Québec Urbain

L’Urbanisme de la ville de Québec en version carnet…


Archives pour la catégorie « 0 – Revue de presse »

Loyer à moins de 1000 $ : « Ça ne pourra plus être construit », d’après Logisco

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 28 juin 2023 2 commentaires

Félix Morissette-Beaulieu
Radio-Canada

Explosion des coûts de construction, taux d’intérêt et de taxation élevés, inflation : un important propriétaire immobilier de la région de Québec affirme que sans aide du gouvernement, il est devenu impossible de construire de nouveaux logements abordables alors que le marché subit une forte pénurie de ce type d’habitation.

L’entreprise Logiscoest propriétaire de plus de 6000 unités de logements locatifs dans la grande région de Québec.

Bien conscient du manque d’unités abordables, le président de l’entreprise, Michel Parent, se dit toutefois surpris du nombre de locataires qui ont préféré ne pas déménager cette année.

Dans le passé, entre 10 et 12 % de ses locataires déménageaient le 1er«  juillet. « On a […], cette année, autour de 6,2, 6,3 % de taux de rotation. Les gens ont fait le choix de parler avec leur propriétaire et de s’entendre », constate l’homme d’affaires.

Plusieurs auraient décidé d’éviter les frais liés à un déménagement, qui ont eux aussi grimpé en raison de l’inflation. Mais c’est surtout le manque de logements abordables qui les a forcés à rester dans leur logement actuel, d’après Michel Parent.

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Des citoyens contestent le projet Kall Louis-Philippe Arseneault (Radio-Canada). Un extrait: « On parle de 15 % des 55 logements […] qui seraient abordables à 1025 $ [par mois]; on considère que ce n’est pas abordable pour les gens du quartier, considérant que c’est plus de 30 % des revenus des ménages de deux personnes sur trois environ dans le quartier », indique le coordonnateur du Comité, Guillaume Béliveau-Côté ».

Voir aussi : 0 - Revue de presse, Logement locatif ou social.

Politique nationale de l’architecture et de l’aménagement du territoire

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 27 juin 2023 Commentaires fermés sur Politique nationale de l’architecture et de l’aménagement du territoire

QUÉBEC, le 26 juin 2023 /CNW/ – La ministre des Affaires municipales, Mme Andrée Laforest, et le ministre de la Culture et des Communications, M. Mathieu Lacombe, ont dévoilé le plan de mise en œuvre 2023-2027 de la Politique nationale de l’architecture et de l’aménagement du territoire, doté d’une enveloppe de 360,4 M$. Celui-ci vise à moderniser les pratiques et les outils afin de mieux prendre en compte les défis contemporains et l’évolution des besoins des communautés. L’objectif étant d’offrir des milieux de vie encore plus complets, conviviaux et durables à tous les Québécois et Québécoises.

Parmi les 30 mesures et actions concrètes qui seront déployées par le gouvernement, voici celles qui constituent le cœur des interventions de la Politique.

Le communiqué

Le texte

Voir aussi : 0 - Revue de presse, Architecture urbaine, Message d'intérêt public, Planification urbaine.

Voici les projets hurons-wendats et innus pour les terrains de la Défense à Sainte-Foy

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 26 juin 2023 8 commentaires

François Bourque
Le Soleil

Que va-t-il advenir des terrains stratégiques du «nouveau» centre-ville de Sainte-Foy? Sur quelles bases légales et historiques a-t-on confié le développement aux Hurons-wendats de Wendake et à trois communautés innues du Lac St-Jean et de la côte Nord? Voici l’état des lieux.

Le projet huron-wendat

1-Statut visé

Créer une nouvelle «réserve indienne» sur 80 % des terrains

2-Relations avec la ville de Québec

-Le projet des Hurons-wendats est très avancé.

-«On a travaillé main dans la main» avec la ville, rapporte le chef Rémy Vincent. Des citoyens du quartier et autres organisations scolaires ont aussi été consultés.

-Les Hurons-wendats se sont engagés à respecter le zonage municipal, le PPU et le boisé Saint-Denis.

3-Taxes et enjeux financiers

-Légalement, les réserves indiennes ne paient pas de taxes municipales.

-Des compensations financières seront cependant versées à la ville pour les infrastructures, les services municipaux et des «en-lieu» de taxes sur les futurs immeubles.

Il y a ici deux versions.

Le maire Bruno Marchand évoque une entente déjà conclue pour un montant pouvant atteindre 3.3 M $ par année. (évaluation de 2021).

Le chef huron-wendat Rémy Vincent nie l’existence d’une telle entente financière. «On n’a pas encore discuté de taxation», affirme le chef Vincent.

Faut-il voir dans ce déni une simple stratégie de négociation ou sommes-nous devant un gros malentendu? C’est à suivre de près.

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La hache de guerre sur les terres de la Défense François Bourque (Le Soleil)

Voir aussi : 0 - Revue de presse, Arrondissement Ste-Foy / Sillery / Cap-Rouge.

Grève au RTC ?

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 25 juin 2023 Commentaires fermés sur Grève au RTC ?

