Québec Urbain

L’Urbanisme de la ville de Québec en version carnet…


Archives pour la catégorie « Arrondissement Ste-Foy / Sillery / Cap-Rouge »

Marché public de Sainte-Foy : une structure permanente, transparente et lumineuse

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 1er avril 2019 14 commentaires

Québec, le 1er avril 2019 – La Ville de Québec a dévoilé aujourd’hui la maquette de la nouvelle structure permanente du marché public de Sainte-Foy. Vitré sur tous les côtés, le bâtiment sera lumineux et mettra en valeur les produits saisonniers et artisanaux des commerçants.

(…)

Les maquettes préliminaires du marché public de Sainte-Foy présentaient un bâtiment aéré aux murs escamotables. En collaboration avec la Coopérative du marché public de Sainte-Foy et avec l’aval de la Commission d’urbanisme et de conservation de Québec, le bâtiment présente maintenant des murs fermés, mais complètement vitrés, et une architecture dynamique et esthétique.

(…)

L’appel d’offres sera lancé dans les prochaines semaines. Les premiers travaux d’aménagement des stationnements débuteront à l’été, alors que les travaux pour la construction du marché s’amorceront à la fin de l’année 2019.

Le bâtiment sera complété au printemps prochain et l’ouverture du nouveau marché est prévue en mai 2020. Le budget du projet est de 5 M$.

D’ici à ce que les travaux soient terminés, le marché public demeure en activité à l’emplacement actuel.

Le communiqué

Voir aussi : Arrondissement Ste-Foy / Sillery / Cap-Rouge.

Le terrain du futur Phare en attente

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 31 mars 2019 Commentaires fermés sur Le terrain du futur Phare en attente

Avant que le mégaprojet du Phare débute, je me disais qu’il serait peut-être bon de prendre en photo le terrain concerné. Les deux photos du haut sont prises de la rue Lavigerie.

Celle du dessous montre la longueur du terrain qui borde la rue des Châtelets.

Les travaux du Phare débuteront cet été.

Vue aérienne du terrain sur Maps.

En rappel : la page du projet.

Voir aussi : Arrondissement Ste-Foy / Sillery / Cap-Rouge, Projet - Le Phare de Québec.

Projet coin Chevremont et chemin Ste-Foy: état des travaux

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 31 mars 2019 Commentaires fermés sur Projet coin Chevremont et chemin Ste-Foy: état des travaux

Dans un billet de décembre 2018, Martin Otis parlait de ce projet. Vous êtes au courant ? Merci.

Voir aussi : Arrondissement Ste-Foy / Sillery / Cap-Rouge.

Projet La Suite: état des travaux

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 31 mars 2019 Commentaires fermés sur Projet La Suite: état des travaux

Un billet précédent en août 2018 de ce projet. Le promoteur a conservé les érables (presque 50) qui avaient été plantés par celui qui était jeune prêtre à l’époque, soit Mgr Maurice Couture. Rappelons que le propriétaire antérieur de ce terrain était la commmunauté des religieux de Saint-Vincent-de-Paul.

Voir aussi : Arrondissement Ste-Foy / Sillery / Cap-Rouge, Logement locatif ou social.

Domaine Sous-les-bois: état des travaux

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 31 mars 2019 Commentaires fermés sur Domaine Sous-les-bois: état des travaux

Un billet précédent en août 2018 de ce projet

Voir aussi : Arrondissement Ste-Foy / Sillery / Cap-Rouge, Condo.

Un projet de 30 M$ sur le boulevard Laurier

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 28 mars 2019 8 commentaires

*Illustration: Journal de Québec et Acero

Jean-Michel Genois-Gagnon
Journal de Québec

Le groupe immobilier ACERO prévoit construire un immeuble de sept à neuf étages sur le boulevard Laurier, à un jet de pierre de l’hôtel Alt Québec. La facture du projet devrait avoisiner les 30 millions $.

Mercredi, le promoteur a dévoilé sur les réseaux sociaux les premières images de son édifice de verre avec des locaux pour bureaux ainsi que commerciaux. Si tout se déroule selon ses plans de l’entreprise, la première pelletée de terre pourrait se faire dès l’automne prochain. La livraison est prévue pour 2021.

«Avant de débuter le chantier, il faut toutefois obtenir les plans finaux pour la construction du tramway sur le boulevard Laurier. Cela pourrait avoir des impacts sur l’implantation finale du projet», explique au Journal le président d’ACERO, Benoît Raymond. «Nous voulons construire un édifice de prestige. Un joyau pour Québec. Nous avons déjà deux étages de louer», poursuit-il.

Le promoteur mentionne que le zonage pour son site permettrait une construction jusqu’à 17 étages. En raison de la superficie de son terrain, soit 22 000 pieds carrés, il envisage au maximum neuf étages. Un stationnement souterrain de 5 étages sera également aménagé.

