Le Grand Marché ouvrira le 14 juin avec des célébrations sur 3 jours.
Quant au marché aux puces de Sainte-Foy, il déménage.
Le Grand Marché ouvrira le 14 juin avec des célébrations sur 3 jours.
Quant au marché aux puces de Sainte-Foy, il déménage.
Voir aussi : Arrondissement La Cité-Limoilou, Arrondissement Ste-Foy / Sillery / Cap-Rouge, Commercial, Fêtes populaires et événements publics, Marché du Vieux-Port.
Voir aussi : Arrondissement La Cité-Limoilou, Conférences / évènements.
Québec, le 29 mars 2019 – La Ville de Québec annonce l’implantation de la cuisine de rue à la suite des deux années du projet pilote. Elle souhaite ainsi permettre l’exploitation des différentes formes de cuisine de rue : camion-restaurant sur le domaine public ou les sites privés, vélo de cuisine de rue, unité mobile lors d’un événement ou vitrine sur rue.
« À la lumière de l’expérience des deux années du projet pilote, la Ville est heureuse de répondre aux attentes des citoyens en autorisant l’exploitation de la cuisine de rue sur son territoire », confirme Mme Marie-Josée Savard, vice-présidente du comité exécutif responsable de l’aménagement du territoire et de l’urbanisme.
Sites et restaurateurs autorisés
La liste des sites publics accessibles aux camions-restaurants demeure la même qu’en 2018. L’objectif est d’être équitable avec les restaurateurs ayant pignon sur rue tout en offrant des sites intéressants aux propriétaires de camions-restaurants. Il s’agit d’un compromis acceptable, qui respecte les intérêts variés des différents groupes de gens d’affaires consultés.
Comme l’an dernier, aucun système d’attribution des sites n’est en place, les restaurateurs étant libres de se déplacer d’un site à l’autre à leur guise. La règle du premier arrivé, premier servi est maintenue. De plus, ils n’ont aucune obligation de présence.
La Ville affichera sur son site Internet la liste des sites publics municipaux de même que les coordonnées des camions-restaurants et des vélos de cuisine de rue ayant obtenu l’autorisation d’exploiter sur le domaine public. Cette liste sera mise à jour au fur et à mesure que de nouveaux joueurs obtiendront les autorisations d’exploiter un camion-restaurant ou un vélo de cuisine de rue sur le domaine public.
Démarche simplifiée
Plusieurs changements sont apportés, par rapport à la saison 2018, afin de faciliter les demandes d’autorisation pour les propriétaires de camions-restaurants. Dans l’ensemble, les procédures pour les demandes de permis sont simplifiées :
aucune évaluation préalable par un comité de sélection;
prix réduit à 100 $ pour l’obtention d’une permission annuelle d’occuper le domaine public;
diminution du nombre de documents à transmettre avec la demande;
possibilité d’effectuer une demande d’autorisation sur une plus longue période.
Voir aussi : Art de vivre en ville, Conférences / évènements, Message d'intérêt public.
Conseil de quartier Saint-Jean-Baptiste
Le conseiller municipal Jean Rousseau invite les citoyens de son district à discuter avec lui de leurs idées pour améliorer la Politique de déneigement de la Ville de Québec.
La rencontre aura lieu le mercredi 13 mars à 19h00 au Centre communautaire Lucien-Borne (salle 305, accessible aux personnes à mobilité réduite).
Pour Jean Rousseau, l’objectif de cette soirée est de « formuler des hypothèses ou scénarios sur les différentes pratiques de déneigement en fonction des modes de déplacement en période hivernale » en tenant compte de divers aspects: les caractéristiques de déplacement d’une clientèle piétonne dont l’âge augmente, les défis de déneigement dans un cadre bâti aux rues étroites et aux trottoirs parsemés de poteaux, l’accès aux artères commerciales et l’importance du transport en commun.
Présentement en révision, la politique de déneigement de la Ville est expliquée ici
Voir aussi : Arrondissement La Cité-Limoilou, Conférences / évènements.
Le Conseil du patrimoine culturel du Québec annonce la tenue d’une consultation publique sur le plan de conservation qui vient d’être publié par le ministère de la Culture et des Communications. En premier lieu, une séance d’information aura lieu le 21 mars prochain. Celle-ci sera suivie par une audience publique le 17 avril.
Inscrit sur la Liste du patrimoine mondial de l’UNESCO, le site patrimonial du Vieux-Québec, couvrant environ 135 hectares, comprend 1 400 bâtiments construits à partir du 17e siècle. Le plan de conservation est destiné à guider le Ministère lors de l’autorisation d’interventions prévues dans la loi sur le patrimoine culturel.
