Québec Urbain

L’Urbanisme de la ville de Québec en version carnet…


Archives pour la catégorie « Arrondissement Ste-Foy / Sillery / Cap-Rouge »

Travaux sur le campus du cegep de Ste-Foy

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 22 juin 2020 2 commentaires

Des travaux d’importance ont débuté à l’entrée du cegep de Ste-Foy et de la salle Albert-Rousseau. L’article de février du Soleil semble expliquer la nature de ces travaux.
Pour mieux vous situez, voici l’emplacement sur Google Maps.

Cégep de Sainte-Foy: un campus plus vert.

Crédit et source : Jean-François Néron, Le Soleil

Voir aussi : Arrondissement Ste-Foy / Sillery / Cap-Rouge, Institutionnel.

MU: un développement résidentiel de 130 M$ à Sainte-Foy

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 16 juin 2020 7 commentaires

Jean-Michel Genois-Gagnon
Journal de Québec

Le promoteur Immostar construira un édifice résidentiel de huit étages et de 465 unités haut de gamme sur l’îlot Lapointe, à Sainte-Foy. Le développement baptisé MU est évalué à 130 millions $.

Mardi, la direction d’Immostar a levé le voile sur son projet de condos locatifs «connectés» à proximité du boulevard Laurier et des centres commerciaux. Les travaux ont commencé à l’automne dernier avec la démolition des 16 bungalows sur le site.

«L’îlot Lapointe jouit d’une situation géographique unique, à proximité de tout ce dont on peut avoir besoin au quotidien: commerces, services, restaurants, épicerie, pharmacie, soins médicaux, divertissement», fait valoir Kevin Lachance, associé et vice-président finance et investissements.

Avec ce nouveau développement, le promoteur immobilier de Québec vise une clientèle multigénérationnelle. Des 465 unités allant des studios aux maisons de ville, 50 seront de prestige. Le Journal avait révélé les grandes lignes de ce projet en novembre dernier.

Par ailleurs, environ 80 formules d’habitation tout inclus seront offertes, note la direction dans un communiqué. L’édifice offrira une cour intérieure, des jardins communautaires, une salle de travail, un café, un espace foyer, une cuisine commune, une salle d’entraînement et une piscine.

Tout comme pour son projet de 13 étages baptisé Le Huppé, à Lebourgneuf, Immostar souhaite obtenir la certification WELL, qui se base sur la santé et le bien-être des êtres humains, pour MU.

Le projet, qui sera à proximité du futur tramway, est réalisé en partenariat avec Fiera Immobilier et Claridge. En 2018, les promoteurs avaient déboursé 16 millions de dollars pour mettre le grappin sur ces terrains.

La livraison de la première phase de condos pour le développement MU est prévue pour l’été 2021. Les travaux pour la deuxième phase devraient être terminés à l’été 2022. Les animaux de compagnie seront acceptés.

Immostar possède un portefeuille immobilier d’environ 3 millions de pieds carrés au Québec. Au cours des trois prochaines années, l’entreprise espère construire 1000 unités résidentielles dans la grande région de Québec.

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Le site internet de MU

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Tramway: pôle d’échanges Sainte-Foy. étude d’impact sur l’environnement

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 3 juin 2020 Commentaires fermés sur Tramway: pôle d’échanges Sainte-Foy. étude d’impact sur l’environnement

L’étude

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Sentier des Grands-Domaines-de-Sillery

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 1er juin 2020 Commentaires fermés sur Sentier des Grands-Domaines-de-Sillery

La Ville de Québec invite les citoyens à participer à une séance d’information publique en ligne pour prendre connaissance du concept d’aménagement prévu pour le Sentier des Grands-Domaines-de-Sillery, dont les travaux débuteront d’ici la fin de l’été.

Cette séance d’information est donnée a la suite de l’atelier participatif tenu le 25 novembre 2018, qui visait à recueillir les idées des citoyens concernant l’accès au sentier, le potentiel paysager, la mise en valeur culturelle et patrimoniale du secteur, la préservation du milieu naturel ainsi que la sécurité des lieux.

Rappelons que ce projet, financé par le gouvernement du Québec, s’inscrit dans la mise en oeuvre du Programme particulier d’urbanisme pour le site patrimonial de Sillery et ses environs adopté en 2015.

