Québec Urbain

L’Urbanisme de la ville de Québec en version carnet…


Archives pour la catégorie « Arrondissement Les Rivières »

Nouveau projet: Le Marc-Aurèle

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 28 août 2019 4 commentaires

Des images de la nouvelle résidence pour ainés actuellement en construction à Lebourgneuf par Groupe Patrimoine. (Merci à un très fidèle lecteur J.C. La Forge).

Le projet

Voir aussi : Arrondissement Les Rivières, Commercial.

Nouveau secteur résidentiel prévu à Lebourgneuf

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 23 août 2019 5 commentaires

Source : Jean-Michel Genois-Gagnon, Le Journal de Québec, le 23 août 2019

Un promoteur montréalais a un œil sur la capitale. Un important développement immobilier de 200 millions $ verra le jour dans Lebourgneuf, a appris Le Journal. Les travaux devraient débuter d’ici février.
«On travaille sur un projet résidentiel à usage multiple. Nous peaufinons actuellement nos plans et l’ensemble de nos produits. On peut penser à des copropriétés ou des logements», explique le cofondateur d’Habitations Trigone, Patrice St-Pierre.
Au cours des dernières semaines, le constructeur immobilier de Montréal a acheté pour 8,5 millions $ l’ancien terrain qui a hébergé durant des années le Carrefour Chrétien de la Capitale à l’intersection des boulevards Lebourgneuf et Pierre-Bertrand.

En 2017, l’établissement avait été la proie des flammes. Depuis, le terrain de 251 500 pieds carrés est vacant. À titre de comparaison, il a une différence de superficie de 50 000 pieds carrés avec l’espace qui servira pour la construction du complexe Le Phare, à Sainte-Foy.

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Le terrain en question sur Maps.

Voir aussi : Arrondissement Les Rivières, Densification, Logement locatif ou social, Résidentiel.

Un immeuble de 40 logements sur le site de la Villa Livernois

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 21 juin 2019 Commentaires fermés sur Un immeuble de 40 logements sur le site de la Villa Livernois

Marie Maude Pontbriand
Radio-Canada

Il y a de l’espoir pour la Villa Livernois. La maison patrimoniale du quartier Duberger–Les Saules pourrait être conservée si la Ville de Québec accepte les demandes de dérogations formulées par un promoteur immobilier. Les Immeubles Vivo souhaitent construire un complexe de 40 logements tout en conservant le bâtiment datant de 1905.

Les Immeubles Vivo est une entreprise immobilière fondée par Maryse Laurendeau et son conjoint Bernard Poitras, deux entrepreneurs de la région de Québec.

Ils souhaitent notamment développer les terrains de la Villa Livernois. L’offre d’achat qu’ils ont faite sur cette propriété est toutefois conditionnelle à l’avancement de certaines étapes du projet.

On ne voulait pas acheter le terrain ne sachant pas ce qu’on allait pouvoir faire avec, explique Maryse Laurendeau.

La conservation de la Villa, qui est reconnue pour sa valeur patrimoniale par la Ville de Québec, faisait notamment partie des critères pour développer le site.

Les experts consultés par le couple estiment à au moins 800 000 $ les coûts reliés à la conservation du bâtiment patrimonial.

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Voir aussi : Arrondissement Les Rivières.

Une arche urbaine à l’entrée du sentier pédestre du parc Chauveau

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 15 juin 2019 Commentaires fermés sur Une arche urbaine à l’entrée du sentier pédestre du parc Chauveau

Québec, le 11 juin 2019 – La Ville de Québec et le gouvernement du Québec ont inauguré l’œuvre d’art Entre les lignes, située à l’entrée du parc Chauveau. La création de l’artiste Luca Fortin permet une zone transition entre les espaces urbains et naturels qui bordent la rivière Saint-Charles.

