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Le presbytère Saint-Joseph à Québec, un petit morceau de notre mémoire collective.
Le presbytère Saint-Joseph et son église sont devenus célèbres grâce au roman « Au pied de la Pente douce » de Roger Lemelin, géant de la littérature québécoise. C’est à cet endroit que se passent certaines scènes centrales du roman écrit en 1949 qui a inspiré la série les Plouffes ainsi que les films à succès réalisés par Gilles Carle au début des années 80.
Créant une petite controverse, malgré l’importance du symbole, l’église Saint-Joseph fut démolie en 2012 et a laissé sa place à un projet résidentiel. Seul a subsisté le presbytère qui avec les années avait perdu de sa superbe.
Le projet de restauration et de réhabilitation qui a débuté en avril 2021 et dont la construction a démarré à l’automne suivant est presque complété. Le presbytère abritera dorénavant des logements subventionnés. Cet usage a permis de conserver l’intégrité patrimoniale de ce symbole du quartier tout en l’intégrant en continuité du contexte résidentiel du secteur. Afin d’accueillir convenablement ses nouveaux occupants, un travail exhaustif de curetage et de restauration a été fait offrant ainsi à ce bâtiment une nouvelle vie.
Aujourd’hui restauré, le bâtiment a retrouvé ses aires d’avant. Le Quartier et sa population ont retrouvé leur presbytère tel que M. Lemelin l’a connu et côtoyé tout au long de sa vie, et qui lui a inspiré une partie de son œuvre.
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On se rappellera qu’en 2019, le Groupe Casot avait eu l’accord du conseil de quartier pour un projet sur ce terrain dont tous les détails sont dans ce billet de Québec Urbain. Depuis aucun développement connu, même si le terrain est vacant depuis 2009. Quelqu’un en saurait plus ? Notons que maintenant, ce terrain est la propriété d’Îlot Bérubé S.E.C. et aurait donc changé de propriétaire en octobre 2021 pour un prix de 2,355,000 $.
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Les travaux vont bon train dans cette école.
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Hier, une certaine radio a passé un bon 10 minutes à ridiculiser le maire Marchand en raison de ses espadrilles.
Ça fait 11 minutes que Roby Moreault chiale contre les espadrilles du maire Bruno Marchand
« A chaque fois que j’en parle c’est certain que ça se rend à l’hotel de ville »
Gros dossiers
— Sortons les radios-poubelles de Québec (@Sortirpoubelles) October 5, 2022
Je ne m’attendais pas à plus de Radio X. Par contre, je m’attendais à plus du chef de l’opposition officielle Claude Villeneuve qui hier, lui aussi, s’en est pris à Marchand en ridiculisant sa participation en tant que « lapin de course » au Marathon Beneva:
« Je trouve ça ben l’fun de soutenir des événements qui sont bons pour le prestige de la ville comme le marathon Beneva, mais à un moment donné, il n’y a pas juste les gens qui sont assez en forme pour courir des marathons qu’il faut soutenir dans la pratique sportive. Il y a aussi ceux qui sont sur le terrain », a-t-il lancé.
« Il n’y a pas juste les principes des images des souliers de course. Il faut donner des résultats concrets », a-t-il ajouté. (Marchand c. Villeneuve: prise de bec sur les sports à Québec)
Ceci n’est pas un texte contre monsieur Villeneuve. Ni un texte pour monsieur Marchand.
C’est plutôt un plaidoyer pour le Marathon, qui n’est pas un événement juste pour les gens « assez en forme pour courir des marathons ».
Au Marathon Beneva de Québec, comme dans pratiquement tous les marathons au monde, il y a le 1 ou le 2 km des enfants. Il y a le 5km. Le 10km. Le demi-marathon (21,1 km). Toutes ces distances se font à n’importe quel rythme. Trois de mes oncles ont MARCHÉS le demi-marathon il y a quelques années, âgés respectivement de 52, 57 et 64 ans. Ils voulaient le faire. Ils l’ont fait. Des histoires fabuleuses comme ça, il y en a des centaines, des milliers lors d’un marathon.
Et il y a la mienne.
Après avoir perdu 100 livres et m’être mis à la course au début de l’été à 47 ans, j’ai voulu voir où j’en étais rendu.
J’ai raconté mon histoire sur mon Facebook personnel au lendemain de la course:
Après un petit 5k dans une course organisée locale, le 10k du Marathon Beneva de Québec 2022 était la première « vrai » course organisée, avec la « vrai » grosse organisation. Le 10k ouvre pour ainsi dire la voie du demi et du marathon, alors le circuit aménagé, les nombreux bénévoles, la foule… Tout est là, comme si nous étions dans le « gros » marathon.
Loin derrière 3000 coureurs au départ de la course en raison de mon autoplacement dans le corral des « pas vites » (les moins rapides partent en dernier)… Les minutes, puis les secondes s’égrènent avant l’heure fatidique. L’excitation, les premières trépidations, la musique tonitruante, le coup de feu qui lance la course… Les premiers pas vers l’arche de départ en sautillant alors que les premiers corrals quittent, et c’est au tour des « pas vite » d’y aller.
Dès les premières minutes, des bénévoles qui donne de l’eau, qui encourage, qui crie, qui crécelle, qui siffle, qui danse. Quelle ambiance!
Ici, un orchestre au complet. Là, un monsieur déguisé qui s’émoustille. Chaque fois que je passais un groupe de bénévole criant leurs encouragements, je regardais ma montre et constatais que mon pace (rythme de course) venait de s’accélérer sous l’effet de leur présence et que je devais ralentir pour conserver mon modeste plan de match. J’avais le grand sourire pendant la majorité de la course en raison de cette ambiance titanesque.
Le passage sous le tunnel Samson était simplement magique. Un jeu de lumière comme dans une discothèque, et des centaines de coureurs qui cri et hulule sous l’écho du passage souterrain. Proche de l’arrivée, un bénévole a crié « allez, c’est le dernier 200m! » J’ai fermé les yeux, lever la tête vers le ciel, j’avais le goût de pleurer en me remémorant les 3 dernières années. J’ai accéléré le pas, passé la ligne d’arrivée, et remercié la vie.
Plus de piste cyclable. Plus de sentier multifonction. Plus d’événement du genre, petit ou grand.
Un pas à la fois. Un pas de plus qu’hier.
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