Michel Hébert
Journal de Québec
Le projet du nouveau colisée caressé par le maire Labeaume coûterait au bas mot 400 millions, a appris le Journal de diverses sources, mardi.
Michel Hébert
Journal de Québec
Le projet du nouveau colisée caressé par le maire Labeaume coûterait au bas mot 400 millions, a appris le Journal de diverses sources, mardi.
Voir aussi : Arrondissement Limoilou, Commercial, Québec La cité.
Source : Frédérick Masson, Québec Hebdo, le 30 septembre 2009
Les dirigeants du Patro Roc-Amadour planchent actuellement sur un important projet d’agrandissement de l’ordre de 13,3 M$.
Selon ce qu’il a été permis d’apprendre, ledit projet inclurait l’aménagement d’un terrain de soccer-football synthétique extérieur, la construction d’une piscine intérieure de 25 mètres de longueur à laquelle s’ajouterait un bassin destinés aux enfants, de même que l’ajout d’un troisième gymnase aux deux déjà existants.Pour sa part, le Service d’entraide du Patro verrait sa superficie tripler, grâce à l’aménagement d’une cuisine collective, d’un local de psychomotricité et de six salles polyvalentes.
Au total, l’édifice passerait de 77 000 pieds carrés à quelque 124 000 pieds carrés.
La nouvelle partie occuperait la presque totalité du terrain situé à l’arrière du bâtiment. Par le fait même, les visiteurs du Colisée Pepsi qui avaient habitude de stationner leur voiture sur le terrain vague verraient le nombre d’espaces diminuer considérablement, puisque seulement 250 places seraient conservées.
Ne manquerait plus qu’un engagement ferme de la Ville de Québec, lequel ne saurait visiblement tarder, pour que le dossier suive son cours. Une demande de participation de l’ordre de 6,65 M$ serait ensuite acheminée au ministère de l’Éducation, du Loisir et du Sport.
Très bonne nouvelle, encore plus de place pour que les jeunes aient un endroit où aller et puisse faire du sport. Seul bémol la perte de stationnement qui pourra peut-être récupéré par la démolition des écuries sur le site même d’Expo-Cité.
Voir aussi : Arrondissement Limoilou, Message d'intérêt public, Qualité et milieu de vie, Québec La cité.
Voir aussi : Arrondissement Limoilou.
Source : Nicolas Bégin, Québec Hebdo, le 21 septembre 2009
Le chef de l’opposition, Anne Beaulieu, exige du maire Régis Labeaume un calendrier de fermeture progressif de l’incinérateur de Québec avant le début 2010. La population de la ville s’inquiète et exige la fin des activités dans le bâtiment de Limoilou, affirme-t-elle.
«C’est un équipement qui n’a jamais a été accepté socialement, mentionne-t-elle, rappelant au passage les émissions polluantes de 2008. On aura beau présenter à la population tous les arguments imaginables, elle ne l’accepte pas.»La Ville se retrouve en ce moment en plein cœur d’un processus de modernisation environnementale. Entre 2005 et 2011, elle aura déplié environ 60 M$ pour remettre l’équipement limoulois conforme aux normes environnementales. Selon les prévisions, l’incinérateur devrait fonctionner encore 15 ans.
«Il y a quatre lignes d’incinération, rappelle Mme Beaulieu. On pourrait les fermer une après l’autre. La fermeture en 2024, c’est un maximum. Si on peut le fermer plus tôt, c’est tant mieux.»
Anne Beaulieu reconnaît certains inconvénients à l’enfouissement. Le recyclage, la revalorisation des matières et la réduction des quantités de détritus représentent cependant des solutions pour en réduire la pratique, pense-t-elle.
«On redoute qu’on mette fin à cet objectif et qu’on l’oublie par la suite.»
Environ 300 000 tonnes d’ordures subissent le chatouillement des flammes chaque année à l’incinérateur de Québec, lequel fonctionne en ce moment à plein régime.
Déjà en janvier, un article de Québec Urbain nous faisait part de la problématique. J’ai regardé une partie de la réunion du conseil par le truchement de la télévision et les « couteaux volaient bas ». Au-delà de la foire d’empoigne, toujours est-il que ce dossier risque fort de « rebondir » après les élections et à ce moment la date butoir de 2024 deviendra l’horizon pour décider de comment disposer des déchets non-récupérables et non-biodégradables d’une communauté de plusieurs centaines de milliers d’habitants. La démolition est-elle réaliste ?