« Cette arche se dresse à merveille à l’entrée du sentier pédestre : comme si soudain, la nature nous attendait derrière un passage secret, a mentionné Mme Dominique Tanguay, conseillère municipale du district Les Saules et présidente de l’arrondissement des Rivières. L’œuvre a été réalisée grâce à la bourse de mentorat en art public de Première Ovation. Ce programme permet de soutenir les artistes de la relève en leur faisant une place dans notre paysage culturel. »

« L’art public permet non seulement de rapprocher la création artistique de la nature et de l’environnement urbain, mais de la mettre directement en relation avec le citoyen. L’œuvre inaugurée aujourd’hui nous permet de découvrir un jeune artiste, elle embellit un quartier, et elle s’inscrit dans une démarche de votre gouvernement de rendre l’art accessible à tous », a souligné M. Mario Asselin, député de Vanier-Les Rivières et vice-président de la Commission de la culture et de l’éducation.

Entre les lignes accueille les marcheurs au début et à la fin de leur promenade. Pour s’avancer sur le sentier pédestre du parc Chauveau, les marcheurs doivent traverser l’œuvre, attirés par la vue de la forêt à travers le portail. Le sentier étant linéaire, ils doivent revenir sur leurs pas pour regagner la sortie, nous laissant entrevoir l’arche, tel un passage vers le monde urbain.

L’œuvre d’art est composée de deux monolithes de béton de 4 mètres de haut par 8 mètres de long. Coulés dans un coffrage fait de planches de bois récupéré, les murs portent les empreintes de leurs moules d’origine. Des colorations diffuses, des stries linéaires et des textures organiques issues des différentes essences de bois surgissent à la surface de l’installation, sortes d’écritures abstraites qui s’offrent à l’imaginaire des marcheurs. Au fil des saisons, la neige, le gel, la pluie, le soleil et les feuilles, entre autres, imprimeront d’autres patines sur le béton.

Cette œuvre a été réalisée dans le cadre de la Bourse de mentorat en art public de Première Ovation au coût de 35 000 $, dont 20 000 $ provient de l’Entente de développement culturel entre le gouvernement du Québec et la Ville de Québec et 15 000 $ provient du Conseil des arts et des lettres du Québec.

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Voir aussi : Arrondissement Les Rivières, Art urbain.

Deuxième phase des résidences Saint-Philippe – état des travaux

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 29 avril 2019 1 commentaire

La deuxième phase des résidences Saint-Philippe sera prête en mai 2020. C’est situé ici sur le boulevard de l’Ormière.

On peut apercevoir la première phase en arrière-plan.

Le site web de la Résidence Saint-Philippe phase 2.

Voir aussi : Arrondissement Les Rivières, Logement locatif ou social.

Le Groupe TAQ: 500 000 $ pour l’agrandissement de son siège social

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 11 avril 2019 Commentaires fermés sur Le Groupe TAQ: 500 000 $ pour l’agrandissement de son siège social

QUÉBEC, le 11 avril 2019 /CNW Telbec/ – Le gouvernement du Québec est fier de participer à l’expansion du Groupe TAQ, une entreprise d’économie sociale, en lui accordant 499 500 $ pour l’agrandissement de son nouveau siège social, un projet évalué à 1 million de dollars. De ce montant, 250 000 $ provient du Secrétariat à la Capitale-Nationale et 249 500 $ est versé par le ministère de l’Économie et de l’Innovation grâce au Programme d’aide aux organismes œuvrant au développement économique du Québec.

Ces sommes s’ajoutent au montant de 5,6 millions de dollars annoncé lors du dévoilement du projet de siège social, en août dernier, portant ainsi l’aide gouvernementale à près de 6,1 millions de dollars pour le bâtiment d’une valeur totale de 15 millions de dollars.

(…)

Le nouveau bâtiment de 115 000 pieds carrés permet au Groupe TAQ de rassembler ses différentes activités sous un même toit. Toutefois, la croissance de l’entreprise s’avère si importante que ses dirigeants entreprendront bientôt la phase 2 du projet, soit l’ajout de 15 000 pieds carrés à la surface actuelle.

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Le Groupe TAQ

Un reportage sur le Groupe TAQ

Voir aussi : Arrondissement Les Rivières, Geste de solidarité & communautaires, Institutionnel.

Le Groupe Dallaire souhaite revoir l’image des parcs industriels de Québec

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 26 mars 2019 2 commentaires

Jean-Michel Genois-Gagnon
Journal de Québec

Le Groupe Dallaire souhaite revoir l’image des parcs industriels de Québec, a appris Le Journal. Carottes, tomates, poivrons, piments et concombres seront cultivés sur les toits de ses édifices dans l’Espace d’innovation Chauveau.