Par ailleurs, ACERO démarrera au cours des prochaines semaines la construction d’un nouvel édifice de 30 000 pieds carrés sur la rue Semple, à Québec. Un projet immobilier de 5 millions $. La firme de génie-conseil Pageau Morel a déjà confirmé qu’elle serait l’un des locataires.

Pour le projet visant la construction d’une tour de 18 étages et 123 logements sur le site de l’église Saint-François-d’Assise, dans Limoilou, ACERO affirme aussi attendre les plans finaux du tramway pour statuer sur l’échéancier des travaux.

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* Merci à un très fidèle lecteur (Nathan)

Un billet précédent de Martin Otis

Voir aussi : Arrondissement Ste-Foy / Sillery / Cap-Rouge, Commercial.

Phare et tramway: le scénario du pire

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 27 mars 2019 9 commentaires

François Bourque
Le Soleil

CHRONIQUE / La Ville de Québec émettra les permis de construction du Phare même si le projet de tramway devait être abandonné.

Le scénario est peu probable, vu l’état d’avancement du projet de tramway et la disponibilité de l’argent public tant à Québec qu’à Ottawa.

Malgré tout ce théâtre politique sur les modalités de financement, on voit mal comment le projet de Québec pourrait être mis de côté.

J’ai pourtant sursauté en entendant le numéro 2 de l’administration Labeaume, Rémy Normand, rappeler cette fatalité du monde municipal : une ville a l’obligation de délivrer un permis lorsque la demande respecte le zonage et que la Commission d’urbanisme est d’accord. Ce sera vrai pour le Phare comme pour tout autre projet. Tramway ou pas. La loi est ainsi faite, que celle-ci plaise ou pas.

Ce qui m’a dérouté, ce n’est pas tant ce rappel des obligations de la Ville que la désinvolture dans la façon de dire. «Le Phare est une décision privée… Il n’y a pas de lien entre le Phare et le tramway… Ce sont deux projets totalement indépendants.»

Il me semble au contraire que ce projet du Phare est éminemment public, tant par les coûts collectifs d’infrastructure qu’il commande que par son impact dans la vie et le paysage de la ville.

Les deux projets ne sont peut-être pas liés au plan légal. Mais au plan urbain, c’est une aberration d’envisager un Phare sans transport en commun structurant.

L’impact serait catastrophique sur la circulation déjà congestionnée à l’entrée de la ville. D’autant plus qu’on ignore encore comment le ministère des Transports entend réaménager les échangeurs de la tête des ponts. Et qu’on ignore aussi où et comment sera raccordé le réseau de transport de Lévis. Cela fait beaucoup d’inconnus pour émettre des permis de construction dans un secteur aussi sensible.

Aux citoyens qui se sont inquiétés ces dernières années de l’impact du Phare sur la circulation, on a toujours répondu que le tramway/SRB permettrait de limiter cet impact.

Ce n’était pas la seule mesure envisagée, mais je comprenais que celle-là constituait une sorte de contrat social pour rendre le projet plus acceptable ou moins inquiétant.

Le plus étonnant restait à venir. C’est venu cette fois du responsable des transports à la Ville. Il a rapporté que lors de réflexions internes, on s’est demandé ce qui se passerait dans l’hypothèse d’un Phare sans tramway. La réponse : «On aura probablement des réaménagements du boulevard Laurier qui vont être différents de ce qu’on connaît aujourd’hui pour essayer de se donner un peu plus de capacité automobile pour combler l’absence d’un réseau de transport structurant.»

J’espérais avoir mal entendu, mais je me trompais. C’est vraiment ce qui a été dit : on compenserait l’absence de tramway par davantage de voies d’autoroutes à l’entrée de la ville. «Pas la solution optimale», dira-t-il plus tard, mais ça passerait par plus de capacité pour l’auto. Comme si un tramway et des autoroutes étaient interchangeables. Ni M. Normand ni le DG de la Ville ne se sont opposés.

Les bras me sont tombés. Je pensais vraiment que Québec était rendue ailleurs.

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Voir aussi : Arrondissement Ste-Foy / Sillery / Cap-Rouge, Projet - Le Phare de Québec, Projet - Tramway, Transport, Transport en commun.

Les travaux du Phare débuteront cet été

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 26 mars 2019 16 commentaires

Jean-Michel Genois-Gagnon
Journal de Québec

Tramway ou pas, le Groupe Dallaire ira de l’avant avec Le Phare. L’argent est dans les coffres et l’objectif est de démarrer le chantier à la fin de l’été.

C’est ce qu’a confirmé le promoteur immobilier au Journal, ayant bon espoir de boucler rapidement le financement pour la construction de la tour de 65 étages.

