Michel Bédard
Beauport Express

Encore en attente d’une certification au programme LEED favorisant des constructions écoresponsables, le restaurant McDonald’s situé à l’angle de la rue Clemenceau et de l’avenue Saint-David dispose de deux espaces de stationnement pour véhicules hybrides réservés aux propriétaires de ce type de voiture; un fait très rare au Québec.

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* Photo prise en Europe

Un grand « merci » à M. Jacques Martin qui m’a fait parvenir cette magnifique photo.

Le dernier billet en date sur ce projet.

Samuel Auger
Le Soleil

(Québec) Le directeur général de l’organisme Vivre en Ville, Alexandre Turgeon, croit que la Ville de Québec est sur la bonne voie avec son plan d’établir trois écoquartiers dans la capitale, bien qu’il estime qu’une profonde refonte réglementaire est nécessaire pour assurer leur succès.

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Portland veut devenir la référence mondiale

Écoquartiers: le modèle suédois revu et corrigé

Le Royal Seaport

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Isabelle Mathieu
Le Soleil

(Montreux, Suisse) «Nous, on veut faire du développement durable, pas juste de la peinture verte.»

Après deux visites à l’hôtel de ville de Québec, Angelo Labate, président de la firme de développement Vaestas, a pu décrire, hier à Lausanne, au maire Régis Labeaume sa vision pour développer l’écoquartier D’Estimauville.

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Source : Jean-Luc Lavallée, Journal de Québec, le 19 octobre 2010

Le maire de Québec, Régis Labeaume, s’est envolé vers la Suisse, hier, pour une mission de huit jours au cours de laquelle il rencontrera de potentiels investisseurs tentés par le projet d’éco-quartier D’Estimauville.

« On a été approchés par un groupe suisse… On a fait des vérifications, ce sont des gens très sérieux », a révélé Régis Labeaume avant de quitter Québec pour Lausanne. Histoire de ne pas créer de fausses attentes à ce stade-ci, le maire a toutefois confié qu’il serait extrêmement étonné de revenir de la Suisse avec un contrat en poche.

« Peut-être qu’eux autres voudraient signer, mais pas moi. Je ne dis pas que c’est impossible (mais) je veux garder l’équilibre. On va avoir des discussions avec eux, mais ce n’est pas l’objectif premier. On rencontre des financiers en prétest pour voir, jusqu’à nouvel ordre, si ça tient la route. On a encore des décisions à prendre », a-t-il précisé. Le projet d’éco-quartier a beaucoup évolué dans la dernière année. La nouvelle mouture sera dévoilée publiquement en décembre.

Selon M. Labeaume, il serait étonnant que les investisseurs suisses soient seuls dans cette aventure. « Moi, je ne pense pas que tout le projet sera avalé par un seul financier. C’est une grosse bouchée, on parle de quelques centaines de millions; alors, en séparant le projet entre plusieurs investisseurs, ce sera plus facile de construire plus vite. » Le maire espère toujours compléter ce mégaprojet d’ici 2016.

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Pendant ce temps, à la Cité Verte : Se traîne-t-on les pieds ?

Crédits et source : Pierre-André Normandin, Le Soleil

Michel Bédard
Journal Habitation

Gestion Laberge aménagera 45 nouveaux terrains accessibles par l’avenue Royale

Entrepris en début de semaine, les travaux de démolition des entrepôts de l’ancienne cour à bois de Canac Marquis Grenier, sur l’avenue Royale à Beauport, se poursuivront jusqu’à la fin d’octobre en vue de laisser la place à un nouveau développement domiciliaire de 15 M $. Gestion Laberge agit comme promoteur immobilier de cet important projet qui comptera 45 terrains destinés à la construction de maisons unifamiliales.

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Intéressante rencontre pour les citoyens à venir le 26 octobre. On va traiter de dossiers controversés du secteur du Vieux-Moulin. On parle du ruisseau pollué qui est canalisé à plusieurs endroits, la redoute Montcalm et les terres de Saint-Michel-d’Archange (SMA) entourant le centre hospitalier Robert Giffard.

Les résidents du quartier du Vieux-Moulin de l’arrondissement de Beauport seront appelés à se prononcer sur les grandes orientations de développement dans leur milieu lors de l’importante consultation publique qui aura lieu le mardi 26 octobre prochain à 19 h au Centre de loisirs du Petit-Village, 2900, boulevard du Loiret.

«Les principaux dossiers traités par le Conseil de quartier du Vieux-Moulin depuis quelques années comme la mise en valeur du ruisseau du Moulin, les terres SMA, la redoute Montcalm et la circulation seront, entre autres, à l’ordre du jour de cette rencontre. À cette occasion, les résidents pourront non seulement exprimer leurs attentes quant au développement du quartier, mais aussi proposer des projets ou appuyer ceux qui seront proposés. Une partie de l’exposition « Je me souviens…d’un ruisseau et d’un moulin », de même que la maquette du moulin seront sur place», souligne la présidente Marie-France Legault.

via Michel Bédard de Beauport Express.

Je publie ces deux photos de M. Jacques Martin qui m’a fait parvenir ces dernières suite à mon billet du 11 octobre. Les deux photos ont été prises près du pont pour les golfeurs à côté du barrage.

Le secteur du barrage et pont sur la rivière Montmorency sur Google Maps.

Scène urbaine : promenade au parc de la chute Montmoreny.

Le lac des Roches est situé en altitude au nord de Charlesbourg et Beauport et au sud du Lac Beauport. Il sert aujourd’hui principalement à alimenter la prise en eau potable et la nouvelle usine de traitement (2009) de l’arrondissement de Charlesbourg. Il est alimenté par une pompe et une canalisation provenant de la rivière Montmorency. Cette canalisation passe le long du chemin du Lac des Roches construit en 1950. Ce chemin est bordé par des terrains très boisés et très discrets. C’est pratiquement impossible de voir quelconque habitation à partir de la route.

«Depuis plusieurs années, le service des travaux publics assurait le déneigement sporadiquement pour conserver un accès à la station de pompage du lac des Roches. Avec l’ouverture de la nouvelle usine de traitement des eaux de Beauport sur le boulevard Llyod-Welch, la ville a décidé qu’il n’était plus nécessaire de s’y rendre et donc d’entretenir ce chemin. Il y a d’ailleurs un accès beaucoup plus court par le secteur de Charlesbourg», a précisé Mme Lepage.

Je présume que plusieurs de ces grands terrains sont possédés par des familles depuis longtemps, et ce, depuis le régime seigneurial.

J’attire votre attention sur ce passage :

En enlevant le déneigement sur ce chemin d’accès, on ouvre la porte au vandalisme et si nos propriétés brûlent on ne pourra même pas les reconstruire», s’est indigné un résident du secteur soutenu par les applaudissements de plusieurs de ses voisins.

Est-ce que leurs chalets actuels sont là en vertu d’un droit acquis? S’ils sont incendiés, ils ne pourront plus reconstruire sur leur propre terrain?

via Michel Bédard de Beauport Express.

Lextrémité nord de la rue Seigneuriale à Beauport donne accès à un sentier et à un boisé fréquentés à lannée par les randonneurs et les motoneigistes. Mais dautres visiteurs ont un comportement outrageusement incompatible avec les premiers en considérant lendroit comme un dépotoir où on peut se débarrasser de carcasses danimaux, de matériaux de construction et dautres indésirables.

via Pierre-Olivier Fortin du Soleil.

Mise à jour 2010-10-18 : Le Beauport Express a publié un autre article sur cette problématique : Dépotoir à ciel ouvert au nord de la rue Seigneuriale