ça finirait par arrêter…
Je ne pointerais donc pas du doigt la politique de déneigement (ni l’hiver dernier, ni l’hiver à venir) pour ce genre de problème.
Ici il y a l’hiver et l’hiver il y a la neige. Elle tombe partout et c’est juste normal qu’on en mette partout où c’est possible de le faire, et surtout, le moins loin possible de l’endroit d’où on l’enlève.
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21 octobre 2008 à 13 h 13
@Erick… taxé localement les propriétaires parce qu’ils sont collés sur la rue, ou que leur terrain est plus petit et que la ville doivent ramasser la neige… OK pas de problème, donc en ville la taxe de déneigement sera plus élevée selon votre raisonnement. Alors dans le même ordre, la ville devra taxer de manière importante toutes les banlieues, car il en coûte plus cher pour les alimenter en eaux, en électrictié, en transport en commun, en services municipals.
En ville sur une rue il y a quoi, 3 résidences sur l’équivalent d’une seule en banlieue… C’est pas mal plus rentable que la banlieue… Au prorata, je ne sais pas lequel, mais pour desservir 10 immeubles en banlieue, il me semble que l’effort est 10 fois plus grand qu’en ville… Donc mon compte de taxes en ville va baisser pas mal YES…
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21 octobre 2008 à 14 h 05
@Antoine
C’est déjà ce qui se passait avec Duberger, ils payaient une surtaxe pour ramasser leur neige. Alors s’ils payent un extra pour faire ramasser la neige en banlieue, alors pourquoi pas le même principe en ville?
Désolé mais son applique votre principe… c’est à Loretteville que la taxe d’eau devrait être la moins forte puisque que ca n’y prend quelques mêtres de tuyaux pour se plugger sur l’usine de filtration…
De plus, en ville, rien ne vous empêche de vous coller les uns les autres sans pour autant vous coller sur la rue.
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21 octobre 2008 à 14 h 41
@Erick bonne réflexion sur la ville, on comprend pourquoi l’étallement urbain est si fort à Québec avec ces idées…
Aucun problème avec ton raisonnement… dans ma rue sur 100 mètres de tuyau on est possiblement 20 familles, donc on va payer au prorata…toi possiblement sur 100 mêtres vous êtes possiblement 3 familles… On fait de même pour les transports en communs, les autoroutes, les services municipaux, etc….
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21 octobre 2008 à 15 h 59
@ Erick
La facade de mon bloc en ville fait un peu plus de 6 mètres. Il y a trois logements. Donc, à peu près 2 mètres par logement. En banlieue ca tourne au tour de 20 mètres en incluant le terrain. Il faut donc déneiger environ 10 fois plus de neige pour une maison de banlieue qu’une maison de ville. C’est sans compter que la plupart des rues de banlieues sont beaucoup moins étroites. Selon ton raisonnement « utilisateur-payeur », ca serait plutôt aux banlieues de payer une surtaxe.
« De plus, en ville, rien ne vous empêche de vous coller les uns les autres sans pour autant vous coller sur la rue. »
Elle est bonne…
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21 octobre 2008 à 16 h 18
Je commencerai pas à déclarer une guerre entre banlieue et ville, si on commence ce jeu là de comparaisons de coûts, on n’en finira jamais. On a d’ailleurs un cas précis ici avec le déneigement des problèmes de coûts reliés au centre-ville.
C’est foutrement plate sur ce site qu’à la moindre occasion qui se présente on se met à voir systématiquement la ville chier sur les banlieues…. toujours la même histoire. Si vous saviez combien on n’en a rien à foutre ce ces conneries!
A ce que je sache ce billet traite de neige, non pas d’autoroutes, d’électricité et d’étalement urbain. C’est drôle, masi quand je parlais de gens qui n’ont pas de terrain ou qui ont un stationnement qui prend tout le terrain avant du bâtiment, je ne me rappelle pas avoir prononcé le mot « ville » ou « banlieue ». Des bâtiments collés sur la rue, et surtout des commerces qui utilisent 100% de leur terrain en stationnement, il y en a un maudit paquet en banlieue aussi. Dans cette politique de déneigement, c’est un peu tout le monde qui écope.
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21 octobre 2008 à 16 h 41
C’est pas mal toi qui a commencé ce conflit banlieu/ville ici, Éric.
J’imagine que lorsque tu mentionnais «les endroits où les bâtiments sont collés sur la rue», il ne t’a pas traversé l’esprit que l’immense majorité de ces endroits se trouvent dans les zones centrales. Et que si on commence à taxer plus les zones centrales pour cette raisons, alors il faudrait nécessairement analyser l’ensemble des facteurs?