«Je me suis posé les questions : Est-ce que je fais un parc industriel comme avant ou j’innove ? Est-ce que je veux bâtir le parc industriel de demain?» indique Michel Dallaire, président et chef de la direction du Groupe Dallaire, avouant s’être un peu inspiré du chantier de potager sur toiture à l’édifice de Revenu Québec, une propriété d’Industrielle Alliance.

C’est justement en partenariat avec l’entreprise Du toit à la table – qui a collaboré avec Industrielle Alliance – que le projet dans l’Espace d’innovation Chauveau se réalisera. Il s’agit d’une jeune pousse qui brasse des affaires dans l’agriculture urbaine.

Les travaux pour la construction des premiers édifices devraient débuter cet été. L’objectif est de démarrer la culture dès l’an prochain.

110 M$ pour la première phase

La première phase du chantier, dont la facture avoisinera les 110 millions $, prévoit la sortie de terre de huit à dix établissements sur le site de 3 millions de pieds carrés. «En plus de permettre la culture de légumes, cela nous permettra aussi lorsqu’on pense développement durable d’éliminer les îlots de chaleur», explique M. Dallaire.

«Dans la phase deux du développement, on pourrait penser à intégrer des serres. On cherche à développer le site en fonction des attentes des nouvelles générations», poursuit-il.

Selon Du toit à la table, qui sera responsable de l’entretien et de la commercialisation, les 700 000 pieds carrés disponibles permettront de produire environ 900 paniers de légumes et fruits par semaine.
Pour le promoteur, ce projet représentera une augmentation de la facture des travaux d’environ 5 %.

Parmi «les plus importants»

«Selon nos recherches, il s’agira de l’un des projets sur toitures les plus importants au monde», note le président Du toit à la table, François St-Pierre. «Le plus grand répertorié est en France (14 000 m2). Le projet du Groupe Dallaire devrait atteindre (pour la première phase) 65 000 m2.»

Par ailleurs, le Groupe Dallaire souhaite aménager sur le site des douches, des endroits pour les vélos ainsi qu’une garderie. La Ville prévoit aussi y installer une piste cyclable et des sentiers pédestres.

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Voir aussi : Arrondissement Les Rivières, Commercial.

Les pires rues de Québec: des poteaux en plein milieu des trottoirs

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 24 mars 2019 5 commentaires

Stéphanie Martin
Journal de Québec

Sur certaines rues, mieux vaut marcher la tête haute pour ne pas entrer en collision avec un poteau électrique.

On en a des exemples dans Saint-Sauveur, Saint-Jean-Baptiste et Vanier, et cela devient particulièrement problématique lors des opérations de déneigement, dénoncent en chœur les conseils de quartier.
« Les trottoirs sont peu accessibles l’hiver et encombrés de poteaux, de bornes-fontaines, et deviennent peu sécuritaires aux intersections », note Sylvain Simoneau, président du conseil de quartier de Saint-Sauveur.

Son conseil a identifié la rue Saint-Vallier comme la pire du secteur. Pour ses trottoirs inadéquats ou inexistants par endroit, mais aussi pour ses courbes, sa mauvaise visibilité aux intersections et le trafic qui y transite.

Obstacles nombreux

Dans Saint-Jean-Baptiste, « nous avons sans aucun doute les rues parmi les plus étroites de Québec et les trottoirs à l’avenant, avec plein d’obstacles entravant la marche et l’entretien hivernal », souligne Louis Dumoulin, président du conseil de quartier, qui estime que plusieurs rues ont « besoin d’amour ».
Sainte-Marie en est un bon exemple, souligne le conseil. Elle rend la tâche difficile pour les piétons avec sa pente abrupte et ses trottoirs étroits encombrés de poteaux.

Quand c’est jour de collecte des déchets, les bacs et sacs de tout acabit ajoutent des obstacles et rendent la circulation difficile.

C’est sans compter, l’hiver, que plusieurs gouttières se déversent sur les trottoirs, les rendant glissants comme des patinoires.

