Source: Pierre-André Normandin, Le Soleil, 16 décembre 2008.

Le Moulin à images de Robert Lepage et Espace 400e survivront à 2008. Alors qu’une récession menace de faire chuter le tourisme, le maire Régis Labeaume met sur pied un Fonds des événements de 8,5 mil­lions $ pour attirer les vacanciers québécois dans la capitale en 2009.

«On veut remplir l’été, genre pendant 12 semaines. Trois mois complets avec des prestations qu’on connaîtrait d’avance et un calendrier plein. Tous les gens du Québec auraient trois mois de festivités à Québec et auraient le choix pour venir passer leurs vacances», a indiqué le maire hier lors de la présentation du budget 2009.Sans prétendre égaler le budget de 90 millions $ du 400e, Régis Labeaume entend faire du 401e et des années suivantes un aussi grand succès festif. Et surtout, économique. «Je suis convaincu que Québec sera l’été prochain le rendez-vous de toutes les familles du Québec, au moins autant qu’on l’a connu en 2008.» (…)

La gestion d’Espace 400e – ou 401e, qui sait? – sera confiée au Festival d’été et à son directeur général Daniel Gélinas, qui devront l’animer «toute l’année» et organiser de «deux à trois prestations en permanence». Le Jardin des visionnaires doit aussi revenir et une nouvelle exposition sera présentée dans le pavillon fraîchement retapé par le gouvernement fédéral. «Pour nous, le coeur des fêtes sera aussi vivant, sinon plus vivant que l’an passé.» (…)

La suite. À consulter, entre autres billets: Espace 400e: Un bilan des plus positifs.

Autre superbe journée pour marcher en ville! Ci-haut, sur la 8e Avenue, en début d’après-midi après la dernière bande de neige de la « tempête ratée ». Ci-bas, face à la Gare du Palais.

À consulter, entre autres billets: Scènes urbaines: beautés… 2008-2009 (5).

Pour faire suite à ce concours, les membres du jury ont maintenant rendu leur verdict.

Les résultats

A noter: Les Mérites d’architecture s’enrichissent cette année d’une nouvelle catégorie. Elle viendra souligner dorénavant la carrière exceptionnelle d’une personnalité qui s’est démarquée par son travail en architecture et en embellissement du paysage urbain. C’est à titre posthume que l’architecte et grand bâtisseur de la ville de Québec, Jacques de Blois, a été honoré pour l’ensemble de ses réalisations architecturales, entre autres, pour son ouvrage, Le concept général de réaménagement du Vieux-Québec, et surtout, pour la revitalisation du quartier Petit-Champlain. (Extrait du communiqué)

On sait que la prolongement de la Promenade fait l’objet de promesses électorales de la part de nos trois grands partis provinciaux…

« Un excellent dossier sur la promenade Samuel-De Champlain est paru récemment sur le fil de presse v2com.biz et pourrait vous intéresser. La promenade y est présentée sous quatre perspectives du design: paysage, design urbain, architecture et design industriel. Les textes sont bien détaillés et les photos qui accompagnent les articles valent la peine d’être vues! » – E. Boucher

À consulter, entre autres billets: Panorama urbain (26): vue du haut de la tour de la promenade Samuel-De Champlain.

Merci à Emeric Boucher pour nous avoir fait découvrir ce site Web (magnifiquement illustré, avec les photos de Marc Cramer) qui rend hommage, entre autres, à nos créateurs!

À consulter, entre autres billets: Record de température (Le Soleil) et Scène urbaine: matinée brumeuse d’automne au bassin Louise.

La Basse-Ville de Québec a gagné beaucoup de terrain sur le fleuve Saint-Laurent depuis le 18e siècle. C’est à cette époque que l’on construisit le groupe de bâtiments que l’on appelle aujourd’hui La Maison Chevalier. Celle-ci est en fait composée de 3 édifices : la maison Chesnay, Frérot et Chevalier.

C’est l’armateur Jean-Baptiste Chevalier qui la fit construire en 1752. Située stratégiquement au centre des activités portuaires de l’époque, l’édifice longeait l’Anse-Aux-Barques. D’ailleurs, la façade que l’on voit aujourd’hui depuis le rue du Marché-Champlain était en fait l’arrière de l’édifice. De plus, son apparence différait quelques peu d’aujourd’hui puisque ses murs de pierre étaient recouverts de crépi.

En 1807, la maison changea de vocation et devint la London Coffee House. Elle fut connue sous ce nom tout au long du 19e siècle. L’auberge tenue par Elizabeth Andrews était réputée pour la qualité de ses mets et des boissons que l’on y servait (sherry, brandy et bière chauffée sur un réchaud). La London Coffee House comprenait 17 chambres, 4 salons, 2 salles à dîner et 1 bar. 

L’édifice fut restauré en 1959 et appartient maintenant au Musée de la civilisation. 

Sources :

• Histoire du Vieux-Québec à travers son patrimoine de Jean-Provencher
• Musée de la civilisation
• Bonjour Québec

Billet précédent : La redoute Dauphine

L’image ci-contre est tirée de l’édition papier de l’article suivant du Soleil: 30 millions $ pour loger Telus à Québec.

Ci-bas, l’ancien centre de tri de Postes Canada de la rue Saint-Paul, photographié hier.

À consulter, entre autres billets: Édifice du centre de tri postal : un nouveau projet pour bientôt.

L’ancien immeuble des postes dans le vieux port sera reconverti. Telus occupera les locaux et des il y aura des investissement massif pour réfection. L’édifice sera LEED et accueillera plus de 300 emplois d’ici 2012.

Voir aussi: Kevlar veut acheter l’édifice du centre de tri postal

Source: Julie Lemieux, Le Soleil, 22 octobre 2008.

(…) La direction du Musée a annoncé hier qu’elle travaillait déjà sur une nouvelle installation potagère. Celle-ci devrait accueillir les visiteurs sur le toit du Musée durant la même période que cette année, soit du début juin à la fin octobre 2009.

Conçu pour le 20e anniversaire du Musée, le premier Potager des visionnaires a pris fin dimanche. Depuis ses débuts, le 6 juin, pas moins de 679 704 visiteurs ont gravi les escaliers du Musée pour y accéder. Selon le Musée de la civilisation, leur taux de satisfaction s’est élevé à 98 % (…)

La suite. À consulter entre autres billets: Un potager sur le toit.

Source: Kathleen Lavoie, Le Soleil, 7 octobre 2008.

En entrevue au Soleil, la porte-parole du Cirque du Soleil, Chantal Côté, confirme que l’entreprise montréalaise a bel et bien été obligée de trouver un nouveau domicile à sa 25e production, temporairement intitulée Cirque 2009.

«Notre site habituel aux Galeries de la Capitale ne sera pas disponible en juillet. Les Galeries ont décidé d’amorcer des travaux de construction qui empiètent sur le stationnement. La surface restante n’est pas assez grande pour accueillir le chapiteau.» (…)

C’est ainsi que le Cirque du Soleil a arrêté son choix sur les quais 30 et 31 du secteur de l’Estuaire, le même emplacement, au nord de la Bunge, qui avait été retenu pour Cavalia en juillet 2006.

En revenant dans le Vieux-Port, le Cirque ne se contente pas de se reloger. Il fait aussi un clin d’oeil à l’histoire, puisque c’est dans le secteur de la Pointe-à-Carcy qu’il se produisait pour la première fois à Québec il y a 25 ans. Il y offrait alors trois spectacles à l’occasion des Fêtes du 450e de l’arrivée de Jacques Cartier. (…)

La suite. À consulter, entre autres billets: Cirque du Soleil: Billets samedi matin.