Québec Urbain

L’Urbanisme de la ville de Québec en version carnet…


Archives pour la catégorie « Architecture urbaine »

Le réservoir d’eau, un autre secret des plaines d’Abraham

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 14 février 2023 5 commentaires

Thomas Verret
Monmontcalm

C’est de loin le plus vaste des 27 réservoirs d’eau potable de la Ville de Québec. Il se cache sous les plaines d’Abraham.

L’immense citerne des plaines d’Abraham est en opération depuis 1933. Sa voûte en béton a une superficie de 22 800 mètres carrés. Elle est supportée par 912 colonnes. Ce réservoir peut contenir jusqu’à 136 millions de litres d’eau, soit l’équivalent de quatre terrains et demi de football. Sa construction n’avait coûté que 512 000 $ à l’époque. Un prix qui n’a rien à voir avec ceux de nos jours.

Le réservoir de l’aqueduc alimente gravitairement les quartiers de la Basse-Ville, dont Saint-Sauveur et Saint-Roch, ainsi qu’une partie de Limoilou. Il dessert entre 50 000 et 100 000 citoyen·ne·s, selon la manière dont le réseau est opéré.

La gravité fait le travail

Le réservoir est alimenté par l’usine de traitement d’eau potable de la rue de la Faune. L’eau est acheminée dans des conduites souterraines de 15 kilomètres de longueur. Trois longues conduites granitaires mesurant respectivement 30, 40 et 42 pouces de diamètre partent du « Château d’eau », descendent sous la rivière Saint-Charles et remontent sur les plaines d’Abraham. Le système ne comporte pas de pompe d’appoint. Tout est une question de gravité.

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Voir aussi : 0 - Revue de presse, Architecture urbaine.

Haussmann, l’homme qui a transformé Paris

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 10 février 2023 1 commentaire

Ville de Paris

Il y a 170 ans, en 1853, sous la férule du préfet de la Seine, Georges Eugène Haussmann, débutaient de gigantesques travaux publics qui allaient façonner le Paris d’aujourd’hui. Retour sur cette révolution urbanistique.

(…)

Différents plans ont été élaborés pour redessiner la voirie parisienne – l’empereur lui-même avait ses idées -, jusqu’à l’adoption du plan définitif. Les travaux entraînent la mobilisation de 80 000 ouvriers, artisans, ferronniers, sculpteurs, etc. Le chantier est encadré par l’État et financé par l’emprunt, mais la mise en œuvre est confiée à des entrepreneurs privés.

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Voir aussi : 0 - Revue de presse, Architecture urbaine, Art de vivre en ville, Histoire, Patrimoine et lieux historiques, Voyage dans le temps.

Mérites d’architecture 2023 : les citoyens invités à voter pour leur projet coup de coeur

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 22 janvier 2023 1 commentaire

Québec, le 17 janvier 2023 – La Ville de Québec invite les citoyens à voter pour leur coup de cœur architectural dans le cadre du Prix du public des Mérites d’architecture 2023.

Les sept projets finalistes, sélectionnés par un jury indépendant, sont les suivants :

Centre de glaces Intact Assurance
Expérience Chute
Grand Théâtre de Québec
Îlot des Capucins (phases 2 et 3)
Lauberivière
Parc éphémère de Fleur de Lys
Projet Charles

Les citoyens peuvent voter tous les jours, jusqu’au lundi 6 février 2023, sur ce site internet avec la description de tous les projets finalistes. Ils courent ainsi la chance de gagner l’une des trois cartes-cadeaux de 100 $ aux Galeries de la Capitale ou à Laurier Québec/Place Sainte-Foy, à leur choix.

Le projet gagnant du Prix du public sera annoncé lors du dévoilement de l’ensemble des lauréats des Mérites d’architecture, en mars 2023.

