Québec Urbain

L’Urbanisme de la ville de Québec en version carnet…


Archives pour la catégorie « Arrondissement La Cité – Haute-ville »

Un fête de Québec à grand déploiement pour le 402e anniversaire

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 11 juin 2010 1 commentaire

Source : Radio-Canada, le 11 juin 2010

Un spectacle à grand déploiement, le Mur du son, sera présenté les 3 et 4 juillet prochain à Québec. Le spectacle préparé par le concepteur Olivier Dufour sera présenté à l’occasion de l’anniversaire de la fondation de la ville de Québec.

L’événement marquera aussi les 25 ans de la reconnaissance par l’UNESCO de Québec à titre de ville du patrimoine mondial.

Le Mur du son, un concept développé l’an dernier à Montréal, sera complètement revu. Le concepteur du Chemin qui marche proposera un hommage aux gens de Québec. « L’idée est une lettre d’amour d’une certaine façon à Québec, un regard personnel et aussi une possibilité de célébrer la francophonie d’une façon complètement différente », explique Olivier Dufour.

Le spectacle alliera musique, pyrotechnie et cinéma. Trois cents choristes chanteront des pièces marquantes du répertoire québécois tandis que six courts-métrages seront projetés sur une structure immense qui sera installée devant l’édifice du Parlement.

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Il semble que l’élan des célébrations depuis l’année magique de 2008 ne s’estompe pas. Il y a deux ans, Rencontres (document pdf)

Voir aussi : Arrondissement La Cité - Haute-ville, Fêtes populaires et événements publics, Message d'intérêt public, Québec La cité.

Le manège militaire: 2016

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 11 juin 2010 13 commentaires

Ottawa va lancer à l’automne les appels d’offres pour la reconstruction du Manège militaire. C’est ce qu’a annoncé la ministre fédérale des Affaires intergouvernementales, Josée Verner, lors d’une conférence de presse vendredi.

Ce n’est toutefois pas avant 2012 ou même 2013 que les croquis seront terminés. Il faut donc s’attendre à ce que les travaux ne s’amorcent pas avant trois ans.

Le plan proposé pour le Manège militaire, incendié il y a deux ans, comprend une salle multifonctionnelle et un musée pour retracer l’histoire de l’édifice. Il y aura aussi des bureaux pour le gouvernement fédéral.

Le Manège militaire demeurera le siège social des Voltigeurs.

Le Manège militaire a été lourdement endommagé par un incendie survenu en avril 2008.

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Une salle multifonctionnelle LCN et des travaux de 3,5 millions Presse Canadienne (On est loin des 100 millions annoncés en mars 2010)

Peut-être en 2016 Le Soleil

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Voir aussi : Arrondissement La Cité - Haute-ville, Patrimoine et lieux historiques.

Destination 2030: René-Lévesque à sens unique?

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 11 juin 2010 7 commentaires

Daphnée Dion-Viens
Le Soleil

(Québec) Le boulevard René-Lévesque pourrait devenir une artère verte avec une piste cyclable, deux voies réservées pour le transport en commun et… une seule voie à sens unique pour les automobilistes.

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Voir aussi : Arrondissement La Cité - Haute-ville, Vélo.

Reconstruction du Manège militaire : la décision du fédérale est prise

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 10 juin 2010 1 commentaire

Source :Radio-Canada, le 10 juin 2010

Le gouvernement Harper annoncera vendredi le scénario retenu pour la reconstruction du Manège militaire. Radio-Canada a appris que la ministre responsable de la région, Josée Verner précisera le choix de son gouvernement, les prochaines étapes à venir ainsi que les échéanciers.

Les journalistes seront convoqués à une séance d’information vendredi matin, au Château Laurier.

Les détails concernant la reconstruction du Manège militaire seront donc connus deux ans après l’incendie qui a presque complètement détruit le bâtiment.

Dans son dernier budget présenté au début du mois de mars, le gouvernement Harper s’est engagé, pour la première fois, à reconstruire le Manège militaire. Or, l’annonce n’était accompagnée d’aucune enveloppe budgétaire précise à cet effet.

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La reconstruction du Manège, une décision attendue depuis fort longtemps.

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Scène urbaine: Vélo 101

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 10 juin 2010 7 commentaires

La semaine passée, ce support à vélo (rue Cartier) était installé « à l’envers ». Le « V » donnait sur le bac où est situé l’arbre. J’ai contacté la Ville de Québec qui a procédé avec une diligence remarquable à la « mise à l’endroit » de ce support. (Merci !)

