Au coin de la 18e rue et du boulevard Henri-Bourassa, sur le terrain du parc Mont-Thabor, une pancarte indique la venue prochaine d’une clinique médicale privée et ce pour début 2018. Étant donné l’état actuel du lieu il semblerait que le projet a été retardé pour quelques raisons. Je suis sûr qu’un de nos lecteurs en sait plus…

Un nouveau complexe médical près de l’Enfant-Jésus.

Annie Morin, Le Soleil (8 juin 2017)

La Ville de Québec a dévoilé jeudi le concept développé pour le Grand marché public en construction dans le Pavillon du commerce sur le site d’ExpoCité. Au menu: de la brique et du bois, une vaste place centrale pensée comme le centre d’un village, de grandes portes-fenêtres qui s’ouvrent sur l’extérieur, où il y aura aussi des étals.

C’est le consortium formé de Bisson et associés et de L’Atelier Pierre Thibault qui a réalisé les plans rendus publics lors d’une conférence de presse tenue à l’auberge Saint-Antoine.

Pierre Thibault, architecte vedette de Québec, a expliqué que l’intérieur du bâtiment a été conçu comme un village, avec une place centrale, une rue principale et d’autres secondaires.

La trentaine de commerces permanents seront disposés dans des «maisons» le long de la rue principale. Les quelque 80 étals des producteurs et des transformateurs agricoles seront concentrés au sud. Il y en aura à l’intérieur comme à l’extérieur, l’été surtout mais aussi l’hiver. Par beau temps, les portes-fenêtres feront disparaître la frontière entre dedans et dehors.

«On voulait avoir un peu l’impression d’être dehors. Il y a de grands puits de lumière. On est comme sur le parvis de l’église où on aura du plaisir à aller rencontrer tout le monde», a souligné le concepteur.

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L’architecture du marché public d’ExpoCité à Pierre Thibault

Les travaux pour la place Jean-Béliveau sont amorcés devant le Centre Vidéotron et bientôt deux cerfs trôneront au milieu de celle-ci. Pour sa part l’Espace K vit ses derniers moments.

Début des travaux de la place Jean-Béliveau pour cet automne

Place Jean-Béliveau

Les jours sont comptés pour l’Espace K

Source : Taïeb Moalla, Le Journal de Québec, le 15 septembre 2016

Un contrat de 1,4 million $ a été accordé à une firme de Québec, CFG Construction, pour la démolition de l’Espace K.
Ce contrat comprend également la construction de la nouvelle façade du hall du Pavillon de la jeunesse, divers travaux de structure à la toiture et des travaux d’aménagement extérieurs.
La démolition, qui coûtera en tout 2,3 millions $, aurait dû se faire à l’été 2016, mais elle ne débutera qu’en octobre pour une fin prévue en février 2017. Le retard a notamment été causé par la présence de spécificités techniques «incompréhensibles» – de l’aveu même de la Municipalité – dans un des appels d’offres initiaux.

Le terrain laissé vacant par l’Espace K sera réaménagé en stationnement et en aire piétonne, a indiqué la Ville.

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Démolition de l’Espace K

Les jours s’écoulent et la vie de l’Espace K diminue d’autant. Tant qu’à elle la passerelle au-dessus de la bretelle Soumande-Laurentienne remplit sa tâche à merveille lors d’évènements au Centre Vidéotron.

Démolition de l’Espace K

Architectes : ABCP Architecture | GLCRM | Populous

Source : Patricia Cloutier, Le Soleil, le 13 septembre 2015

(Québec) Après le spectacle de Metallica de lundi soir, qui célèbrera en quelque sorte la fin du Colisée Pepsi, l’édifice de 66 ans entrera dans une phase de dormance. La Ville de Québec dit n’avoir encore aucun échéancier de prévu pour sa démolition.

«On sait ce qu’on veut faire, mais on ne sait juste pas quand», soutient Paul-Christian Nolin, attaché de presse du maire Régis Labeaume.

Aussitôt que l’équipe technique de Metallica aura ramassé l’équipement en prévision du spectacle du 16 septembre au nouveau Centre Vidéotron, les employés de la Ville fermeront les lumières du Colisée, baisseront le chauffage au minimum et barreront les portes de l’édifice. «Il y aura une maintenance minimum de faite, mais il n’y aura plus d’employés à l’intérieur. Nous serons en attente de connaître les prochaines étapes», explique Rose-Marie Ayotte, du service des communications de la Ville de Québec.

Le maire Régis Labeaume avait déjà annoncé ses couleurs en février : il souhaite que le Colisée Pepsi soit démoli. Aucun appel d’offres n’a toutefois été publié depuis afin de connaître le montant que pourrait coûter une telle opération.

Au cabinet de la mairie, on soutient être en train de jongler avec ce qu’on doit faire en premier sur le site d’ExpoCité. Le rapport Gélinas, publié en avril, recommandait de démolir le Colisée de même que l’Espace K, et de rénover le Pavillon du commerce pour aménager un marché public. «On veut faire tout ça, mais dans quel ordre, on ne le sait pas», indique M. Nolin.

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Le Colisée Pepsi

Le nouveau. L’ancien. Et les gens qui attendent de visiter…

Centre Vidéotron à Québec le 3 septembre, 2015. (C) Francis Vachon

Source : Annie Mathieu, Le Soleil, le 16 juillet 2015

(Québec) À défaut de régler le problème du viaduc de la Canardière dans Limoilou, considéré comme le plus dangereux pour les cyclistes à Québec, la Ville de Québec a amélioré celui situé au coin de la 26e Rue et de la 4e Avenue qui chevauche la voie ferrée.

La municipalité va également ajouter des bollards sur la piste cyclable de cette dernière artère. Le lien réservé aux cyclistes est délimité pour l’instant uniquement par un marquage au sol, ce qui permet aux automobilistes d’empiéter sur le «territoire» des vélos.

Pour mettre fin à cette pratique et à la demande du conseil de quartier de Lairet, la municipalité va ajouter le mois prochain 50 bollards entre la 24e et la 41e Rue.

Quant au viaduc, l’espace réservé aux cyclistes a été élargi pour leur permettre de contourner les obstacles. La conseillère municipale de Maizerets – Lairet, Geneviève Hamelin, explique que l’aménagement le permettait, contrairement au viaduc de la Canardière, qui est un problème beaucoup plus complexe. Celui-ci sera analysé à l’occasion de la révision du plan directeur du réseau cyclable, a-t-elle ajouté.

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