«Cela avance très bien. Le 25 % de financement (équité) est là. Il y a de l’intérêt des investisseurs. Mon enjeu n’est pas là, il faut que je signe des baux de location pour obtenir le financement de construction. Nous sommes en discussions avec trois banques», explique Michel Dallaire, promoteur du développement de 755 millions $.

Celui qui occupe la chaise de président du Groupe Dallaire assure que certains locaux ont déjà trouvé preneurs. Il estime qu’il pourra réaliser la première pelletée de terre lorsqu’environ 130 000 des 400 000 pieds carrés disponibles dans la tour 1 pour de l’espace à bureaux seront loués.

«Honnêtement, je n’ai pas d’inquiétude. À moins d’une catastrophe, le chantier démarrera vers la fin de l’été. Avant décembre, je tiens à rappeler que nous n’avions pas encore l’autorisation pour le zonage. Je ne pouvais pas signer de baux», répond-il.

Avant de commencer les travaux, le Groupe Dallaire doit toutefois encore obtenir ses permis de construction. Pour compléter cette étape, le promoteur explique qu’il doit s’entendre avec la Ville sur le pôle d’échanges et le partage de certains coûts. Il doit aussi finaliser son entente avec le Réseau de transport de la Capitale (RTC).

Quant au tramway, M. Dallaire mentionne que peu importe le dénouement du dossier, il construira son complexe de quatre tours.

«Lorsque j’ai commencé à travailler Le Phare, il n’y avait pas de tramway», affirme-t-il. «Le RTC veut son point de connexion. Il va toujours y avoir un rabattement des gens. Peut-être que cela va être moins de 10 000 personnes par jour. Il reste qu’il va y avoir 6000 personnes dans le bâtiment.»

Pour la construction du plus haut gratte-ciel à l’est de Toronto, le Groupe Dallaire prévoit détenir 25 % de l’édifice. Une autre organisation a confirmé qu’elle voulait être propriétaire à 20 %.

Au cours des derniers mois, le Fonds immobilier de solidarité FTQ a démontré de l’intérêt pour le projet. Selon nos informations, les pourparlers se poursuivent. Le Fonds ne serait toutefois pas l’un des principaux joueurs dans l’aventure. « On devrait être, à terme, huit partenaires québécois », précise M. Dallaire.

Parmi les éléments nouveaux, le Groupe Dallaire a choisi d’éliminer l’offre de logements locatifs de la tour 1. Elle comptera plutôt 500 copropriétés. Le nombre de chambres pour l’hôtel a aussi augmenté. Il est passé de 150 à 200.

«Pour les condos, plusieurs investisseurs nous ont souligné qu’ils souhaitaient acheter des portes et faire du locatif. Cela va représenter environ 150 unités», dit M. Dallaire.
Par ailleurs, le promoteur prévoit démarrer la construction de la salle de spectacles vers la fin de la première phase des travaux. Sur le site, on retrouvera dans la tour 2 (52 étages), une résidence pour retraités.

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Voir aussi : Arrondissement Ste-Foy / Sillery / Cap-Rouge, Projet - Le Phare de Québec.

Délai pour les passerelles reliant les centres commerciaux de Ste-Foy

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 5 mars 2019 7 commentaires

Source : Maxime Corneau, Radio-Canada, le 5 mars 2019

Les citoyens qui rêvent de voir les trois grands centres commerciaux du boulevard Laurier reliés par des passerelles devront encore attendre. Le projet est officiellement remis en raison des travaux liés au développement du tramway.
La nouvelle a été confirmée par Caroline Lacroix, la vice-présidente communication et marketing pour Cominar, l’entreprise propriétaire de Place de la Cité.
En avril 2017, les propriétaires de Place de la Cité, Laurier Québec et Place Sainte-Foy avaient annoncé en grande pompe la construction de deux passerelles qui permettraient aux clients de circuler entre tous les centres commerciaux sans sortir à l’extérieur. Les travaux devaient être terminés en 2019.
« Le délai a été reporté compte tenu de l’ampleur des grands projets structurants sur lesquels la ville travaille », explique Caroline Lacroix. Cette dernière n’est par ailleurs pas en mesure de dire à quand sont remis les travaux.
« Au moment où on se parle, il n’y a pas de date », conclut-elle.

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Sécurité des piétons : les trois centres commerciaux de Sainte-Foy seront reliés par deux passerelles.

Voir aussi : Arrondissement Ste-Foy / Sillery / Cap-Rouge, Commercial.

Le Phare est-il le projet «exemplaire» attendu?

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 4 mars 2019 47 commentaires

François Bourque
Le Soleil

CHRONIQUE / Le Phare est-il un projet «exemplaire» et «distinctif» pouvant justifier la «grande hauteur» de 65 étages qui va marquer le paysage de Québec?

La question s’impose à la lecture des «avis d’opinion» de la Commission d’urbanisme de la ville, dont Le Soleil a obtenu copie par la Loi sur l’accès à l’information.