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21 octobre 2008 à 17 h 41
Érick, c’est toi qui a commencé :-)
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21 octobre 2008 à 18 h 22
Quoiqu’il en soit il est bien que la ville laisse la neige partout ou elle le peut, surtout en banlieue quand les terrains peuvent l’accueuillir. Avant je me souviens que la neige était toujours soufflée sur les terrains. Pour les trottoirs, bien tant que les principaux le sont bien dégagés et que ceux en villes et ds les quartier centraux le soient ( parce qu’il y a plus de piéton ) parfait.
Pour le reste, pourquoi est-ce que la ville ne récupère pas le sable contenue dans la neige à chaque année ??? Et il me semble qu’il devrait y avoir des dépots de neiges « brune » et d’autres pour la neige blanche qui pourrait même être remise au fleuve ????
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21 octobre 2008 à 20 h 23
@ François
« Martin, la question qu’on devrait plutôt se poser est pourquoi planifie-t-on et gère-t-on la ville comme si l’hiver n’existait pas. »
C’est un excellent point ça aussi. Je l’appuie.
Prenons la surface (longueur des routes x largeur) des routes (et stationnements!) à déblayer dans toute la communauté urbaine, multiplions par la quantité tombée (plus de 5m l’an passé), et on obtient le volume à gérer. Pensez à la valeur en mètres (ou pieds) cubiques. Maintenant, pensez que ça se réduit à 1% du volume (disons 10% pour de la neige compacte) lorsque fondu. La solution est très proche, la neige suite à une tempête (i.e. assez propre) devrait aller au fleuve.
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21 octobre 2008 à 20 h 38
@Martin
C’est ce que je disais, pourquoi la neige dite blanche ou propre, celle qui est ramassé lors de la tempête, dans les stationnements avant l’épandange d’abrasifs n,est pas jettée au fleuve tout simplement ??? C’est de l’eau, pas nécessairement polluée il me semble, de toute manière quand elle fond elle va ou ???
Sinon remplissons les carrières inutilisées de Québec ( s’il y en ??? )
Mais il me semble que quelques dépôts à neige blanche pourrait être installés en bordure du fleuve…
Mais aussi la grande question est : pourquoi nier l’hiver et ne pas en profiter…
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21 octobre 2008 à 21 h 59
Oui c’est vrai que l’entreposage de la neige est un sérieux problème pour tous les propriétaires et pour les responsables du déneigement sur le plan municipal. On s’entend que le déneigement est essentiel pour tous les déplacements par tous les moyens de transports. Il est tellement naturel de penser au déneigement pour les véhicules automobiles, pourquoi est-ce si difficile de mettre la même importance pour les déplacements à pied? Pourquoi est-ce si facile de faire passer un règlement qui encourage ni plus ni moins la fermeture des « rues piétonnes » (qu’on appelle trottoirs) en hiver. Pourquoi ne nous offusquerait-on pas autant d’un telle « fermeture » que si on annonçait la fermeture des rues culs-de-sac, pour prendre un exemple?
Fermer les trottoirs aux piétons l’hiver ça veut dire marcher dans la rue, à la place réservée aux véhicules. On connaît l’avidité des automobilistes pour « leur place » dans la rue. Donc un partage risqué et serré de la chaussée. Les malaises à marcher dans de mauvaises conditions engendrent un abandon de la marche comme moyen de se déplacer en hiver. Et si j’ai pris l’habitude de prendre mon char en hiver, pas besoin de se casser la tête pour savoir quel moyen j’utiliserai en été aussi: « tant qu’à faire », j’ai le char à la porte!!! » Ensuite attendre l’autobus le long d’une rue, les deux pieds dans le banc de neige où se trouve le poteau d’arrêt (ou l’abribus enseveli comme on a vu l’hiver dernier) pas tentant d’adopter le transport en commun ça!! Ou bien être obligé de carrément grimper dans le banc de neige pour peser sur un bouton pur le signal de piéton ou pour laisser passer une voiture parce que ça rencontre trop serré… Pas trop incitatif non plus!!! Et que penser des personnes à mobilité réduite, aux fauteuils roulants? Non je crois vraiment que des éléments importants ont manqué à l’analyse du comité pour en arriver à la conclusion que plusieurs trottoirs n’auraient plus besoin d’être déneigés. Je suis d’avis que davantage de trottoirs devraient être mieux entretenus pour faciliter et ainsi encourager l’usage du transport actif et du transport en commun. Ça fait partie de la réalité de la nordicité que plusieurs semblent vouloir occulter plutôt que d’y faire face. Oui de la neige il y en aura et il faut penser à où on la mettra. Mais pas sur le trottoir SVP!
