Québec Urbain

L’Urbanisme de la ville de Québec en version carnet…


Nouvel hôtel dans la région

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 20 septembre 2005 4 commentaires

Grand format 800 X 600, Le Times Québec, 14 septembre 2005. Photo: Jean Cazes

L’Hôtel et Suites le Times, qui comprend 112 chambres, a ouvert ses portes au début de l’année. Localisé sur le boulevard Hamel, un peu à l’est de l’autoroute Duplessis, cet établissement hôtelier témoigne du développement résidentiel et commercial récent qui se poursuit toujours à un rythme accéléré dans ce secteur de l’Ancienne-Lorette (photo) et de l’arrondissement Sainte-Foy, au nord et à l’ouest de la Base de plein air de Sainte-Foy.

Voir aussi : Commercial.


4 commentaires

  1. Patrick

    21 septembre 2005 à 09 h 04

    Désolé mais cette partie de développement est à l’Ancienne-Lorette, donc ne fait pas partie de la nouvelle ville réunifiée. Tous comme le « Complexe Sportif » derrière, le Loblaws et tous ce qui ce trouve dans la partie ouest de l’autoroute Duplessis et ce jusqu’a la base de plein aire qui elle est à Ste-Foy.

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  2. Benoît

    21 septembre 2005 à 10 h 16

    L’Ancienne-Lorette, je crie ton nom partout!!! ;-)

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  3. Jean Cazes

    21 septembre 2005 à 17 h 43

    C’est ben vrai: j’étais dans les patates! ;-)

    Merci, Patrick, pour la précision!

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  4. Serge Alain

    21 septembre 2005 à 20 h 47

    Ouf! doit se dire l’ex et futur (?) maire L’Oranger. Heureusement que cette portion de l’ancienne ville unifiée se trouve toujours dans la future municipalité « redéfusionnée » de L’Ancienne-Lorette. Parce qu’à part ce coin favorisé par l’autoroute Duplessis et la section du boulevard Hamel lorrettain, le développement dans cette future municipalité ne passera pas à l’histoire.

    Mon ancêtre Alain avait choisi une terre en friche dans ce patelin en 1670 et j’en suis fier. Mais depuis, à part quelques terrains expropriés pour l’Aéroport et l’intersection Hamel-Duplessis, le village n’a fait qu’étouffer dans ses propres limites. Au point de voir ses fils et filles émigrer dans Portneuf, en Abitibi ou ailleurs, Bonne chance, Monsieur L’Oranger, pour faire de ce gros village une municipalité retournée vers le Futur.

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