Cette commission a le mandat de contrôler l’implantation et l’architecture des immeubles.

Dans ses quatre avis sur le Phare depuis 2013, la Commission explique que de «telles hauteurs de bâtiments requièrent un projet exemplaire».

«L’acceptabilité de ces grandes hauteurs est intimement liée à la grande qualité» d’un projet et à une «signature distinctive», insiste-t-elle.

Sur cette base, elle a émis en mai 2018 un avis favorable au projet du Phare qui allait donner le coup d’envoi au projet. On n’y perçoit cependant aucun enthousiasme.

À la lecture de ce dernier avis (et des précédents), on peine à comprendre ce que la Commission y a trouvé de si «exemplaire» et «distinctif» pour lui faire passer la barre des critères qu’elle s’était donnés.

On peut déduire que la Commission a hérité au départ d’un projet qu’elle trouvait déficient et handicapé par une mauvaise localisation, à l’angle de deux autoroutes (Henri-IV/Laurier).

Par ses suggestions, elle a fait ce qu’elle pouvait pour limiter les dégâts et rendre le projet plus acceptable. Cela en a-t-il fait le projet «exemplaire» et «distinctif» recherché?

Le débat est ouvert et risque de se poursuivre sans fin, comme pour l’édifice «G» (Marie-Guyart) construit il y a près d’un demi-siècle et qui soulève encore la controverse.

(…)

Depuis 2013, le promoteur a soumis à la Commission quatre versions du Phare qui ont chacune fait l’objet d’un «avis d’opinion».

1- Le premier avis (septembre 2013) fut très négatif sur le concept d’une tour d’inspiration «Dubaï», ce qui n’a pas empêché le promoteur de le rendre public un an et demi plus tard (février 2015).

2- Un second avis (avril 2016) sur un projet remanié fut beaucoup plus favorable malgré des «interrogations et des inquiétudes face à l’importance des enjeux urbains. Le projet fut rendu public l’automne suivant. «Un phare bien meilleur», avais-je alors écrit.

3- Un troisième avis, cette fois farouchement négatif, fut rendu en mars 2018 sur un projet encore une fois remanié. La Commission y constate que les qualités architecturales de la version précédente ont tout à coup disparu.

Difficile de comprendre ce qui s’est passé. Le promoteur a-t-il changé d’architectes ou leur a-t-il demandé de couper dans le projet pour en réduire les coûts?

Seul le promoteur pourrait nous le dire, mais depuis des semaines, il ne répond plus à nos messages et courriels.

Ce silence coïncide avec l’obtention du changement de zonage qu’il convoitait, mais peut-être n’est-ce qu’un hasard.

Cette troisième version du Phare n’a jamais été rendue publique et la Ville de Québec refuse aussi de la montrer. Un moindre mal puisque cette version a été écartée.

4- Un quatrième avis d’opinion que l’on peut considérer comme «final» a été rendu en mai 2018. Il est favorable, malgré plusieurs réserves.

Le promoteur est revenu au concept de 2016. «L’architecture générale des bâtiments s’est améliorée», dit avoir constaté la Commission. «Son design s’est bonifié et la commission apprécie les orientations sur sa matérialité».

Elle demande de «poursuivre le développement du projet» avec un «souci de grande qualité, de distinction et de raffinement des détails».

Elle exprime aussi des inquiétudes sur la typologie des balcons, l’impact des vents et de l’ombre, les éventuels basilaires et la mise en lumière des bâtiments.

Il faudra de nouvelles études de vent et d’ombrages, prévient la Commission.

(…)

Les délibérations de la Commission d’urbanisme se font à huis clos et ses membres sont tenus au silence éternel.

Les plans et documents qui leur sont soumis ne sont pas publics, même après que les décisions aient été rendues.

Les avis de la Commission ne sont pas publics non plus. Je n’ai réussi à obtenir ceux sur le Phare qu’après en avoir appelé du refus de la Ville de Québec devant la Commission d’accès à l’information. C’est une bataille qu’il faudrait recommencer à chaque fois.

Cela fait beaucoup de secret pour des décisions qui ont un impact parfois important sur le paysage de la ville et la vie des quartiers. Est-ce vraiment la meilleure façon de servir l’intérêt public?

Il faudrait, il me semble, que les enjeux d’apparence et d’architecture soulevés par les grands projets puissent être abordés plus ouvertement dans l’espace public.

Il doit bien y avoir moyen d’alléger un peu le secret sans nuire aux projets ou à la situation concurrentielle des promoteurs.

Je ne porte pas ici de jugement sur la compétence professionnelle des membres de la Commission.

J’en porte un sur l’importance que la ville ne soit pas dessinée à huis clos.

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Voir aussi : Arrondissement Ste-Foy / Sillery / Cap-Rouge, Projet - Le Phare de Québec.