Le Conseil du patrimoine culturel du Québec est un organisme de consultation avec pouvoir de recommandation. Il a pour mandat de tenir des consultations publiques sur toute question que lui confie la ministre.
La consultation publique se tiendra à l’Auditorium Roland-Arpin du Musée de la civilisation, 85, rue Dalhousie, Québec.
Elle se déroulera en deux temps :
Séance d’information le 21 mars, à 19 heures : présentation du plan de conservation par les représentants du ministère de la Culture et des Communications. Cette présentation sera suivie d’une période de questions.
Audience publique le 17 avril, à 19 heures.
Toutes les personnes intéressées sont invitées à assister à cette audience. Celles et ceux qui souhaitent exprimer une opinion à cette occasion peuvent s’inscrire par téléphone au 418 643-8378 (numéro sans frais 1 844 701-0912) ou par courriel (consultation.publique@cpcq.gouv.qc.ca) avant le 8 avril 2019, 16 heures.
Les personnes peuvent également exprimer leur opinion ou leurs commentaires en répondant au questionnaireOuverture dans une nouvelle fenêtre en ligne jusqu’au 22 avril 2019
Des communications écrites pourront également être transmises au Conseil. La date limite pour le dépôt des communications est le 8 avril 2019, 16 heures.
Voir aussi : Arrondissement La Cité-Limoilou, Conférences / évènements, Histoire, Message d'intérêt public, Patrimoine et lieux historiques.
Québec, le 26 novembre 2018 – Dans le cadre de l’élaboration de sa Vision de l’habitation, la Ville de Québec lance aujourd’hui une consultation en ligne auprès des citoyens. Ce sondage vise à recueillir les besoins et les préoccupations de la population en matière d’habitation.
Les personnes intéressées à s’exprimer sont invitées à répondre dès maintenant au questionnaire en consultant Le site internet de la Ville de Québec. Elles ont jusqu’au 16 décembre pour se prononcer.
« Il est souhaité d’augmenter l’attractivité de la ville par des logements et des milieux de vie de qualité et sécuritaires, a mentionné M. Régis Labeaume, maire de Québec. La Ville souhaite mobiliser l’ensemble des acteurs du milieu de l’habitation autour d’actions innovantes permettant d’améliorer les conditions des ménages. Les propositions qui seront mises de l’avant dans la nouvelle Vision de l’habitation seront d’ailleurs en cohérence avec les grandes orientations de la Ville en matière d’aménagement, de mobilité et de développement social. »
Bien que l’habitation relève de la compétence provinciale, la Ville de Québec contribue dans ce domaine par diverses interventions : administration de programmes relatifs à l’accès à la propriété, à la construction, à la rénovation ainsi qu’à la réalisation de logements sociaux et communautaires.
Les enjeux d’habitation au cœur de la réflexion
Rappelons que la Politique d’habitation de la Ville a été adoptée en 2005 et qu’une actualisation s’impose en raison des nouvelles réalités économiques, sociales et urbaines.
Les principaux enjeux d’habitation tels que le vieillissement de la population, l’accessibilité des logements, la densification harmonieuse, la mixité sociale et la revitalisation des quartiers doivent être analysés afin de répondre aux besoins actuels et futurs des citoyens.
« Je souhaite que les réflexions et les actions mises de l’avant tiennent compte du parcours résidentiel des personnes et des ménages qui doivent pouvoir compter sur des conditions de logement adaptées aux différentes étapes de leur vie, a souligné Mme Émilie Villeneuve, membre du comité exécutif responsable du développement social et de l’habitation. Que les citoyens soient préoccupés par l’accessibilité des logements ou le développement durable, la Ville désire les entendre afin d’élaborer une Vision de l’habitation qui réponde à leurs besoins. »
Prochaines étapes
Cette consultation en ligne constitue la première étape d’une démarche participative qui mènera à l’élaboration de la Vision de l’habitation de la Ville. Des consultations auprès des acteurs du milieu sont aussi prévues et ces derniers seront conviés à un grand Forum sur l’habitation les 12, 13 et 14 juin 2019, afin d’approfondir la réflexion et d’identifier des pistes d’action touchant l’habitation à Québec. L’élaboration de la Vision devrait être complétée à l’automne 2019. Un conseil de partenaires issus du milieu accompagne la Ville dans cette démarche.
