Le site internet du projet
* Photos du promoteur
Voir aussi : Arrondissement Ste-Foy / Sillery / Cap-Rouge, Condo, Logement locatif ou social.
Ce projet n’avait pas été mis à jour depuis deux mois; je viens de prendre des clichés que je vous présente.
Voir aussi : Arrondissement Ste-Foy / Sillery / Cap-Rouge, Logement locatif ou social.
Baptiste Ricard-Châtelain
Le Soleil
Longtemps animé par les clients du Deauville, puis du duo Bâton Rouge-Burger King, le restaurant abandonné de l’intersection de l’avenue Lavigerie et du boulevard Laurier fait saliver les promoteurs immobiliers depuis des décennies. Pourtant, les restes du bâtiment maculent toujours l’entrée ouest de la capitale. Aujourd’hui, dans le cadre de notre série, faisons un arrêt près des ponts : l’ancien resto de Sainte-Foy, ils vont en faire quoi?
PEU DE TRACES DU PASSÉ
Au 3000, boulevard Laurier, il ne subsiste plus vraiment de traces de l’effervescence passée.
Le bâtiment vide est planté dans un désert asphalté. À l’extérieur, il est bariolé de quelques graffitis. À l’intérieur, les banquettes de cuirette rouge ont disparu; tout a été cureté, même le revêtement des murs et plafonds. Seule une vieille affiche oubliée du Bâton Rouge témoigne.
Depuis le départ des restaurants, les locaux ont été peu utilisés. Des promoteurs d’un autre complexe immobilier, le Quartier QB, ont néanmoins laissé des marques après leur passage en 2015. Ils s’étaient installés ici pour vendre leurs copropriétés du chemin des Quatre-Bourgeois.
Des ouvriers semblent aussi avoir logé au 3000, boulevard Laurier pendant que poussait le Complexe Jules-Dallaire, 200 mètres à l’est. À tout le moins, une copie des plans architecturaux de l’immeuble du coin de la route de l’Église prend la poussière dans le Burger King fermé.
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EN FACE D’HUMANITI
Encore cette fois, c’est une lectrice du Soleil qui a mené le journaliste vers l’immeuble délaissé.
Au cours des dernières années, on a beaucoup entendu parler du projet de Phare qui devait culminer à 65 étages dans ce quartier convoité. Celui-ci a récemment muté en Humaniti Québec : quatre tours de 31 à 53 étages, des investissements pouvant effleurer le milliard.
Mais qu’en est-il du lot d’en face où logeait jadis un Bâton Rouge? demande Danielle Brouard.
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COMINAR SE DONNE TROIS À CINQ ANS
À l’écran depuis Montréal, Jean Laramée, vice-président exécutif développement chez Cominar. L’ingénieur a fréquenté le Bâton Rouge du 3000, boulevard Laurier avant son déménagement… mais ce n’est pas pour vanter le menu qu’il a accepté de nous parler!
Le fonds immobilier est propriétaire de l’ancien resto depuis 2016. Et cultive de grandes ambitions pour le lot. «C’est un terrain qui a une position stratégique importante à l’entrée de la ville.»
Déjà, le zonage autorise une trentaine d’étages, note M. Laramée, qui cumule 35 ans d’expérience dans le domaine. C’est à peu près la même altitude que le Complexe Jules-Dallaire, pas loin.
Cominar demandera plus à la mairie. «Il n’y a rien qui nous empêche de penser que la Ville pourrait être ouverte à nous donner plus de hauteur. C’est quelque chose qu’on va explorer.» Des échanges informels ont déjà eu lieu.
Il faut dire qu’il y a de l’espace. Le terrain fait quelque 7800 mètres carrés, près de 84 000 pieds carrés.
Sans entrer dans les détails, Jean Laramée évoque la possible construction d’un grand bloc de plusieurs étages pour loger des bureaux. «Il y aurait du commercial au rez-de-chaussée, fort probablement.» Cette structure de base pourrait être surmontée de deux tours d’habitation.
Quand?
Quand Cominar révélera-t-elle précisément son plan pour le 3000, boulevard Laurier? «Ce n’est pas dans un an, et ce n’est pas dans 10 ans, c’est quelque part entre les deux. Dans un horizon de trois à cinq ans.»
D’abord, il faudra que la Ville de Québec avance la construction de son Réseau structurant de transport en commun. Un argument de vente majeur, selon lui. Les habitants et travailleurs des tours du boulevard Laurier pourront alors vivre sans voiture.
Gros voisin
Aussi, Cominar voudra ajuster ses échéanciers avec ceux de Humaniti Québec, le nouveau Phare d’en face. Histoire de ne pas mettre trop de pieds carrés en marché en même temps.
