Pierre-Olivier Fortin
Le Soleil
«Le G n’est pas beau», laisse tomber le maire, Régis Labeaume. «La seule façon de régler notre problème, c’est de le faire oublier, et la seule façon de le faire oublier, c’est d’en avoir trois ou quatre autour, qui sont vraiment distinctifs, qui font en sorte qu’on voit plus le G.»
Voir aussi:
Complexe G: autrefois le symbole du progrès
Frédéric Denoncourt
Le Soleil
Une horreur architecturale, le complexe G? On peut le croire. Chose certaine pour Rejean Lemoyne, chroniqueur urbain à la radio de Radio-Canada, l’édifice maudit par certains aujourd’hui était, au moment où il a été conçu, un puissant symbole de progrès voué à sortir Québec de la grande noirceur architecturale.