Le communiqué

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Nomination des membres de la Commission d’urbanisme et de conservation de Québec

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 3 novembre 2022 Commentaires fermés sur Nomination des membres de la Commission d’urbanisme et de conservation de Québec

1939 one of Quebec Canada Oldest House

1. De nommer les personnes suivantes à titre de membres de la Commission d’urbanisme et de conservation de Québec issues des résidents de la ville, autres que les membres du conseil de la ville, pour siéger à compter de la séance du 15 novembre 2022 :

À titre de membres réguliers pour un second mandat de deux ans :

– Madame Véronique Cadoret-Plamondon, urbaniste et designer urbain – Monsieur Guillaume Fafard, architecte
– Madame Élisa Gouin, architecte
– Madame Anne Vallières, architecte

À titre de membres réguliers pour un premier mandat de deux ans :

– Monsieur Louis-Daniel Brousseau, architecte et designer urbain
– Monsieur Alexandre Laprise, architecte
– Madame Jasmine Maheu-Moisan, architecte

À titre de membres substituts pour un premier mandat de deux ans :

– Monsieur Antoine Guy, architecte
– Monsieur Mathieu Robitaille, architecte
– Monsieur Martin Simard, professeur de géographie et d’aménagement

2. De nommer madame Véronique Cadoret-Plamondon, urbaniste et designer urbain, à titre de seconde vice-présidente de la Commission d’urbanisme et de conservation de Québec.

Le document du comité exécutif de la Ville de Québec.

Voir aussi : 0 - Revue de presse, Architecture urbaine, Nouvel urbanisme, Urbanisme.

Pôle urbain Wilfrid-Hamel–Laurentienne : un PPU pour favoriser un développement plus vert, accessible et mieux adapté au milieu

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 3 octobre 2022 Commentaires fermés sur Pôle urbain Wilfrid-Hamel–Laurentienne : un PPU pour favoriser un développement plus vert, accessible et mieux adapté au milieu

Québec, le 3 octobre 2022 – La Ville de Québec présente aujourd’hui la version finale de son Programme particulier d’urbanisme (PPU) pour le pôle urbain Wilfrid-Hamel–Laurentienne. Ce PPU vise à dynamiser le secteur en faveur d’une mixité et d’une présence résidentielle accrues, d’aménagements plus conviviaux et attrayants ainsi que d’une meilleure interconnexion avec les secteurs voisins.

« Le PPU pour le pôle urbain Wilfrid-Hamel–Laurentienne vient officialiser l’encadrement des interventions privées et publiques à venir dans le secteur, a mentionné Mme Marie-Pierre Boucher, membre du comité exécutif responsable de la planification de l’aménagement du territoire. Les citoyens peuvent désormais rêver à un milieu plus vert, sécuritaire et où la qualité de vie prédomine. »

Principales modifications apportées

« Globalement, les citoyens se sont positionnés en faveur des orientations d’aménagement proposées, a précisé Mme Mélissa Coulombe-Leduc, membre du comité exécutif responsable de l’urbanisme. Les commentaires recueillis lors des activités de participation publique ont tous été analysés et ont permis de bonifier ou de préciser certains aspects du PPU. Cela se traduit en une trentaine de changements qui ont été effectués dans les stratégies et dans les normes du PPU. »

Les principaux ajustements apportés à la version finale sont les suivants :

Assurer une meilleure transition des volumes et inclure des gabarits intermédiaires dans les secteurs prioritaires de développement en réduisant la hauteur ou en retirant les sur hauteurs :
Retirer les sur hauteurs ainsi que l’alignement d’une façade d’un bâtiment au sud du boulevard Wilfrid-Hamel;
Réduire la hauteur à l’ouest de la rue Soumande.

Identifier certains secteurs de développement pour lesquels une sur hauteur excédant la hauteur maximale permise pourrait être autorisée, sous approbation d’un projet particulier qui intégrerait des caractéristiques au bénéfice du milieu, comme l’inclusion de grands logements, de services recherchés par les familles ou la bonification de l’aire verte, etc.