Possible grève au RTC : Marchand veut éviter que les gens soient « pris en otages » Raphaël Beaumont-Drouin (Radio-Canada)

RTC

Selon un tribunal, le transport en commun à Québec n’est pas un service essentiel Un extrait: « La seule question soulevée par la présente enquête est la suivante: Une grève des chauffeurs d’autobus du RTC peut-elle avoir pour effet de mettre en danger la santé ou la sécurité publique ».

Voir aussi : 0 - Revue de presse, Transport en commun.

Moins de fils qu’avant et une plateforme déjà visible: voici comment le tramway changera le visage de Québec

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 23 juin 2023 Commentaires fermés sur Moins de fils qu’avant et une plateforme déjà visible: voici comment le tramway changera le visage de Québec

Stéphanie Martin
Journal de Québec

Les fils et la plateforme du futur tramway, deux sujets qui alimentent les passions dans le débat public. Québec sera-t-elle tapissée d’une toile de fils et séparée en deux par une plateforme infranchissable? Le Journal s’est entretenu avec deux experts du Bureau de projet pour y voir plus clair.

La plateforme du tramway qui a fait tant jaser depuis des mois est déjà dans le paysage, et on peut la voir sur un segment du tracé, à Sainte-Foy.

Les experts du Bureau de projet déplorent véhiculée par certains opposants au projet du fait que la plateforme du tramway «coupera la ville en deux». Or, on peut aller constater de visu ce qu’elle représente réellement, en hauteur et en largeur, sur une section du chemin des Quatre-Bourgeois.

En effet, lorsqu’on a refait le viaduc qui circule au-dessus de l’autoroute Henri-IV, on a déjà conçu et aménagé la dalle de béton qui accueillera le tramway, au centre de la chaussée, explique Benoît Carrier directeur de la division de la conception et de l’intégration, au Bureau de projet du tramway de Québec.

Pour l’observateur distrait, cela ressemble à n’importe quel terre-plein. Sa hauteur est de 15 cm, ou environ la hauteur d’un téléphone cellulaire.

En ce moment, elle est en partie gazonnée et en partie recouverte d’asphalte. C’est temporaire, confirme M. Carrier. Elle est bel et bien conçue pour accueillir les rails du tramway et des rames qui circuleront dans chaque direction. «La largeur complète de l’emprise sur le viaduc est prévue en fonction de la géométrie du tramway. La sous-fondation permet de supporter le véhicule.»

À certains endroits dans la ville, la plateforme sera moins haute. Par exemple, dans le secteur de l’avenue Cartier, elle aura 5 cm de haut, en raison de l’aménagement d’une voie partagée entre les automobilistes, les cyclistes et les piétons.

Actuellement, sur près du tiers du tracé du tramway (7,2 km sur 19,3 km), des fils électriques aériens paraissent dans le paysage. «Avec le tramway, on vient enfouir ça», confirme Benoît Carrier, directeur de la conception, au Bureau de projet du tramway. Résultat: il y aura moins de fils le long de la voie publique. Ce sera particulièrement notable sur René-Lévesque et dans Limoilou, où les réseaux filaires sont au-dessus de la voie publique. Le tramway, quant à lui, nécessite un fil électrifié fin de 1,5 cm de diamètre dans chaque direction et des câbles transversaux de soutien qui seront reliés aux poteaux d’éclairage, installés tous les 40 mètres. Sur 88% du tracé, ces poteaux seront les seuls nécessaires. Les poteaux de bois vont donc disparaître aussi. «Ce sera beaucoup plus intégré et esthétique. Les poteaux seront moins lourds et moins imposants», illustre M. Carrier.

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Voir aussi : 0 - Revue de presse, Projet - Tramway, Transport, Transport en commun.

La maison François-Xavier-Garneau passera aux mains de Pierre Karl Péladeau

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 18 juin 2023 1 commentaire

Nicolas St-Pierre
Journal de Québec

L’homme d’affaires Pierre Karl Péladeau fera l’acquisition de la maison François-Xavier-Garneau, résidence ayant appartenu à l’un des historiens les plus célèbres de l’histoire du Québec.

La résidence, qui date de l’époque victorienne, a été vendue pour une somme de 515 000$ en plus du mobilier.

Propriétaire depuis 25 ans de cet immeuble classé patrimonial, le champion cycliste et homme d’affaires Louis Garneau avait mis la maison en vente le 8 mai dernier.

Inquiet de l’avenir de celle-ci à en avoir presque de la difficulté à fermer l’œil, il se réjouit maintenant de voir que ce morceau du patrimoine collectif sera entre bonnes mains.

«C’est vraiment une bonne nouvelle et ça commence bien mon été. C’est comme un rêve de voir quelqu’un d’aussi passionné que moi prendre la relève de cette maison-là», souligne Louis Garneau.

«Je suis très heureux que ce soit Pierre Karl, un grand amateur de la culture, de l’histoire et quelqu’un de très patriotique en même temps», ajoute-t-il.

Une possible ouverture au public

Selon ses dires et au grand plaisir de plusieurs, la maison serait d’ailleurs ouverte au public à certains moments précis de l’année.