Voir aussi : Conférences / évènements, Publications & ressources Internet, Québec La cité.
LE COMBAT POUR ENRAYER LA PROSTITUTION .
Extrait du chapitre La naissance de Québec-Ouest/Vanier 1916.
L’aménagement en mars 1912 d’un champ de tir à proximité de l’Hôpital des immigrants et l’ouverture du camp militaire à Valcartier au début de la guerre de 1914 viennent aggraver les problèmes de prostitution à Petite-rivière. Durant l’été 1914, Petite-rivière fait appel à la police de Québec pour faire condamner six maîtresses de maison et une quarantaine de femmes. En 1915, la municipalité décide d’engager un agent de la firme Pinkerton John Ferguson pour un montant de 250$ s’il réussit à fermer les maisons et lui promet 25$ pour chaque arrestation. Plusieurs prostituées délogées de Petite-rivière vont alors se réfugier à Saint-Gérard Magella, près du camp de Valcartier.
La municipalité de Québec-Ouest va hériter lors de sa création en 1916 du problème de la prostitution sur son territoire. Petite-rivière se débarrasse de ce problème en le remettant entre les mains des compagnies de spéculation immobilière qui dirigent à distance la municipalité. Ainsi à l’été 1917, Québec-Ouest demande à la cour du Recorder de venir siéger dans une maison louée de William Elliot sur le Chemin de la petite-rivière à Québec-Ouest La ville loue également de l’Hôpital des immigrants deux chambres pour les transformer en prison municipale pour enrayer le fléau de la prostitution.
Le conseil municipal de Québec-Ouest discutent à quelques reprises de légaliser les maisons de prostitution et d’imposer une taxe spéciale aux tenancières de ces maisons. Cette taxe tiendrait compte du nombre de prostituées présentes dans une maison. Mais ces propositions ne seront pas retenues. Les autorités militaires sont aussi favorables à une politique de tolérance. Ils déclarent : `Il faut laisser les soldats s’amuser…il serait cruel de les priver de quelques jouissances qu’ils peuvent se procurer pendant qu’ils sont encore en santé de ce côté de l’Atlantique`. Le clergé demande plutôt aux militaires que cesse à Petite-rivière le spectacle nauséabond de leurs saturnales. L’ampleur du phénomène augmente constamment avec la présence des militaires durant la guerre. Le journal L’Action Catholique se plaint que le vice se répand dans la banlieue de Québec et dénonce le 9 octobre 1915 le fait que la ville de Québec de cité paisible et calme soit devenue une ville de garnison.
Entre 1914 et 1921, la prostitution constitue la principale activité économique de la municipalité de Québec-Ouest. Les maisons de débauche ont pignon sur rue sur la route Sainte-claire, à proximité du champ de tir fédéral et de l’Hôpital des immigrants. D’autres maisons exercent ses activités sur le chemin de la Petite-rivière. Le rôle d’évaluation de la municipalité de 1917-1918 nous apprend que sur une population de 164 résidents, plus de 40% de ceux-ci ont des liens avec cette activité. 62 résidents de la municipalité, dont 43 prostituées sont en activité durant la guerre. La municipalité compte six maisons de prostitution qui emploient entre quatre et dix filles chacune.
Les plus souvent mentionnées dans les archives sont celles de madame Émilie Pelletier qui dirigent entre cinq et dix filles, madame Mercédes Roy avec une dizaine de filles et madame Eugène Bélanger avec huit filles. Derrière les noms de ces tenancières, inscrites au rôle d’évaluation comme propriétaire se cachent des propriétaires masculins dont les noms ne sont jamais connus. On peut juste constater que quelques-unes de ses maisons sont situées sur des lots appartenant initialement à Elzéar Savard.
La fin de la Première guerre mondiale, la fermeture du camp Valcartier et fin des activités au champ de tir de Québec-Ouest provoquent un ralentissement marqué des activités de prostitution. La population de Québec-Ouest qui comptaient 164 résidents en 1917 n’en comptera plus que 62 au rôle d’évaluation de de 1920. Ce recul s’explique par le départ de nombreuses prostituées et la fermeture de quelques maisons, en l’absence de clients.
L’histoire de Vanier sous la loupe d’un ancien conseiller municipal Taïeb Moalla (Journal de Québec)
Voir aussi : Arrondissement Les Rivières, Conférences / évènements, Histoire.