Les secteurs visés sont situés :
– Au sud du boulevard Wilfrid-Hamel dans le quartier de Vanier;
– En bordure ouest de la rue Soumande;
– Dans la portion nord du site Fleur de Lys, de part et d’autre de la rue Hubert.

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Le PPU

Voir aussi : 0 - Revue de presse, Architecture urbaine, Arrondissement La Cité-Limoilou, Commercial, Condo, Consultation publique, Densification, Logement locatif ou social, Nouvel urbanisme, Transport, Urbanisme.

Mérites d’architecture 2023 : lancement de l’appel de candidatures

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 15 septembre 2022 Commentaires fermés sur Mérites d’architecture 2023 : lancement de l’appel de candidatures

Québec, le 15 septembre 2022 – La Ville de Québec invite les architectes, entrepreneurs et propriétaires de bâtiments à soumettre leur candidature aux Mérites d’architecture 2023. Ce concours récompense les projets de construction exemplaires qui se distinguent en architecture, en design urbain et en patrimoine bâti à Québec.

Les participants peuvent déposer leur candidature dans différentes catégories :

Habitat inclusif – logement social, communautaire et abordable offrant un milieu de vie attrayant et inclusif, contribuant au bien-être des citoyens.

Bâtiment durable – projet novateur se distinguant par la contribution positive à la vitalité de l’environnement naturel, urbain et social dans lequel il s’insère.

Intégration architecturale et urbaine – projet d’agrandissement, de construction d’un bâtiment ou d’un ensemble architectural qui s’intègre de façon exemplaire dans le milieu bâti, naturel ou urbain.

Mise en valeur du patrimoine – lieu d’intérêt patrimonial de 50 ans et plus ayant été actualisé pour un nouvel usage ou une réalité contemporaine, au moyen de réparations, restaurations ou agrandissements.

Conservation et préservation du patrimoine – bâtiment ou ensemble bâti d’intérêt patrimonial de 50 ans et plus ayant subi des interventions physiques afin d’en préserver ou rehausser les caractéristiques architecturales d’origine.

Savoir-faire patrimonial – personne ou groupe qui se distingue par une maîtrise technique ou des connaissances spécifiques d’un savoir-faire traditionnel en architecture, en ingénierie ou en métiers.

Architecture du paysage et design urbain – projet de création ou de mise en valeur d’espace public (place, rue, parc, etc.) qui se caractérise par la qualité de son design, son intégration ou son innovation.

Les projets doivent avoir été complétés (permis fermé) entre le 1er juillet 2020 et le 30 août 2022. Les participants ont jusqu’au 15 octobre 2022 pour faire parvenir leur dossier de candidature.

Détails et règlements

Voir aussi : 0 - Revue de presse, Architecture urbaine, Conférences / évènements.

Histoire des villes nord-américaines

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 15 mai 2022 Commentaires fermés sur Histoire des villes nord-américaines

Depuis le milieu du XIXe siècle, les métropoles nord-américaines s’imposent comme l’incarnation d’une modernité urbaine triomphante. De Montréal à La Nouvelle-Orléans, le développement des transports en commun donne naissance à des quartiers bourgeois prestigieux, mais aussi à des quartiers chauds. De Toronto à New York, experts, architectes et politiciens tentent de faire sens du chaos urbain pour enrichir la ville et la sauver d’elle-même. De Vancouver à Chicago, parcs, boulevards et gratte-ciel sont construits et aménagés pour célébrer la grandeur des cités. Et dans l’ombre de chacune d’entre elles, il y a ceux et celles qui luttent contre les inégalités qui s’y accentuent et y persistent.

Table des matières

Histoire des villes nord-américaines 1
Introduction 7
Le tramway et la fin de la ville piétonne 13
Les quartiers de la grande bourgeoisie: le cas du Golden Square Mile à Montréal 31
Les red-light districts, quartiers du vice 51
Le mouvement City Beautiful ou le rêve d’une ville belle 69
Les grands parcs surbains: de Central Park au parc du Mont-Royal 89
L’invention du gratte-ciel, cathédrale du Nouveau Monde 107
Le redlining et la persistance des inégalités raciales aux États-Unis 133
Jane Jacobs, urbaniste de terrain 151
Dans la même collection 171
Table des matières 173

Auteur: Harold Bérubé.