Séance d’information en ligne le 9 juin.

Les informations

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Un pôle d’échanges revu et corrigé à Ste-Foy

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 13 mai 2020 12 commentaires

Source : Taïeb Moalla, Le Journal de Québec, le 13 mai 2020

Le pôle d’échanges de Sainte-Foy prendra place sur les stationnements actuels de l’Industrielle Alliance, derrière le Canadian Tire, selon des documents obtenus par Le Journal. Un pont d’étagement sera construit sur le boulevard Laurier pour permettre aux voitures de passer sous le tramway. C’est ce que le maire Labeaume annoncera mercredi matin dans un point de presse portant sur les «concepts retenus» pour les pôles d’échanges de Saint-Roch et de Sainte-Foy.

En arrivant de l’est, le tramway empruntera le boulevard Laurier comme prévu. Il tournera ensuite à droite (vers le nord) dans ce qui deviendra le prolongement de l’avenue Roland-Beaudin.

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Le communiqué de la Ville

la présentation de la Ville

Voir aussi : Arrondissement Ste-Foy / Sillery / Cap-Rouge, Projet - Tramway.

Le Phare toujours dans les plans, mais avec 20 étages de moins

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 4 mai 2020 7 commentaires

Taïeb Moalla
Journal de Québec

La tour principale du Phare de Québec culminera à 45 étages, soit 20 de moins que prévu. Des changements majeurs, incluant l’arrivée d’un nouveau partenaire d’affaires, sont au menu du mégaprojet privé, a appris Le Journal.

Le vaste projet va compter 60 % moins de bureaux que prévu. Les unités d’habitation seront diminuées et la salle de spectacle de 1250 places ne verra tout simplement pas le jour. Aussi, le nombre total de cases de stationnement sera abaissé. Par contre, il est prévu que la capacité hôtelière soit augmentée.

La dernière mouture du Phare, sur laquelle nous avons pu mettre la main, n’a donc plus grand-chose à voir avec celle dévoilée, en grande pompe, début 2015. Il y a cinq ans, on parlait d’un nouveau «symbole» pour Québec et on vantait l’avènement du plus haut gratte-ciel à l’est de Toronto.

Certes, il est toujours question de quatre tours à bâtir à Sainte-Foy, à la tête des ponts. Mais la tour principale ne fera plus que 45 étages. Les trois autres tours devaient respectivement s’élever à 51, 30 et 18 étages, selon les derniers plans dévoilés par Groupe Dallaire en juin 2018. Or, les nouvelles esquisses consultées laissent penser que ces hauteurs seront également revues à la baisse.

Nouveau partenaire principal

Si le Groupe Dallaire demeure un partenaire financier du projet, on note l’avènement d’un nouveau partenaire principal – COGIR Immobilier – qui administre entre autres près de 20 000 logements au Québec, en Ontario et aux États-Unis, incluant un réseau de 50 résidences privées pour aînés.

Plus spécifiquement, DevMcGill, division de développement de COGIR, sera désormais aux manettes. DevMcGill est à l’origine du projet mixte luxueux Humaniti dans le Quartier international de Montréal.

Prêt pour la fin 2024?

Le souhait des promoteurs du Phare est désormais de relancer rapidement le projet pour pouvoir amorcer la construction en octobre 2021. Si tout va bien, on prévoit achever les travaux en trois ans, soit vers la fin 2024.

Des modifications réglementaires seront nécessaires. On évoque notamment le retrait de l’obligation de construire un pôle d’échange pour le tramway. Il s’agit là d’une formalité, puisque l’administration Labeaume a annoncé, début 2020, que ce pôle ne sera finalement pas situé sous le Phare.

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Voir aussi : Arrondissement Ste-Foy / Sillery / Cap-Rouge, Commercial, Projet - Le Phare de Québec.

Une démolition qui parle au diable

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 6 mars 2020 4 commentaires

François Bourque
Le Soleil

CHRONIQUE / La Ville de Québec dit réfléchir encore aux suites légales à donner à la démolition sans permis de l’ancienne résidence «patrimoniale» du maire Labeaume, avenue du Cap-au-Diable, à Sainte-Foy.

