Le Grand Théâtre de Québec vieillit mal. Un traitement est requis d’urgence. Pour le sauver, on songe même à «encapsuler le bâtiment» dans une coquille de verre, a appris Le Soleil.

L’enveloppe extérieure de l’édifice est très abîmée. «Il y a une dégradation qui est irréversible», annonce le président-directeur général, Marcel Dallaire, en entrevue téléphonique. «On se doit de trouver une solution dans les meilleurs délais.»

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Eh bien, après avoir fait tant parlé d’elle l’horloge du Jura trône (finalement) dans les jardins de l’Hôtel de ville, eux aussi avec un tout nouveau design. Les citoyens de la ville étaient d’ailleurs invités à venir voir le tout et déguster la raclette du Jura. Toutefois la pluie est venue gâchée quelque peu l’atmosphère festive de l’inauguration.

Le Jura.

L’horloge du Jura: dévoilement le 20 septembre.

À gauche, vue partielle des nouveaux Jardins de l’Hôtel de ville et à droite les travaux pour la rénovation de l’entrée principale.

«État des travaux» est un type de billet régulier et populaire sur Québec Urbain. Ils nous montrent, comme le nom le dit si bien, où en est rendu un projet en développement.

Peut-être devrions-nous aussi avoir une catégorie à part pour montrer comment un lieu est en train de tomber en ruine. Commençons avec l’Église Saint-Coeur-de-Marie, grâce aux photos de David Gagnon.

En haut, à gauche les logements sociaux en chantier devant le terminal de collecte résiduelle.
En haut à droite, une rangée d’arbres est venue mettre une touche de finition devant les maisons de ville. Toutefois, comme on peut le constater, les travaux sont en suspens pour quelques unes d’entres elles.
En bas à gauche, on a bloqué l’accès à la rue Catherine-Jérémie avec une clôture et on a finalisé le tout avec un trottoir.

Dans le même ordre, on peut apercevoir une rue avec des lampadaires à DEL et un autre format d’éclairage.
Par la suite, un grand espace se prépare à accueillir des constructions, celles-ci ? On semble avoir laissé de la place â un terrain gazonné probablement pour un espace loisir.
Finalement, un aperçu des bâtisses de la phase 1 vu de l’arrière. Encore là un grand espace semble défini pour acueillir de nouvelles constructions.

Source : Jean-François Néron, Le Soleil, le 26 août 2014

(Québec) Des résidents des Jardins Mérici contestent un projet de construction de 350 unités de logements et de condos que veut ériger leur voisin, la Société immobilière Arbois, derrière le 871, Grande Allée Ouest.

Le promoteur avait convié les citoyens du secteur, lundi soir, pour une soirée d’information. Son projet consiste à bâtir deux tours, respectivement de 14 à 15 et de 12 à 13 étages, en plus d’un troisième bâtiment de 5 à 6 étages. Il voudrait y vendre ou y louer des condos et des logements selon une formule qui n’est pas encore arrêtée.

Le terrain visé, propriété d’Arbois, est situé entre le 871, Grande Allée, et les Jardins Mérici. L’un des gestionnaires de la société, Jean-Pierre Beaudoin, explique que ce terrain est occupé par un stationnement et un espace vert. Pour lui, c’est l’occasion de rentabiliser un espace qui coûte davantage en taxes qu’il ne rapporte.

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Un projet de plus de 300 logements sur Grande Allée.

4 photos du grand chantier du Musée National des Beaux-Arts du Québec.

En haut à gauche, escalier de l’aile principale du musée en travaux.
En haut à droite, vue sur les travaux du tunnel qui mènent à l’entrée de la billetterie du musée.
En bas à gauche, vue sur l’arrière de la nouvelle aile (pris du carrefour giratoire en face de l’entrée du musée actuel).
En bas à droite, vue sur l’entrée principale de la nouvelle aile du musée, prise de la Grande-Allée.

Musée national des Beaux-Arts – état des travaux (4)

Source : Baptiste Ricard-Châtelain, Le Soleil, le 15 août 2014

(Québec) Des citoyens du quartier Saint-Sacrement accentuent la pression sur la Ville de Québec dans l’espoir de freiner l’abattage d’arbres par un promoteur immobilier. Vendredi, une mise en demeure a été expédiée annonçant une procédure judiciaire si la Commission d’urbanisme et de conservation ne met pas tout en oeuvre pour sauver les vénérables végétaux de la rue Barrin.

Depuis le début du mois, une dizaine de résidents du secteur dénoncent publiquement le permis d’abattage accordé par la mairie. Selon eux, les autorités n’ont pas évalué de solution de rechange, comme prescrit dans la réglementation municipale, avant de donner le feu vert à la firme Immofab. Autrement dit, ils sont convaincus que les ouvriers peuvent construire leurs jumelés sans toucher aux quelques arbres encore debout.

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Projet rue Barrin et arbres coupés.

Source : Stéphanie Martin, Le Soleil, le 1er août 2014

(Québec) L’administration Labeaume est de nouveau montrée du doigt et accusée de sacrifier des arbres matures au profit de la densification. Un nouveau front pour la protection des arbres s’est ouvert rue Barrin, dans Saint-Sacrement, où des citoyens tentent de sauver de l’abattage une dizaine d’arbres condamnés par un ensemble résidentiel. La Ville a réagi rapidement et a promis de demander au promoteur de limiter ses coupes.

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La rue Barrin sur Google Maps.

Quelques arbres de la rue Barrin

Le projet et arbre coupé.

Des arbres coupés au profit d’un terrain de soccer.

Une trentaine d’arbres coupés sur le terrain des Pères Maristes.

Source : Marie-Pier Cayer, Le Soleil (25 juillet 2014)

Olivier Moisan est artiste peintre. En 80 heures, dans l’espace de trois semaines, il a transformé un mur de béton du quartier Saint-Jean-Baptiste en oeuvre d’art. Une solution de plus en plus utilisée comme antidote aux graffitis.

La fresque urbaine a été commandée par la résidence pour personnes retraitées La Seigneurie de Salaberry, principalement pour régler un problème de graffitis indésirables.

Olivier Moisan a ainsi créé une fresque de 150 pieds de long en s’inspirant d’une photographie représentant le port de Québec aux alentours de 1900. Si la partie le long de la rue Richelieu est un copier-coller du cliché, il s’est donné plus de liberté au tournant de l’avenue De Salaberry.

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Je vous invite à aller y jeter un coup d’oeil. Je passe devant à tous les matins et je trouve le résultat réussi et original!

Il n’y avait pas eu de mise à jour de ce projet depuis janvier. Depuis 6 mois, le portrait a bien changé, au lieu d’un trou béant se dresse la structure que l’on peut apercevoir de René-Lévesque pour les deux premières photos et vu de la rue de la Chevrotière pour la photo du dessous.

Les Suites de la Colline – état des travaux

Sur Google Maps.