http://www.ville.quebec.qc.ca/actualites/fiche_autres_actualites.aspx?id=7994
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21 octobre 2008 à 22 h 28
dire que la ville a bloqué plusieurs projet de dépotoir a neige privé…
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21 octobre 2008 à 22 h 30
@olivier : Sinon remplissons les carrières inutilisées de Québec ( s’il y en ??? )
si je te dis que la ville de québec a refuser plusieurs projet… alors imagine… la carriere de beauport est maintenant exploité par René St-Pierre pour un dépotoir de matériaux sec… ca m’étonnerai qu’il voudrait la remplir d’eau, et ainsi avoir un systeme de pompage d’eau sale qu’il devra traiter
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22 octobre 2008 à 00 h 35
Vous avez bien raison il faudrait tirer profit de ces tas de neige au lieu de se contenter de les entreposer un peu n’importe ou.
L’hiver dernier nous avons eu plus de 4m de neige entreposes sur notre terrain. Au printemps, notre cloture de bois s’etait completement affaissee. Nous avons demande reparation a la ville, mais en bons administrateurs ils nous disent que la cause est d’ordre naturelle, et qu’ils ne sont pas responsable. Donc au printemps prochain nous allons sortir nos pelles a la « saison des colons » et renvoyer nos bancs de neige a la rue. Vraiment pathetique…
J’ai entendu dire qu’une simple pancarte « Ne pas souffler de neige ici » peut aussi vous sauver plusieurs metres. Essayez-ca!
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22 octobre 2008 à 06 h 11
« C’est pas mal toi qui a commencé ce conflit banlieu/ville ici, Éric. »
What?
J’imagine que lorsque tu mentionnais «les endroits où les bâtiments sont collés sur la rue», il ne t’a pas traversé l’esprit que l’immense majorité de ces endroits se trouvent dans les zones centrales. »
Et quand je disais « Idem pour les endroit où le stationnement en avant prend tout l’espace », je pensais particulièrement aux commerces sur les boulevards de banlieue… mais ca vous ne l’avez pas vu car quand on cherche des puces on s’arrange pour les trouver!
« Mais il me semble que quelques dépôts à neige blanche pourrait être installés en bordure du fleuve… » / « Sinon remplissons les carrières inutilisées de Québec ( s’il y en ??? ) »
Le gros du problème ce n’est pas où l’entreposer, il y a toujours bien assez de champs pour s’en débarasser. Le gros du problème est le « camionnage » de la neige. Ca coute un prix astronomique comparé à juste la souffler sur les
terrains, même dans le cas où le dépotoire n’est pas loin. Et je n’ai pas parlé du cout environnemental…
Pour ce qui est du sel et du sable, j’ai tendance à trouver que la ville en abuse. Ca me fait capoter de les voir mettre du sel à profusion dans des rues résidentielles, en commencant par ma propre rue. C’est quoi le problème à ce qu’un rue reste sur la neige tappée ou la glace tout l’hiver? S’agit de rouler moins vite c’est tout. Me semble que juste un stop de sable aux arrets-stops devrait suffir. Je serais curieux d’en mesurer l’économie!
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22 octobre 2008 à 09 h 31
@Erick
Effectivement, une rue sur la neige tappée ( comme quand j’étais jeune ) au lieu d’une rue complétement sur l’asphalte en tout temps, serait une excellent economie…
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22 octobre 2008 à 23 h 18
@Erick et Antoine : il me semble que c’est déjà ce qu’ils font dans bien des rues, le p’tit tapon de sable avant les intersections. Ils déneigent quand même ce qu’ils peuvent déneiger dans le rue, mais lorsqu’il reste un fond, ils le laissent là, tant qu’il n’est pas trop épais.
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26 octobre 2008 à 15 h 26
J’espère que les déneigeurs employés de la ville seront vigilants pour ne pas souffler trop près des maisons et de respecter les accès tels les portes avants des maisons afin de pouvoir sortir en toute sécurité si incendie. l’an passé plusieurs operateurs de souffleur oubliaient que nous devions pouvoir sortir par la porte avant de notre domicile et je me suis fait répondre tu passeras par la porte patio ,le hic c’est que je n’en ai pas .
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