La vente a été conclue au printemps 2019 par l’entremise d’un agent. La démolition a été constatée par la Ville en janvier dernier.

Dans les faits, il n’y a pas mille hypothèses. Le règlement prévoit que quiconque fait des travaux de démolition de logement sans permis commet une infraction et est passible d’une amende de 1000 $ à 10 000 $.

En cas de seconde offense, les amendes sont doublées, mais on comprend qu’il serait difficile de démolir deux fois la même maison.

L’autre geste juridique que pourrait poser la Ville serait de refuser de délivrer un nouveau permis de construction. Si le propriétaire contestait cette décision, cela mènerait à un procès. C’est vraisemblablement ce qui va se produire.

On peut trouver qu’une amende de 1000 $ à 10 000 $, c’est bien peu payé pour la destruction d’une maison, de surcroît patrimoniale. Le règlement actuel n’en fait cependant pas un facteur aggravant assorti d’une amende supplémentaire.

La résidence Paul-H.-Bilodeau, du nom du propriétaire qui l’a fait construire en 1966, n’était pas classée monument historique.

Elle était cependant inscrite au registre des bâtiments patrimoniaux de la ville de Québec.

Cette maison, dessinée par l’architecte André Robitaille, était représentative du «patrimoine moderne» et des tentatives de l’après-guerre pour renouveler l’architecture résidentielle.

La Ville estimait que sa «forme générale» devait être conservée, ainsi que les matériaux et les «composantes architecturales associées à ce courant».

Pourquoi un propriétaire qui a payé 1,2 M $ pour l’acquérir et avait obtenu un permis pour l’agrandir dans le respect de ces objectifs patrimoniaux a-t-il ensuite décidé de la démolir?

C’est la question que tout le monde se pose.

Il n’est pas rare que des promoteurs fassent fi des amendes et abattent des arbres sans permis en faisant le calcul que ça ne pèsera pas lourd sur les profits attendus.

Mais ce raisonnement tient difficilement la route ici.

La résidence du 2555, avenue du Cap-au-Diable, comme beaucoup d’autres dans les quartiers qui surplombent les falaises de Québec, était dérogatoire au zonage sur les fortes pentes et bénéficiait de droits acquis.

Une interprétation raisonnable voudrait qu’en démolissant cette maison, le propriétaire a mis fin à ces droits acquis.

Ce n’est pas comme si un incendie, une tornade ou une autre «cause hors du contrôle du propriétaire» l’avait détruite.

Dans un tel cas, le règlement donne 12 mois pour reconstruire et conserver le droit acquis.

Il y a là une logique, car autrement les bâtiments dérogatoires (ils sont nombreux à Québec) perdraient de leur valeur. Qui voudrait acheter une maison qu’il serait impossible de reconstruire en cas d’incendie?

La règle est différente pour une démolition volontaire. À moins que quelque chose m’ait échappé, toute reconstruction devra respecter le règlement d’urbanisme en vigueur.

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Un billet précédent L’ancienne maison du maire Labeaume détruite sans permis

Voir aussi : Arrondissement Ste-Foy / Sillery / Cap-Rouge, Résidentiel.

Un nouveau milieu de vie en construction à Sainte-Foy: Le QG Sainte-Foy

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 25 février 2020 1 commentaire

Aurélie Beaupré
Portail Constructo

Un nouveau projet immobilier conjuguant un milieu de vie digne des grands hôtels, un vaste espace de restauration et de services ainsi qu’une clinique médicale verra le jour dans l’arrondissement de Sainte-Foy, à Québec.

Le QG Sainte-Foy, piloté par Capwood, sera situé au coin de la route de l’Église et de l’avenue Rolland-Beaudin et nécessitera un investissement de 80 millions de dollars. Celui-ci s’élèvera à une hauteur de douze étages et possèdera une superficie totale d’environ 27 870 mètres carrés (m2). Les cinq premiers étages seront à vocation commerciale, tandis que les sept autres permettront d’ajouter 122 logements en copropriété à l’offre résidentielle du secteur. Le bâtiment comprendra aussi 400 places de stationnement souterrain, une piscine, un gymnase, un chalet urbain au dernier étage ainsi que de nombreuses terrasses.