Aujourd’hui, je passe par là et ….. voilà! Décidément, il y en a qui ont raté Vélo 101 :) A moins, chose possible, que le changement ait eu lieu alors que le vélo était déjà là

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Le conseil de quartier opposé au projet de grande place

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 10 juin 2010 31 commentaires

Marc Allard
Le Soleil

(Québec) Le conseil de quartier du Vieux-Québec s’oppose à la grande place pavée que la Ville souhaite aménager devant le Manège militaire, estimant qu’elle nuira à la qualité de vie des citoyens du secteur et créera un îlot de chaleur

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Le terrain Esso: Quoi de neuf ?

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 8 juin 2010 3 commentaires

Dans un billet précédent, nous parlions du sort du « terrain Esso ». J’étais présent au Conseil de Quartier de Montcalm ce soir. Du neuf ? Rien.

Sinon que la Ville procèdera à un appel d’offres cet automne. Plusieurs promoteurs se seraient montrés intéressés (normal). Les commerçants de l’avenue Cartier souhaitent rencontrer bientôt le conseiller François Picard, responsable de ce dossier, en vue de présenter « un projet collectif ».

Est-ce que le Conseil de Quartier Montcalm a un projet au moment des présentes ? Non.

On devrait donc savoir finalement, cet automne, ce que la Ville fera de ce terrain idéalement situé et dont elle est propriétaire. Le zonage actuel faisant que seul un immeuble de 3 étages (commerce au RC et résidentiel pour les deux autres étages) peut être construit sera sans doute modifié après l’appel d’offres.

En somme, il est sans doute temps que la Ville fasse en sorte que ce dossier se termine. Et pour ce faire, poser une échéance. Sinon, on en sortira pas. Malgré toute la bonne volonté manifestée par les bénévoles du Conseil de Quartier Montcalm.

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La Tour Martello no. 4: Le trésor caché du Faubourg Saint-Jean-Baptiste

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 1er juin 2010 27 commentaires

La Tour Martello no.4 ˆsur la rue Lavigueur / Photo Francis Vachon

La Tour Martello #4 ˆsur la rue Lavigueur / Photo Francis Vachon

Saviez-vous qu’une tour de défense militaire datant près de 200 ans est située à la limite de la falaise du Faubourg Saint-Jean-Baptiste? Une tour inaccessible au public qui est difficilement atteignable par les multiples rues étroites à sens unique de ce quartier. Elle nous surprend lorsqu’on tombe face à face à elle, puisqu’elle empiète sur la moitié de la rue Lavigueur. De plus, elle est complètement cachée de la basse-ville par l’importante végétation du cap.

La construction des tours

L’effort de fortification des Britanniques a débuté en 1800 après une nouvelle menace d’invasion américaine. La construction des tours a débuté en 1808. Les trois premières tours ont été complétées en 1810. La quatrième tour fut complétée 2 ans plus tard, soit en 1812, par manque de main-d’oeuvre disponible et due aux trop courtes saisons de travaux.

Tour Martello no.4 en 1838 par un artiste inconnu (Archives Canada)

La structure d’une tour comme celle-ci est très solide. L’armée britannique avait dû faire face à ce type de construction en 1794 à la pointe de Mortella en Corse. Pendant 2 jours, la tour avait résisté à des bombardements de 2 navires équipés de multiples canons . Les Britanniques furent impressionnés par la robustesse de cette tour. Ils ont donc décidé d’en bâtir plusieurs un peu partout dans le monde et d’en copier l’architecture. Toutefois, ils se sont trompé dans le nom en les nommant « Martello » au lieu de «Mortella».

La tour no. 4 mesure 42,5 pieds en diamètre, elle est 26,5 pieds de haut et ses murs ont 6 à 11 pieds d’épaisseur. La tour no. 1 est légèrement plus grosse avec un diamètre de 44,5 pieds et une hauteur de 29,1 pieds. La tour no. 2 a donc un diamètre de 56 pieds et une hauteur de 33 pieds. Les tours du centre, les nos. 2 et 3, étaient plus grosses que celles à l’extrémité (nos. 1 et 4). Les murs sont bâtis avec un mélange de pierre de calcaire disponible à Charlesbourg et Beauport et de la pierre de grès disponible à l’Ange-Gardien.

La terrasse de la tour s’appuyait sur une chambre forte voûtée avec un énorme pilier central. On pouvait alors y placer un lourd et puissant canon qui pouvait pivoter sur 360 °. L’assise de la tour était plus large pour améliorer sa solidité.

Un système de défense avancé

Les quatre tours ont été construites pour empêcher ou du moins ralentir l’envahisseur américain à atteindre Québec. À cette époque, la Ville de Québec s’étendait uniquement à l’intérieur des fortifications. Les tours étaient situés à environ un kilomètre de la Ville. Les murs à l’ouest des forts étaient épais de 3,5 mètres (12 pieds) du côté ouest et beaucoup plus minces du côté de la Ville (1,5 mètre).

