Source: Marc Allard, Le Soleil, 14 novembre 2008.
Une nouvelle communauté culturelle naît à Québec. D’ici le début mars, environ 200 réfugiés birmans sont attendus dans la capitale, a appris Le Soleil.
Depuis octobre, 79 d’entre eux sont arrivés. Certains restent dans des logements temporaires comme des motels et des auberges et d’autres ont déjà été logés dans des appartements.
Avant leur arrivée, la Ville de Québec ne recensait aucun Birman sur son territoire. Avec 200 réfugiés birmans attendus ? dont la moitié sont des enfants ?, Québec assiste à la naissance d’une petite communauté culturelle, qui devrait bien sûr grandir.
Les Birmans ont été sélectionnés dans des camps de réfugiés au Bangladesh et en Thaïlande par Citoyenneté et Immigration Canada, avec l’aide du Haut-commissariat aux réfugiés des Nations unies.
Ils étaient tous persécutés en Birmanie. (…)
La suite. À consulter, entre autres billets: Journée interculturelle Rondo Mondo: les multiples visages de la capitale.
17 novembre 2008 à 13 h 24
Juste 200! pk pas 1000! jpense que nous avons de la place en masse et de travail en masse pour en prendre 1000 et plus!
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17 novembre 2008 à 14 h 59
Bien d’accord avec toi René D. Par contre le problème c’est qu’on risquerait de brusquer nos bons p’tit villageois. Oui, les mêmes qui ne se sont toujours pas remis des cinq édifices en hauteur construits sous l’ère Lamontagne, imaginez alors leur réaction si leur gros village deviendrait un petit peu cosmopolite. Imaginez la réaction de ces villageois qui croiseraient un concitoyen d’origine Birmane, Chinoise ou pire » un nègre » dans une allée de leur supermarché. C’est triste pareil d’écrire ça, ville de Québec, dernier vestige de l’ère Duplessiste, capitale du Québec profond où les mentalités évoluent au rythme du glacier.
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17 novembre 2008 à 18 h 48
Encore du monde illégale y devraient rester dans leur pays les estie
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17 novembre 2008 à 21 h 43
Il faut plutôt souhaiter la bienvenue à ces gens et espérer qu’ils seront bien ici
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17 novembre 2008 à 21 h 47
À Sébastien Gauthier
Il faudrait peut-être que tu sorte un peu en ville mon homme…
Tu sembles très mal connaître Québec.
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17 novembre 2008 à 22 h 04
Sébastien: je suis un « villageois » ayant bien connu l’époque des démolitions massives de l’ère Lamontagne et qui par ailleurs, a fait du jumelage civique dans des programmes d’accueil de réfugiés politiques qui ont fuit des régimes barbares…
Attention aux clichés! ;-)
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29 janvier 2009 à 15 h 20
Yiicchh… Des commentaires comme celui de Dave, ça fait peur!… Mais je pense que Sébastien exagère peut-être un peu aussi. Je ne pense pas que Québec soit si fermée sur elle-même, mais je la vois plutôt comme en pleine évolution sociale. On aura pas le choix d’ouvrir nos frontières, et je pense que la génération qui arrive est beaucoup plus ouverte que la précédente. Il faut donner la chance au coureur, et ça va dans un sens comme dans l’autre : donner le temps au Québécois de se faire à l’idée que Québec ne sera pas indéfiniment blanche et catholique, et donner la chance aux Birmans comme aux autres de s’intégrer dans nos entreprises, dans notre milieu de vie. Beaucoup de politiques vont déjà dans ce sens-là, le reste est une question de temps…
Il faut avoir confiance en l’humain, que je crois être quand même passablement civilisé dans la Capitale! :)
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