Le Fil
Brigitte Trudel
Une étudiante en architecture partage en photos son voyage de recherche aux Pays-Bas, où elle a fait l’expérience de la densité urbaine
Vivre tassés comme des sardines, c’est étouffant? «Au contraire!», assure Marika Drolet-Ferguson. L’artiste et étudiante à la maîtrise en architecture veut en faire la preuve avec son exposition «La densité confortable à Amsterdam» présentée du 21 janvier au 15 février à l’École d’architecture.
Densité et confort: ces deux mots mis ensemble font sourciller, admet celle qui a aussi étudié en arts visuels. Pourtant, leur compatibilité lui est apparue comme une évidence aux mois de juin et juillet derniers alors qu’elle habitait le quartier historique de Jordaan à Amsterdam. «C’est le coin le plus densément peuplé de la ville avec 19 458 habitants par km2, explique la jeune femme. Par comparaison, les arrondissements de la ville de Québec comptent en moyenne 1 137 habitants par km2.»