Les murs épais étaient conçus pour résister aux boules de canon ennemies. Les murs intérieurs étaient conçus pour être détruits facilement par les canons situés à Québec et dans les autres tours si l’ennemi en prenant le contrôle d’une tour. En autres mots la terrasse du canon et la chambre voûtée n’étaient pas au centre du bâtiment.

La différence d'épaisseur des murs / Photo Francis Vachon

La différence d'épaisseur des murs / Photo Francis Vachon

Un fort autonome

Les tours ont été conçus pour être occupés pendant une lune (environ un mois) par une garnison de soldats. La tour no. 4 pouvait loger 12 hommes. Lors des changements de garde, les soldats sortaient et entraient de la tour par une porte au 1er étage et à l’aide d’une échelle amovible. Cette dernière était alors hissée vers le haut dans la tour par les soldats pour éviter qu’un ennemi y mette les pieds. Il y avait 2 quarts de travail. 6 hommes montaient la garde sur la terrasse de la tour au 2e étage alors que les 6 autres opéraient la tour (bois de chauffage, cuisine, poudrière, etc.) et se reposaient.

L’escalier étroit

L'Escalier menant à l'espace supérieur

Pour circuler entre les 2 espaces de travail, un escalier était construit à même le mur le plus mince. Elle était très étroite et elle épousait la courbe du mur de la tour. Un soldat en haut de l’escalier pouvait alors se défendre avec son fusil et se réfugier le long du mur pour éviter de se faire tirer en cas d’invasion.

L’espace d’entreposage et la poudrière

Le rez-de-chaussée avait une vocation plus utilitaire et d’entreposage. On y entreposait la nourriture et l’eau grâce à de vastes réservoirs sous le plancher. On pouvait hisser l’eau avec des chaudières grâce à des cordes rattachées au plafond voûté du 2e et à travers des trappes au plancher. Le RDC logeait aussi la poudrière qui était isolée dans un coin dans sa propre voûte en pierre.

Jamais mise à l’épreuve

Lors de la guerre anglo-américaine de 1812, les tours Martello de Québec étaient pleinement fonctionnelles et prêtes à recevoir l’ennemi. Toutefois, lors de la bataille de Châteauguay le 25 octobre 1813, les troupes de Charles de Salaberry ont défait les 4 000 troupes du major-général Wade Hampton et les empêchant ainsi de monter le fleuve Saint-Laurent et atteindre Québec.

La tour au fils des ans

L’emplacement des tours no. 3 et no. 4 à l’extérieur des champs de bataille les ont en quelque sorte isolés. La tour no. 4 s’est fait enclaver dans un quartier résidentiel par le développement domiciliaire de la fin du 19e siècle. Autrefois, située au bout du cap dans un champ, elle empiète maintenant sur la rue Lavigueur. La Ville de Québec a construit la rue en faisant abstraction de la présence de la tour. Les véhicules automobiles doivent la contourner puisqu’elle occupe la moitié de la voie de circulation comme le témoigne le plan de localisation de 1987.

Démolition de la tour no. 3 en 1905

Démolition de la Tour Martello no. 3 (archives de la Ville de Québec)

On est allé jusqu’à détruire une autre tour, la no. 3, en 1905 pour permettre la construction du MacKenzie Memorial Building en 1906 de l’Hôpital Jeffrey-Hale lorsqu’elle était située jusqu’en 1955 sur la Colline Parlementaire (voisin du Grand-Théâtre). L’emplacement précis de la tour est bien identifié sur Wikimapia.

Création de la Commission des champs de bataille nationaux en 1908

J’ai été incapable de voir un lien officiel entre la fondation de la Commission et les événements. La Commission a d’ailleurs fait l’acquisition de la tour no. 4 en 1910. L’armée britannique possédait jusqu’alors l’équipement. Fait étonnant, un gendarme de l’armée britannique a surveillé et habitué la tour avec sa famille de 1892 à 1907.

La famille qui a habité dans la Tour Martello no. 4 de 1892 à 1907 (archives de la Ville de Québec)

Travaux de restauration

Les trois tours subiront des travaux de restauration en 1910, 1937, 1964 et 1992. Les travaux de 1964 comprenait des nouveaux planchers de béton pour remplacer les planchers de bois probablement pourris. Les travaux en 1992 ont été très importants puisqu’ils comprenaient un nouveau toit, des travaux de mortier et un nouvel escalier extérieur et seules les tours 1 et 2 ont reçu des nouveaux planchers de bois.  D’ailleurs, elle fut la seule à ne pas recevoir un plancher de bois fidèle à ceux d’origine.

