Source : Ian Bussières, Le Soleil, le 19 juin 2010
Pendant ce temps, les projets de déménager l’Hôtel de Glace et d’aménager une école d’horticulture sur les terrains du zoo piétinent, et le Bureau de la Capitale-Nationale, responsable du dossier, refuse de dire si la présence des trois encombrants nounours y est pour quelque chose.
«Je ne peux pas vous dire s’il est possible de faire les projets si les ours sont encore là. On fera le point sur le dossier dans quelques semaines. Les ours font partie des discussions que nous avons avec les différents partenaires concernant l’avenir des terrains du zoo. On se demande quoi faire avec, si on les garde ou si on les envoie ailleurs. Cependant, je ne peux pas vous dire pour l’instant si leur présence nuira aux projets pour les terrains du zoo», a déclaré Nicole Demers, porte-parole du Bureau de la Capitale-Nationale.
Du côté de la Ville de Québec, François Moisan du Service des communications indique pour sa part qu’un projet comme celui d’installer l’Hôtel de Glace sur les terrains du zoo nécessiterait un changement de zonage. Le secteur est actuellement zoné parc et les activités commerciales y sont interdites.
tiré de cet article
Quatre ans sans zoo à Québec.