Petite marche dans le secteur du Vieux-Pot et belle occasion pour photographier l’état de ce projet. Que sont devenus des vestiges découverts lorsqu’on a creusé le site ?

Les appartements Port-Dauphin – état des travaux

Site web des appartements Port-Dauphin.

Sur Google Maps.

Source : Radio-Canada

Le secteur de la traverse, dans le Vieux-Québec, sera réaménagé au cours des prochaines années pour s’intégrer au projet de la promenade Samuel-de-Champlain.

La Société des traversiers du Québec (STQ), qui gère les installations, a demandé à des étudiants de la Faculté d’architecture de l’Université Laval de réinventer l’espace. Leur travail est exposé à la gare jusqu’au 15 avril.

Le concours permet d’étaler différentes idées qui inspireront le projet de réaménagement officiel. Ce dernier sera présenté en 2013.

Les étudiants rêvent d’un endroit plus accessible pour les piétons et les cyclistes ainsi que d’une place publique pour les résidents et les touristes.

Plus de 180 000 cyclistes empruntent ce secteur chaque année.

« C’est un lieu qui pourrait devenir intéressant pour simplement observer la vie autour, voir ce qui se passe sur le fleuve en toute saison », a expliqué Maryse Brodeur, porte-parole de la STQ.

l’article

Voyage dans le temps: l’édifice de la traverse, circa 1930.

Le secteur sur Google Maps.

Source : Karine Gagnon, Journal de Québec, le 20 janvier 2012

Un nouveau projet d’agrandissement présenté en décembre et le sol très pollué incitent la Ville de Québec à reconsidérer son plan de raser et de reconstruire le Marché du Vieux-Port.

C’est ce qu’a affirmé Richard Côté, vice-président du comité exécutif, lors d’un entretien avec Le Journal jeudi. Cet automne, le maire avait écarté la possibilité d’opter pour des rénovations plutôt qu’une reconstruction complète.

« On ne l’écarte plus tout de suite (la rénovation), car on nous a proposé un projet d’agrandissement qui est assez particulier et qui pourrait faire notre affaire », a dit M. Côté.

« Beau design »

Un architecte « assez créatif » a déposé ce « projet particulier » avant les Fêtes, rapporte M. Côté. « Ça fait un beau design », a-t-il dit.

Le projet prévoit un agrandissement de 20 % de la superficie actuelle et ne comporte pas d’étages supplémentaires ni de stationnement souterrain, ce qui est écarté d’emblée, de toute façon, pour une question de coûts, précise M. Côté, ajoutant qu’il est toujours question de coûts de 20 millions de dollars.

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Marché du Vieux-Port: Reconstruction à 20 millions.

Source : Nicolas Houle, Le Soleil, le 22 décembre 2011

(Québec) Malgré une année difficile, ponctuée d’annulations et de spectacles peu courus, le Festival d’été de Québec (FEQ) est intéressé à revenir gérer l’Agora Port de Québec en 2012. L’organisation pose cependant des conditions, visiblement las d’éponger des déficits.

Cette année encore, rares ont été les salles combles à l’Agora. En fait, il a fallu attendre le tout dernier spectacle, celui de Rise Against à la fin septembre, produit par evenko, pour voir le public accourir.

Au mieux, les lieux ont été remplis à moitié; au pire, quelques centaines de fans étaient au rendez-vous, comme lors du passage de Seether. On a même dû annuler les concerts de Don Felder et d’April Wine. Un scénario qui rappelle ce qui s’est passé en 2010, où Green Day, avait été le seul groupe à remplir l’amphithéâtre extérieur, attirant à lui seul près du cinquième de toute l’assistance de cet été-là, soit 50 000 personnes…

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L’Agora sera animé tout l’été.

Source : Karine Gagnon, Journal de Québec, le 6 décembre 2011

Les administrateurs de la Maison de Lauberivière ont trouvé des solutions et le bâtiment ne devra finalement pas être démoli, a révélé la conseillère Chantale Gilbert.

« À l’heure actuelle et d’après ce que j’ai su hier, elle (la Maison de Lauberivière) ne sera pas mise à terre et on a des suggestions pour la rénover », a indiqué Mme Gilbert en réponse aux questions d’un citoyens lors de la séance du conseil.

Comme le rapportait Le Journal de Québec, en novembre, le bâtiment abritant cet organisme offrant des services en itinérance aurait besoin de huit millions de dollars de travaux et il serait moins coûteux de démolir et reconstruire. Il ne respecte pas les normes antisismiques et risque de s’écrouler advenant un tremblement de terre, concluait un rapport d’experts. La direction avait toutefois commandé une nouvelle étude dont elle attendait les résultats sous peu.