Pascal Guéricolas
Le Fil
Le chercheur Jean Dubé, professeur à l’École supérieure d’aménagement du territoire et de développement régional (ESAD), présentera, le 25 octobre, une conférence dans le cadre des Rencontres du numérique de l’Institut Technologies de l’information et Sociétés. Il y dévoilera plusieurs résultats d’une recherche basée sur les propriétés du marché résidentiel de la ville de Québec.
Son équipe a suivi les rôles d’évaluation de chacun des lots du territoire entre 2006 et 2016 afin de repérer les changements potentiels. En effet, lorsqu’une maison unifamiliale devient un jumelé, ou qu’une maison est démolie pour faire place à un immeuble d’habitation, cela modifie le matricule lié à la propriété. «L’analyse statistique nous permet de comprendre quels facteurs déterminent des reconversions résidentielles dans tel ou tel secteur de la ville, explique le chercheur. Une fois qu’on a repéré une démolition ou une reconversion de maison, des outils comme Google Map ou Street View permettent de le valider sur le terrain.»
Selon les quartiers, les propriétés changent de façon différente. Dans le nord de la ville, les terrains sont parfois subdivisés pour y construire deux maisons unifamiliales plutôt qu’une. Dans les zones à densité plus forte, comme dans les quartiers Saint-Roch ou Saint-Jean-Baptiste, de petites constructions donnent naissance à des immeubles de trois ou quatre étages. À Sillery, plusieurs maisons de ville ont été érigées sur des lots qui accueillaient jusque-là une maison unifamiliale, rendant ce quartier plus dense.
* Deux maisons de ville situées à Sillery construites sur le site d’une maison unifamiliale ayant été détruite Photo: Le Fil
En observant ces phénomènes à l’aide des microdonnées, Jean Dubé et son équipe ont repéré les zones de la ville où ce type de changement s’exerçait plus fréquemment. Ces reconversions touchent les quartiers centraux comme Limoilou et Saint-Roch, mais aussi Sainte-Foy, dans les secteurs du Plateau, de Saint-Mathieu et de Saint-Benoît, situés entre les autoroutes Duplessis et Henri IV, ainsi que les quartiers se trouvant près de l’aéroport international Jean-Lesage. «Nous avons conçu un modèle pour déterminer quelles sont les probabilités pour qu’une propriété, située dans un secteur donné, fasse l’objet d’une reconversion résidentielle», note le chercheur.
Pour ce faire, il a fallu quadriller le territoire de la ville en alvéoles de 500 mètres environ et déterminer la maison type de ce secteur ainsi que son voisinage. Des données comme l’année de construction, la proximité d’autres maisons dont la valeur a augmenté ou encore le voisinage avec un quartier en cours de densification accroissent les chances qu’une propriété soit reconvertie en jumelé ou carrément démolie. En particulier s’il s’agit d’une maison unifamiliale des années 1940 ou 1950, qui nécessite souvent des travaux. Pour un acheteur potentiel, il est parfois, en effet, plus intéressant d’acheter une maison neuve à 250 000 ou 300 000 dollars, construite sur un lot subdivisé, que d’investir dans une maison vieillissante à 300 000 dollars, nécessitant des dizaines de milliers de dollars de travaux de rénovation.
Voir aussi : Conférences / évènements.
À l’occasion de leur 25e anniversaire, les conseils de quartier de Saint-Jean-Baptiste et du Vieux-Limoilou s’associent afin de présenter la première édition des Journées de la participation citoyenne.
Au programme? Ateliers participatifs, conférences, spectacles et expositions – et plus! – au fil de cinq jours qui s’annoncent riches en réflexions et perspectives.
Ces journées sont une occasion à la fois de faire connaître les initiatives et le dynamisme des conseils de quartier de la Ville de Québec et de mettre en lumière et valoriser les initiatives citoyennes sous toutes leurs formes.
Pour plus d’information, consultez la page Facebook du Conseil de quartier de Saint-Jean-Baptiste (@CQSJB) ou écrivez-nous à l’adresse suivante : journeesparticipationcitoyenne@gmail.com
Voir aussi : Arrondissement La Cité-Limoilou, Conférences / évènements.
Le PARK(ing) Day de Québec se déroulera le vendredi 21 septembre 2018. La population est invitée à s’approprier des cases réservées au stationnement automobile pour les transformer en espaces de vie conviviaux et dynamiques. Le temps d’une journée, ces emplacements deviennent des lieux de création, de rencontres, de détente, d’expression artistique ou encore de réflexion quant au rôle qu’occupe les stationnements dans l’espace urbain.
Page Facebook de l’événement
Voir aussi : Conférences / évènements.