Harold Bérubé est professeur titulaire au Département d’histoire de l’Université de Sherbrooke ainsi que membre du réseau VRM et du Laboratoire d’histoire et de patrimoine de Montréal. Il consacre ses recherches actuelles à la façon dont est pensée et gouvernée la ville au Québec au XXe siècle.

Pour feuilleter le livre

Aux éditions du Septentrion 14,95$ Papier 6,99$ PDF 6,99$ EPUB

Voir aussi : Architecture urbaine, Étalement urbain, Publications & ressources Internet, Qualité et milieu de vie, S'inspirer d'ailleurs, Urbanisme.

Les tours de bureaux doivent s’installer près des axes de transport en commun, insiste la Ville de Québec

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 29 mars 2021 3 commentaires

Baptiste Ricard-Châtelain
Le Soleil

Les entreprises comptant beaucoup d’employés, du domaine de l’administration et des services professionnels, doivent installer leurs bureaux dans les secteurs les mieux desservis par le transport en commun, pas dans les parcs industriels et zones résidentielles, réitère la Ville de Québec dans un règlement récent.
«La décision n’est pas nouvelle de favoriser le développement des immeubles de bureaux […] à proximité des axes de transport en commun et des pôles urbains», observe la conseillère en communication Audrey Perreault. Cette vision a été énoncée «bien avant même que le projet de réseau structurant de transport en commun [tramway] soit présenté».

C’est ainsi que, en 2014, des normes temporaires ont été implantées afin de forcer le regroupement des «plus fortes densités d’emplois» là où il y a le plus d’autobus.

Ces règles devaient cependant s’appliquer seulement pendant que l’administration municipale mettait à jour sa bible de l’aménagement du territoire de Québec : le Schéma d’aménagement et de développement. Ce document évoque le rêve de la capitale pour son avenir, cible les secteurs où on veut des maisons, des commerces, des tours, des champs, des arbres…

Ce Schéma a finalement été adopté en 2020. Mais il faudra encore du temps pour que les nombreux règlements de la Ville soient mis à jour afin de refléter les orientations qu’il contient, note Audrey Perreault.

La Ville vient donc de ressortir son règlement temporaire de 2014 afin de le remodeler selon la vision nouvelle. En le maintenant en vigueur, on évitera qu’il y ait des passe-droits tandis que les fonctionnaires s’attellent à la tâche de révision.

«En résumé, il est nécessaire de modifier le règlement de contrôle intérimaire afin d’appliquer immédiatement les orientations et les objectifs du Schéma d’aménagement.»

Immeubles dispersés

Donc, les tours de bureaux ne pourront pousser n’importe où. Ce qui n’a pas toujours été le cas : «Jusqu’ici, la planification urbaine a laissé beaucoup de latitude à l’implantation des immeubles de bureaux sur le territoire. En conséquence, ceux-ci sont dispersés dans toute l’agglomération, sans égard à la structure urbaine», dixit le Schéma d’aménagement.

On y ajoute : «La dispersion des entreprises sur le territoire a plusieurs conséquences. Elle rend difficiles la desserte efficace en transport en commun et le développement de milieux d’affaires denses et animés, à l’image de ce que devrait être une agglomération urbaine de la taille de Québec.

«Le secteur des services occupe 85 % des travailleurs de l’agglomération de Québec, dont 30 % dans des emplois administratifs, principalement concentrés dans l’administration publique, les services professionnels et les assurances.»