La section commerciale de l’immeuble, dont la superficie s’étendra à 7 432 m2, abritera effectivement un vaste espace de restauration et de services. Au sein de ce dernier seront regroupés de nombreux artisans. Plusieurs d’entre eux seront locaux, tandis que certains seront français. Une offre de produits variée sera ainsi mise à la disposition des résidents et des visiteurs.

Ce projet se démarque d’ailleurs par la gestion de cet espace commercial. En effet, les artisans pourront se concentrer sur leur travail, le promoteur s’occupant des tâches administratives. « On souhaite procurer aux artisans un endroit dans lequel ils pourront simplement exercer leur métier. Tout le reste, que ce soit l’administration, la promotion ou la vente en ligne, c’est nous qui nous en chargerons », explique Denis Epoh, directeur général chez Capwood.

Les clients bénéficieront de plus d’un service singulier. Ces derniers commanderont leur repas à l’aide d’une tablette électronique et seront servis directement à leur table. Ils pourront ainsi profiter simultanément des services de différents restaurateurs tout en étant servis au même moment, et ce, sans devoir se lever. Les résidents, pour leur part, auront l’avantage de la livraison à domicile rendue possible grâce aux tablettes électroniques qui leur seront offertes.

Ce qui distingue le QG Sainte-Foy des autres projets immobiliers aura cependant présenté quelques défis pour le promoteur. En effet, le système de chauffage et de ventilation de ce vaste espace de restauration devait être installé au dernier étage afin de permettre une meilleure utilisation de l’espace. Cette tâche complexe a donc engendré des défis en matière d’ingénierie. De plus, la technologie requise pour la commande, le service et la livraison des repas et des produits a nécessité la création d’une toute nouvelle plateforme électronique. Pour ce faire, une plus grande planification et la mobilisation de nouvelles ressources ont été essentielles.

La livraison du bâtiment, dont la construction a commencé en novembre 2019, est prévue en septembre 2020. À ce moment, près de 600 employés seront mobilisés dans les 25 commerces émergents qui s’ajouteront à l’offre commerciale des environs.

L’article

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Le tramway dans la cour d’école: le conseil d’établissement de l’école De Rochebelle inquiet et surpris

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 25 février 2020 26 commentaires

Taïeb Moalla
Journal de Québec

Le conseil d’établissement de l’école secondaire De Rochebelle, à Sainte-Foy, a exprimé sa «surprise» et son «inquiétude» devant l’hypothèse d’un passage du tramway en plein milieu de la cour de l’établissement.
C’est ce que Philippe Chetaille, président du conseil d’établissement, a indiqué en marge d’une réunion organisée lundi soir. Conciliant, ce dernier a cependant dit vouloir éviter «que ça se transforme en un dossier trop émotif».

«Ce sont des surprises et des inquiétudes raisonnées, a-t-il expliqué. Il y a un projet structurant de la Ville. Il va passer dans notre cour. Comment faire en sorte que, s’il passe dans notre cour, ce soit le mieux possible, et le plus écologique dans tous les sens du terme?»

Pour Daniel Lemelin, directeur de l’école, «la solution idéale» demeure celle de revenir au scénario souterrain du tunnel. «Ce serait gagnant-gagnant pour tout le monde. On préserve notre îlot de verdure et on offre un environnement plus sécuritaire pour nos élèves», a-t-il mentionné.

Appel au dialogue

Lançant un appel au dialogue, M. Lemelin a ajouté «qu’il ne faut pas que ça se décide entre le bureau du ministre et le bureau du maire. Il faut que les gens qui le vivent au quotidien soient mis à contribution».
Selon lui, «le tracé qu’on a vu [qui traverse la cour de l’école] est à l’état de projet. On a bien confiance qu’il y a moyen de trouver une solution pour que la sécurité des élèves et la quiétude de l’enseignement soient assurées. On peut sûrement trouver une sortie élégante à cette micro-crise».

Terrains de soccer

Parmi la vingtaine de personnes présentes à la rencontre de lundi, dont des parents d’élèves, plusieurs ont insisté sur le fait que les terrains de soccer sont également utilisés pour les cours d’éducation physique.
Aussi, certains se sont inquiétés de la coupure qui pourrait se créer entre l’école et la bibliothèque Monique-Corriveau, très fréquentée par les élèves.

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