L’Association des commerçants de l’axe Montcalm (Espace Cartier) s’inquiète du manque de stationnements envisagé avec la construction du nouveau pavillon du Musée national des beaux-arts du Québec.

« Actuellement, les renseignements que nous avons laissent croire qu’aucun espace supplémentaire de stationnement ne serait prévu lors de la construction du nouveau pavillon, alors qu’il y a une volonté d’augmenter l’achalandage. Par ailleurs, qu’arrive-t-il avec le règlement municipal qui oblige l’ajout de nouveau stationnement lors d’une construction? Bref, il est irréaliste de penser que cette situation ne causera aucun problème aux commerçants et aux résidents du quartier Montcalm » affirme Marc-André Pâlin, directeur général d’Espace Cartier.

En 2008, 90 % des répondants d’un sondage réalisé par le Centre local de développement de Québec sur l’accessibilité à la clientèle dans le quartier Montcalm affirmaient que le secteur commercial était difficilement accessible en raison du manque de stationnements.

« En n’ajoutant pas d’espace de stationnement supplémentaire, il y a un fort risque que les visiteurs du musée utilisent des stationnements en périphérie du pavillon d’accueil. Cette situation aura comme conséquence directe de diminuer l’accessibilité aux commerces et d’amoindrir la qualité de vie des résidents du quartier » déclare monsieur Pâlin

« Il faut absolument que la Ville de Québec se penche sur ce dossier, car le manque de stationnements est un problème majeur dans notre secteur commercial. Plusieurs commerces souffrent de cet état de fait, car il n’y a aucun doute qu’une personne qui tourne en rond pendant quinze minutes pour se trouver un stationnement quitte le quartier et s’en va ailleurs pour effectuer ses achats » conclut Marc-André Pâlin.

Source: Communiqué d’Espace Cartier

Le stationnement dans le quartier Montcalm

Dans un billet récent, nous parlions de ce terrain dont le sort semble stagner alors qu’il est situé dans un endroit stratégique.

Or, au conseil de quartier qui s’est tenu ce soir, j’y ai appris que la Ville semble donner une dernière chance au Conseil de quartier afin d’en arriver avec une proposition d’ici la fin de juin 2010, quant à la vocation future de l’endroit.

Un comité a été créé et ce dernier devrait remettre le fruit de ses réflexions à la Ville.

Mais qu’arrivera-t-il si l’idée soumise par ce comité n’est pas retenue ?

Le terrain serait alors vendu par la Ville avec le zonage actuel permettant un édifice de trois étages (commerce au rez-de-chaussée, deux étages d’habitation). Et selon la conseillère Anne Guérette qui pariticipait à cette assemblée, la Ville semble s’impatienter …

On s’en reparle.

Évidemment, à la prochaine séance du Conseil de Ville (17 mai), nous en saurons peut-être un peu plus.

Les commerçants de St-Jean-Baptiste, ceux de la rue Cartier, et la conseillère Anne Guérette ont une proposition fort attrayante sur la table.
Un nouveau circuit pour l’Écolobus. Il emprunterait un quadrilatère formé par la Grande Allée, la rue Cartier, la rue St-Jean (dans le quartier St-Jean=Baptiste) et Honoré Mercier.
Ainsi, par exemple, les gens du Vieux-Québec auxquels il manque plusieurs commerces de proximité pourraient s’approvisionner de cette façon. Les touristes et les gens du territoire concerné pourraient s’en servir également.
Je trouve que c’est une fort bonne idée. Et ils sont d’accord pour une tarification adaptée quant à l’Écolobus, actuellement gratuit.

Et vous, votre avis ?

Mise à jour: La position de la Ville et la réponse des chauffeurs de taxi

François Bourque
Le Soleil

(Québec) Les promoteurs auraient aimé grimper plus haut; la Ville ne veut pas prendre de risque. Pas aux portes du Vieux-Québec. (…) Trois projets d’importance sont actuellement en gestation sur cette avenue sur moins de 250 mètres : l’hôtel du groupe Jaro, (coin côte d’Abraham), la tour de Place Québec et un immeuble de 100 condos du groupe Norplex (coin D’Aiguillon).