Source : Schéma d’aménagement et de développement révisé, Ville de Québec

Baptiste Ricard-Châtelain
Le Soleil

Les entreprises comptant beaucoup d’employés, du domaine de l’administration et des services professionnels, doivent installer leurs bureaux dans les secteurs les mieux desservis par le transport en commun, pas dans les parcs industriels et zones résidentielles, réitère la Ville de Québec dans un règlement récent.
«La décision n’est pas nouvelle de favoriser le développement des immeubles de bureaux […] à proximité des axes de transport en commun et des pôles urbains», observe la conseillère en communication Audrey Perreault. Cette vision a été énoncée «bien avant même que le projet de réseau structurant de transport en commun [tramway] soit présenté».

C’est ainsi que, en 2014, des normes temporaires ont été implantées afin de forcer le regroupement des «plus fortes densités d’emplois» là où il y a le plus d’autobus.

Ces règles devaient cependant s’appliquer seulement pendant que l’administration municipale mettait à jour sa bible de l’aménagement du territoire de Québec : le Schéma d’aménagement et de développement. Ce document évoque le rêve de la capitale pour son avenir, cible les secteurs où on veut des maisons, des commerces, des tours, des champs, des arbres…

Ce Schéma a finalement été adopté en 2020. Mais il faudra encore du temps pour que les nombreux règlements de la Ville soient mis à jour afin de refléter les orientations qu’il contient, note Audrey Perreault.

La Ville vient donc de ressortir son règlement temporaire de 2014 afin de le remodeler selon la vision nouvelle. En le maintenant en vigueur, on évitera qu’il y ait des passe-droits tandis que les fonctionnaires s’attellent à la tâche de révision.

«En résumé, il est nécessaire de modifier le règlement de contrôle intérimaire afin d’appliquer immédiatement les orientations et les objectifs du Schéma d’aménagement.»

Immeubles dispersés

Donc, les tours de bureaux ne pourront pousser n’importe où. Ce qui n’a pas toujours été le cas : «Jusqu’ici, la planification urbaine a laissé beaucoup de latitude à l’implantation des immeubles de bureaux sur le territoire. En conséquence, ceux-ci sont dispersés dans toute l’agglomération, sans égard à la structure urbaine», dixit le Schéma d’aménagement.

On y ajoute : «La dispersion des entreprises sur le territoire a plusieurs conséquences. Elle rend difficiles la desserte efficace en transport en commun et le développement de milieux d’affaires denses et animés, à l’image de ce que devrait être une agglomération urbaine de la taille de Québec.

«Le secteur des services occupe 85 % des travailleurs de l’agglomération de Québec, dont 30 % dans des emplois administratifs, principalement concentrés dans l’administration publique, les services professionnels et les assurances.»

Source : Schéma d’aménagement et de développement révisé, Ville de Québec

L’article

* Merci à un fidèle lecteur (LP Simard)

Voir aussi : Architecture urbaine, Étalement urbain, Densification, Projet - Tramway, Transport, Transport en commun.

Les Mérites d’architecture 2021 de la Ville de Québec

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 20 février 2021 Commentaires fermés sur Les Mérites d’architecture 2021 de la Ville de Québec

Tous les résultats

* Le site internet fonctionne maintenant

Voir aussi : Architecture urbaine.

[QUIZ] Joseph-Ferdinand Peachy, un architecte influent en sept questions

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 15 janvier 2021 Commentaires fermés sur [QUIZ] Joseph-Ferdinand Peachy, un architecte influent en sept questions

Le Soleil.
Collaboration de la Société historique de Québec (Nicolas Lacroix)

Plusieurs architectes ont laissé leur empreinte dans la ville de Québec. Président de l’Association des architectes de la province de Québec et de la Société Saint-Jean-Baptiste de Québec et membre du conseil municipal pendant 21 ans, Joseph-Ferdinand Peachy (1830-1903) est l’un d’eux.
On lui doit de nombreuses résidences, de multiples édifices commerciaux et religieux et une influence significative sur ses élèves et successeurs. La Société historique de Québec vous invite à le découvrir par l’entremise de sept de ses réalisations

L’article et le quiz

Voir aussi : Architecture urbaine, Histoire.