Les toits

Le toit de la tour no.4, vue de l'intérieur / Photo Francis Vachon

La terrasse à l’origine n’avait pas de toit. Le toit aurait été construit 11 ans plus tard en 1823. On constatait que l’eau et la neige endommageaient trop la maçonnerie et les pièces d’artillerie. Les premiers toits étaient bas. Le dernier toit reconstruit en 1992 offre un bon dégagement pour les occupants.

La tour no. 4 aujourd’hui

Cette tour ne fait pas partie du circuit touristique dû à son emplacement peu accessible. Elle n’est pas exploitée par la Commission des champs de bataille nationaux. Elle demeure la propriété de la Commission qui a la responsabilité de son entretien et sa surveillance. Le CCBN n’a pas de plans futurs pour la tour autre que le statu quo.

Elle ne contient aucun bien ou artefact de l’époque. Elle est entièrement vidée de son contenu historique. Son foyer est condamné et les pièces d’artillerie sont toutes retirées. Son canon principal, autrefois installé sur le toit, a été déménagé et installé sur les Plaines d’Abraham sur l’avenue Tâché.

D’ailleurs, les agents de sécurité de la CCBN font régulièrement des tournées sur la rue Lavigueur. La sécurité est assurée par le Corps canadien des Commissionnaires qui rendent des services dans la plupart des sites et édifices du gouvernement fédéral.

Les Compagnons de l’ère médiévale depuis 1996

Une association d’adeptes de l’époque médiévale a pris son envol après les fêtes des médiévales de 1993 et 1995. La Ville de Québec s’est entendue avec la Commission des champs de bataille pour prêter la Tour Martello no. 4 à ce groupe en 1996. L’entente s’est renouvelée plus officiellement en 2008 avec la CCBN directement.

Les Compagnons sont en sorte les gardiens de la tour. Ils ont la responsabilité de veiller sur elle et l’occuper. Elle serait autrement vide et pas surveillée. Ils défrayent aussi le coût des assurances habitation qui atteignent les 2 500 $ par année due à la particularité du bâtiment. La Commission a toutefois la responsabilité de la préservation des lieux, des coûts en électricité et de l’entretien du bâtiment.

Aujourd’hui, l’association regroupe 20 bénévoles qui organisent des soupers banquets avec une thématique médiévale au 2e étage (la terrasse recouverte du toit). Le bâtiment est leur lieu de rencontre et il sert à entreposer leurs costumes et accessoires. Ils doivent être discrets par respect au voisinage qui est à proximité. Ils s’imposent un couvre-feu de 23 h pour toutes leurs activités en soirée.

D’ailleurs, l’ex-président de l’association, André Chagnon, et une des administratrices, Huguette Desroches ont permis à Francis Vachon et moi de faire une visite complète de la tour. Nous les remercions pour leur accueil inconditionnel.

Les aménagements décoratifs réalisés par Les Compagnons de l’ère médiévale. La photo de gauche montre le pilier central / Photo Francis Vachon

Faits intéressants

  • Lors de notre visite, il faisait un écrasant 30 ° avec beaucoup d’humidité. Une fois rendu à l’intérieur, on aurait cru avoir changé de saison. C’était très confortable tout en restant assez humide.
  • Malgré que la tour est officiellement fermée au public, les Compagnons sont très accueillants et vous êtes les bienvenus à visiter la tour lorsqu’ils sont sur place.

Pour en savoir plus :

MAJ 2010-06-02 : J’ai ajouté le plan de localisation de 1987 dont je faisais mention dans le texte. Ça va aider davantage dans la compréhension.

MAJ 2010-07-20 : J’ai retiré l’information que la tour glissait vers le cap et que la hauteur des marches était un moyen de trébucher l’ennemi. J’ai ajouté l’emplacement actuel du canon. J’ai corrigé les faits sur les rénovations sur les planchers des tours.

Voir aussi : Arrondissement La Cité - Haute-ville, Histoire, Lieux magiques, Patrimoine et lieux historiques, Québec La cité, Voyage dans le temps.

PPU: Soirée d’information le 1er juin

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 31 mai 2010 4 commentaires

Québec, le 31 mai 2010 – La Ville de Québec informe les citoyens qu’une séance d’information portant sur le programme particulier d’urbanisme (PPU) pour la colline Parlementaire aura lieu le mardi 1er juin 2010, à 19 h, à l’hôtel Château Laurier, 1220, place George-V Ouest, salle Abraham-Martin. Aucune inscription n’est requise pour assister à cette séance d’information

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Voir aussi : Arrondissement La Cité - Haute-ville, Arrondissement La Cité - Vieux-Québec.