Chaque fois, les promoteurs ont approché la Ville pour aller plus haut.

Place Québec a rêvé à plus de 25 étages, Norplex en visait 15. Jaro a discuté avec la Ville jusqu’à il y a quelques semaines, pour «tester» un hôtel beaucoup plus haut que les neuf étages annoncés, offrant en retour plus de logements sur la côte d’Abraham

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Honoré Mercier

Frédéric Denoncourt
Le Soleil

(Québec) Construira? Construira pas? L’incertitude plane toujours quant aux intentions de la succession d’un promoteur immobilier décédé l’an dernier et qui avait acquis de la Ville l’îlot Saint-Michel, un terrain situé sur le boulevard René-Lévesque, en vue d’y construire un immeuble abritant une quinzaine de condos. (…) La Ville de Québec avait délivré à l’époque au nouveau propriétaire un permis pour l’érection d’un immeuble résidentiel de 16 unités de logements, incluant des locaux commerciaux au rez-de-chaussée. «La hauteur du bâtiment ne devait pas dépasser 16 mètres, soit moins de six étages», continue M. Picard. Trop haut, dit Nicolas Lefevre-Legault, porte-parole du comité populaire Saint-Jean-Baptiste, qui soutient qu’un bâtiment de six étages détonnerait dans le paysage. «Il ne faudrait pas construire un immeuble de plus de trois ou quatre étages pour respecter la trame urbaine du Faubourg.»

«Dans un monde idéal, la Ville récupérerait le terrain et on y construirait une coopérative d’habitation. Parce que quand on regarde les besoins au centre-ville, ce ne sont pas les condos qui manquent, mais les logements abordables», ajoute M. Lefevre-Legault.

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4 condos encore à vendre dans ce projet situé sur l’avenue Belvédère où était antérieurement un stationnement.

Un billet précédent

Dans un billet récent nous parlions de ce dossier. Avec l’aide de la conseillère Anne Guérette et la collaboration de la Ville de Québec (que nous remercions), voici les images de ce qui a été présenté en 2008.

Source : Pierre-André Normandin, Le Soleil, 26 avril 2010

Réaménager les rues au goût des citoyens n’a rien de facile, comme le prouve la réfection l’été dernier d’un petit tronçon de la rue de la Tourelle dans le quartier Saint-Jean-Baptiste. (…) Le projet-pilote qui devait s’étendre à terme à tout le quartier a plutôt soulevé le mécontentement. «Il y a eu des erreurs qu’il ne faut pas répéter», tranche Chantal Gilbert, la conseillère d’Équipe Labeaume, à l’aube d’une cure de 31 millions $ sur cinq ans pour les rues et les égouts de ce secteur de la haute ville. «Les immenses bacs à fleurs, c’est beau, mais les gens ont perdu du stationnement. Et c’est souvent après coup que les gens mesurent ce que ça implique. Mais le pire en ce moment, c’est que les personnes en chaise roulante, les personnes âgées et les femmes avec leur carrosse ne peuvent plus emprunter le trottoir», poursuit Mme Gilbert.

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Une firme d’architectes de Québec viens d’émettre un communiqué par lequel elle nous informe que deux nouveaux associés se joignent à leur équipe. Toutefois, dans le document, on y indique ceci:

Les projets importants en cours de planification dans les ateliers de la firme sont :

Les Facultés des Arts visuels et des Arts de la scène à lʼUniversité dʼOttawa
La réfection majeure du Complexe scientifique de Québec
Le Musée de la terre et lʼInstitut Hubert-Reeves de Charlevoix
La reconstruction du Manège militaire de Québec
Le réaménagement des arrivées internationales de lʼAéroport de Québec
Le centre de formation hippique à lʼITA de La Pocatière.

Vous saviez ?

Selon un lecteur de Québec Urbain, les plans de la deuxième phase seraient disponibles sur le site internet de ce projet.

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