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Le bâtiment de Lauberivière aurait des anomalies.

Source : Karine Gagnon, Journal de Québec, le 7 novembre 2011

Le bâtiment abritant la Maison de Laube­rivière, qui aurait besoin de 8 millions de dollars de travaux, ne respecte pas les normes antisismiques et risque de s’écrouler advenant un tremblement de terre.

Telle est l’une des conclusions d’un rapport d’experts effectué par la firme d’ingénieurs et experts-conseils CIME Consultants pour le compte d’Action Habitation, a appris Le Journal de Québec. Le tout a été remis cet été au service d’urbanisation de la ville de Québec et au ministère de la Culture.

L’édifice, situé rue Saint-Paul et qui abritait autrefois un hôtel, a été recyclé il y a 25 ans afin d’offrir des services en itinérance. On y accueille plus de 5 000 personnes par an.

Selon l’étude, qui est basée sur une expertise physique des lieux, l’endroit présente plusieurs anomalies et aurait besoin de plus de 8 millions de dollars de travaux afin d’être conforme aux normes du bâtiment.

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« Portes ouvertes 25 ans d’accueil à Lauberivière »

Le site web de l’Auberivière.

Notre collaborateur Gérald Gobeil a participé plus tôt cette semaine à l’émission Mise à Jour à Vox. Il était question de l’ouverture de la Côte Gilmour en hiver.

L’émission est disponible dans son entièreté pour les abonnés Vidéotron. Sinon, seul les 10 premières minutes son disponible. C’est ici.

Source : Radio-Canada, le 1er novembre 2011

EXCLUSIF – Radio-Canada a appris que la Ville de Québec espère accueillir en 2017 le retour des grands voiliers.

Le maire de Québec, Régis Labeaume, a confirmé mardi qu’il se rendra dans deux semaines dans le sud de la France, à Toulon, près de Marseille, pour une rencontre à ce sujet.

Selon Régis Labeaume, il s’agirait d’un événement d’une durée d’une semaine centré exclusivement sur l’armada des grands voiliers spectaculaires. Selon les informations obtenues par Radio-Canada, l’événement pourrait attirer entre 400 000 et un million de visiteurs en provenance de 25 à 30 pays. Le budget total s’élèverait de 5 à 10 millions de dollars.

Faire oublier Québec 84 ?

Pour le maire Labeaume, ce serait peut-être l’occasion de sabler le champagne et de faire oublier le souvenir de Québec 1984 à ses concitoyens.

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Celui-dont-on-ne-doit-pas-prononcer-le-nom.

Source : Annie Mathieu, Le Soleil, le 18 octobre 2011

(Québec) Trois propositions ont été retenues par la Ville de Québec pour la cure de jouvence que devrait subir le Marché du Vieux-Port.

Le vice-président du comité exécutif, Richard Côté, a expliqué lundi soir en marge du conseil municipal qu’il fallait cependant attendre les résultats de l’analyse des sols, qui devrait être déposée cette semaine, avant de pouvoir chiffrer les coûts des options sur la table à dessin.

M. Côté n’a pas voulu préciser si la facture pour la revitalisation du Marché pourrait dépasser les 10 millions $ qui avaient d’abord été prévus, ouvrant néanmoins la porte à ce que celle-ci soit plus salée.

Il a toutefois assuré que les propositions avaient été élaborées comme prévu sur l’emplacement actuel du Marché, soit en bordure du bassin Louise.

Richard Côté a refusé de dévoiler les détails des plans retenus, soutenant que même le conseil municipal n’avait pas encore eu le privilège de les consulter. Les différentes propositions offrent des versions différentes du Marché rénové, tant au chapitre de sa hauteur que de sa grosseur. Des annexes au bâtiment ne sont pas exclues, a spécifié M. Côté, qui a ajouté que de nombreux groupes avaient sollicité la Ville pour s’installer aux abords du Marché.

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L’échéancier se précise pour le marché du Vieux-Port.

Mise à jour de ce projet qui a beaucoup fait jaser en raison de son emplacement sur un ancien chantier naval datant de 300 ans. Toujours est-il que malgré la polémique, il semble que le traditionnel « çà sort de terre » s’applique à ces futurs appartements situés sur l’îlot St-Nicolas.

La construction d’un immeuble à l’îlot St-Nicolas inquiète les résidents: La suite.

La page web du projet.