Voir aussi : Arrondissement Limoilou, Environnement, Message d'intérêt public, Qualité et milieu de vie, Québec La cité.
5 bâtisses commerciales sur la 1ère avenue qui demeurent en place malgré les changements qui s’effectue tranquillement autour d’elles. Au sud, à l’intersection du pont Drouin, un revendeur d’autos à fait place à un petit parc qui s’intègre dans la promenade aux abords de la rivière St-Charles. Plus au nord divers édifices à logements sont venus aux cours des ans remplacer les commerces qui s’y trouvaient. Que nous réserve l’avenir pour ces 5 « survivantes » ?
Voir aussi : Architecture urbaine, Arrondissement Limoilou, Commercial, Les commerces de ma ville, Photographies citadines, Québec La cité.
Source : Kathleen Frenette et Alain Rochefort, Le Journal de Québec, le 3 juillet 2009
Régis Labeaume rêve d’un parc d’attraction permanent à Québec, un peu comme La Ronde à Montréal.
«Pourquoi on aurait seulement 10 jours de manèges dans le temps d’Expo Québec? Pourquoi ce ne serait pas 4 ou 5 mois par année? Pourquoi ce ne serait pas à l’intérieur éventuellement?», questionnait M. Labeaume sur les ondes du FM 93,3, hier matin, dans le cadre des célébrations de la fête de Québec.
Selon le cabinet du maire, M. Labeaume, qui est une véritable machine à projet, aurait déjà abordé le sujet avec Six Flags, une multinationale américaine qui possède le lucratif parc d’amusement La Ronde dans la métropole.
« Le maire a effectivement rencontré une personne de la compagnie il y a quelques temps», a confirmé Paul-Christian Nolin, l’attaché de presse du maire.
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je suis un peu sans voix m’attendant à voir d’autres projets priorisés…voyons voir comment ce projet évoluera…
Voir aussi : Arrondissement Limoilou, Message d'intérêt public, Qualité et milieu de vie, Québec La cité.
Les urbainculteurs ont mis en terre ce projet dont il faut espérer avoir des photos à publier cet été ! :)
A l’ère de cet enjeu réel, leur mission mérite d’être saluée.
Pas de nourriture sans agriculture
Voir aussi : Arrondissement Limoilou, Art de vivre en ville.
Véronique Demers
Québec Hebdo
Le Regroupement de citoyens et de citoyennes de l’arrondissement Limoilou souhaite voir l’artère Henri-Bourassa se convertir boulevard urbain. Exit le camionnage lourd. Bienvenue la verdure
Voir aussi : Arrondissement Limoilou.
Source : Véronique Demers, Québec Hebdo, le 4 juin 2009
Le Regroupement de citoyenNEs de l’arrondissement Limoilou souhaite voir l’artère Henri-Bourassa se convertir boulevard urbain. Exit le camionnage lourd. Bienvenue la verdure.
Le Regroupement a fait valoir sa position le 30 mai dernier, au Cégep de Limoilou, lors de la première consultation publique du comité sur la mobilité durable, présidé par le maire Labeaume.Le porte-parole du Regroupement, Jean-Yves Desgagnés, a évoqué quatre solutions: une réduction de 6 à 4 voies de circulation, la construction de bâtiments résidentiels verts créés sur l’espace libéré, l’interdiction du camionnage lourd en transit vers le Port de Québec à partir de la sortie Henri-Bourassa sur l’autoroute de la Capitale, ainsi que la construction d’un lien direct de la zone industrielle La Canardière à l’autoroute Dufferin-Montmorency.
«Le comité nous a écoutés. C’est plus tard que l’on saura ce que ça va donner», a indiqué au Québec Express M. Desgagnés.
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çà sera certainement un plus pour les piétons qui doivent s’aventurer dans ce secteur, pour retisser la trame urbaine entre les deux secteurs d et aussi freiner les ardeurs de certains automobilistes…
Voir aussi : Arrondissement Limoilou, Message d'intérêt public, Qualité et milieu de vie.