Plaintes

Dans Vanier, la rue Chabot subit le même sort, raconte Nicole Laveau, présidente du conseil, qui ajoute que le déneigement des trottoirs occasionne souvent des plaintes. Il arrive, à certains coins de rue, que le poteau soit carrément planté dans l’asphalte de la voie de circulation automobile, à quelques pouces du trottoir.

Avec la proximité d’écoles, cela ne facilite pas les déplacements des élèves, surtout en période hivernale, indique Mme Laveau.

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Voir aussi : Arrondissement La Cité-Limoilou, Arrondissement Les Rivières.

Les pires rues de Québec: traverser l’autoroute à pied

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 23 mars 2019 2 commentaires

Stéphanie Martin
Journal de Québec

Pour aller au nouveau carrefour commercial, les piétons de Val-Bélair doivent franchir Henri-IV.

En plein cœur de Val-Bélair, si vous êtes piéton et que vous voulez accéder au nouveau quartier commercial qui vient de pousser le long de l’avenue Industrielle, vous aurez à traverser sept voies d’autoroute en plus d’une bretelle d’accès. La présidente du conseil de quartier de Val-Bélair, Francine Dion, l’a tenté à ses risques et périls à un endroit où la circulation est très dense et où «les gens passent souvent sur la jaune orange».

Pour elle, c’est le secteur le plus dangereux du quartier. Les 10 secondes de feu piéton pour traverser la bretelle et les 35 pour traverser l’autoroute Henri-IV sont bien insuffisantes, déplore Mme Dion.

Le Journal a constaté que les automobilistes ne ralentissent effectivement pas beaucoup dans le secteur.
«L’autre jour, il y avait une madame avec une poussette prise sur le terre-plein parce qu’elle n’avait pas eu le temps de traverser. Quand il fait beau, ça va, mais pas quand le temps est à la neige ou à la pluie», lance Mme Dion.

«Plaies» urbaines
Dans Saint-Roch, plusieurs piétons se risquent aussi à traverser l’autoroute Laurentienne en raison des aménagements déficients pour leur permettre de circuler efficacement.
«Il n’y a pas de lumière pour traverser vers le parc Victoria, le stade, l’école. Les deux passerelles — amicalement appelées plaies — au-dessus de Laurentienne sont trop loin et les piétons et cyclistes préfèrent risquer leur vie à traverser au pied de l’autoroute plutôt que de faire un détour de 10 minutes à pied», raconte Véronique Chabot, présidente du conseil de quartier de Saint-Roch.
Le conseil a identifié le pied de l’autoroute Laurentienne comme le pire secteur du coin. Les citoyens sont en attente du boulevard urbain, promis depuis longtemps, mais qui ne s’est pas réalisé, souligne-t-elle.

Danger pour les piétons

Un autre problème identifié par le conseil de Saint-Roch est l’axe Mgr-Gauvreau entre le boulevard Charest et la rue Fleurie. Adossé sur l’autoroute Dufferin-Montmorency, «ce passage est utilisé par des centaines de piétons qui doivent marcher dans la rue cet hiver. Il devait d’ailleurs y avoir un trottoir depuis très longtemps, qui n’a jamais été fait», souligne Mme Chabot.

Le conseil a proposé l’installation de bollards, mais la solution n’a pas été retenue. La situation n’est guère plus reluisante dans le Vieux-Québec, sur la côte du Palais. Devant l’Hôtel-Dieu, c’est «une mer d’asphalte», et un réel danger pour les piétons, alors que se croisent plusieurs artères et où circulent énormément de camions de livraison, commente Pierre Baillargeon, vice-président du conseil de quartier.
«On a pensé à des avancées de trottoirs pour créer des traverses piétonnières plus courtes», cite-t-il.
À l’autre bout de la ville, près du spaghetti d’autoroutes qui mènent au pont, le conseil de quartier de Saint-Louis, à Sainte-Foy, pointe la route «abandonnée» qui donne accès à l’un des principaux attraits de la capitale, l’Aquarium du Québec.

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Voir aussi : Arrondissement La Cité-Limoilou, Arrondissement Les Rivières, Transport.