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La Maison François-Xavier-Garneau sur le site internet de la Ville de Québec

Voir aussi : 0 - Revue de presse, Arrondissement La Cité-Limoilou, Histoire, Patrimoine et lieux historiques.

Nouveau service estival du RTC pour desservir des destinations touristiques

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 16 juin 2023 Commentaires fermés sur Nouveau service estival du RTC pour desservir des destinations touristiques

Québec, le 16 juin 2023 – Le RTC annonce que, dès le 17 juin prochain, le nouveau service estival 400 sera déployé afin de desservir plusieurs lieux touristiques, soit l’Aquarium du Québec, la Promenade Samuel-de-Champlain, la gare fluviale et la gare du Palais. Ce nouveau service, qui comptera 50 départs par jour, sera disponible les samedis et dimanches ainsi que les jours fériés, de 8 h à 20 h. Le service sera en vigueur jusqu’au 9 octobre prochain.

« Je suis heureuse d’annoncer la mise en place de ce nouveau service, qui viendra multiplier les options pour la clientèle qui souhaite se rendre à différentes destinations touristiques prisées cet été, et ce sans devoir se préoccuper d’y aller en voiture. Avec le service estival 400, on s’assure de répondre aux demandes de la clientèle lors des périodes achalandées, où les déplacements sont plus nombreux. Selon les résultats d’achalandage qui seront obtenus cet été, nous analyserons la possibilité de faire du service estival 400 un parcours régulier », a souligné Maude Mercier Larouche, présidente du RTC.

Les horaires sont disponibles sur tous les outils d’information du RTC, dont l’application mobile RTC Nomade temps réel.

Changement de rythme

C’est également le 17 juin que le service d’été entrera en vigueur au RTC.

Le RTC invite donc les clients à se rendre sur son site Web ou à consulter l’application RTC Nomade temps réel pour obtenir tous les renseignements sur les services offerts dans leur secteur et pour vérifier si leurs parcours habituels font l’objet de changements. À compter d’aujourd’hui, il est possible de préparer un déplacement en sélectionnant dans le planificateur d’itinéraire une date égale ou ultérieure au samedi 17 juin 2023.

Le tracé

Voir aussi : 0 - Revue de presse, Transport, Transport en commun.

Les prix des propriétés ont-ils augmenté ou diminué près de chez vous ?

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 8 juin 2023 2 commentaires

Laurianne Croteau
Cédric Gagnon
Catherine Bombardier
Le Devoir

La folie immobilière provoquée par la pandémie n’a pas eu le même effet dans toutes les régions du Québec. Au cours de la dernière année, la banlieue de Montréal — sur la Rive-Nord comme sur la Rive-Sud — a connu les plus grandes corrections de prix, à l’instar de la Gaspésie et des Îles-de-la-Madeleine. Dans le Bas-Saint-Laurent, les prix ont au contraire continué de grimper.

« Avec les hausses consécutives des taux d’intérêt depuis l’été dernier, les prix ont baissé de 19 % entre le sommet d’avril 2022 et décembre 2022 », constate d’emblée Charles Brant, directeur du Service de l’analyse du marché à l’Association professionnelle des courtiers immobiliers du Québec (APCIQ). « Mais depuis ce temps-là, ils ont repris à la hausse. » La diminution moyenne des prix des maisons au Québec n’est ainsi que de 4 % entre le premier trimestre de 2022 et celui de 2023.

Malgré la tendance générale, une transaction sur dix s’est conclue avec de la surenchère au début de cette année. C’est comparable à ce qu’on voyait avant la pandémie, donc une accalmie par rapport à l’an dernier, alors qu’une transaction sur deux faisait l’objet d’une surenchère. « On était à des niveaux extrêmement élevés, historiques même », note l’analyste.

Les prix des propriétés ont-ils augmenté ou au contraire diminué près de chez vous ? Le Devoir a obtenu les données des ventes de maisons unifamiliales et de condos effectuées sur Centris entre le 1er janvier et le 31 mars de 2022 et de 2023.

Entrez le nom de votre municipalité ci-dessous ou cliquez directement sur votre région sur notre carte interactive pour obtenir une réponse.

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Voir aussi : 0 - Revue de presse, Condo, Résidentiel, Technologie.

La mise en service du tramway au printemps 2029 de nouveau menacée

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 1er juin 2023 11 commentaires

Louise Boisvert
Olivier Lemieux
Radio-Canada

La décision de la Ville de Québec de déposer plus tard son dossier d’affaires pourrait avoir une réaction en chaîne sur l’échéancier des travaux du tramway.

N’en déplaise au maire Bruno Marchand, le gouvernement du Québec prendra « tout le temps nécessaire » pour étudier la proposition finale du projet de tramway qui sera déposée par la Ville de Québec dans les prochaines semaines, a appris Radio-Canada.

Selon une source gouvernementale proche du dossier, le Conseil des ministres ne se sent pas lié à l’échéancier proposé par le Bureau de projet du tramway, qui prévoit un feu vert à l’automne, même si cela entraîne de nouveaux délais pour lancer les travaux.

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Voir aussi : 0 - Revue de presse, Projet - Tramway, Transport en commun.