Mais Jean Laramée est «confiant» qu’il y aura des citoyens pour acheter. Et des entreprises pour louer; après la pandémie, les travailleurs reviendront au bureau, prédit-il.
En attendant un projet plus défini, toutefois, le restaurant abandonné restera tel quel. D’abord parce qu’il est mal en point, donc difficilement utilisable. Aussi parce que, pour avoir les coudées franches, Cominar ne veut pas signer à long terme avec un locataire.
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LA VISION DE LA VILLE
La Ville de Québec voit gros et haut pour les terrains sous-occupés de l’intersection de l’avenue Lavigerie et du boulevard Laurier.
Dans le Programme particulier d’urbanisme du plateau centre de Sainte-Foy, l’administration énonce clairement son souhait de densifier l’entrée ouest de la cité. Le croisement de l’avenue Lavigerie est nommément classé parmi les terrains dont la requalification est prioritaire.
«Ce terrain a un bon potentiel de développement et a été identifié comme pouvant permettre des hauteurs accrues», remarque la conseillère en communication de la Ville, Audrey Perrault. «Une grande variété d’usages y est aussi autorisée (résidentiel, de bureaux et de commerces, public).»
Le zonage permet déjà près de 100 mètres de haut. Il exige, pour l’instant, que tout ce qui est construit au-dessus du 17e étage soit occupé par des logements.
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DES PROJETS, ENCORE DES PROJETS
Le terrain du 3000, boulevard Laurier fait rêver les développeurs depuis des décennies.
Le 27 février 1990, par exemple, Le Soleil titrait : «Le restaurant Le Deauville sera démoli». Deux tours de bureaux devaient pousser «bientôt». Il était question d’un investissement de 30 millions $.
Deux ans plus tard, votre quotidien préféré rectifiait : le projet était tombé à l’eau, le resto continuait ses activités.
En 1998, il était plutôt question d’un hôtel. Autre projet mort-né.
Par la suite, de nouveaux restaurants se sont installés en lieu et place du Deauville.
Assureurs
Nous nous retrouvons en 2010. SSQ Groupe Financier vient de payer 6 millions pour acheter le terrain où logent maintenant un Burger King et un Bâton Rouge.
La SSQ envisageait l’érection de bureaux sur 17 étages, voire 25 étages, entre autres pour y regrouper ses employés dispersés. Un plan de quelque 50 millions $.
Finalement, l’assureur a choisi de concentrer ses activités plus à l’est, dans trois bâtiments du croisement de l’autoroute Robert-Bourassa et du boulevard Laurier.
Cominar
Fin 2016, Cominar a racheté le lot pour 14,6 millions $. Michel Dallaire, qui dirigeait encore le fonds de placement, racontait au Soleil que deux immeubles de 30 étages pourraient apparaître ici. Mais ce serait après la construction du Phare sur l’autre versant de l’avenue Lavigerie.
En décembre 2016, l’entreprise avait néanmoins obtenu un permis de démolition pour éliminer le Bâton Rouge-Burger King, indique au Soleil la conseillère en communication de la Ville, Audrey Perreault. Des inspecteurs ont cependant constaté en août 2017 et janvier 2018 que Cominar n’avait pas rasé la propriété. Le permis a été annulé, mais aucune amende n’a été donnée puisque l’état des lieux inoccupés respecte la réglementation.
En février 2018, Michel Dallaire a quitté l’entreprise pour se consacrer aux affaires du Groupe Dallaire. Cominar a conservé le 3000, boulevard Laurier.
Au rôle municipal d’évaluation, le 3000, boulevard Laurier est inscrit à 8,14 millions $.
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RACONTE-MOI LE RESTO
Nous sommes en 1973. L’homme d’affaires Yves Cloutier ouvre Le Deauville au 3000, boulevard Laurier. «Pendant 20 ans, Le Deauville demeurera le plus fréquenté de Québec, surtout par les hommes d’affaires de la région», lit-on dans un article flatteur publié en 1999 dans Le Soleil.
Durant la décennie 90, M. Cloutier a vendu l’établissement situé près des ponts à un autre restaurateur. Au fil des années suivantes, quelques projets immobiliers ont été évoqués, notamment un hôtel. Mais les transactions ont échoué.
En 1999, Le Deauville ferme pour être remplacé par un Burger King.
L’année d’après, une enseigne fondée à Laval en 1992 apparaît à ses côtés. Des restaurateurs actifs surtout dans l’est du Québec (Marketex/Groupe D Resto) ouvrent ainsi leur premier Bâton Rouge de la région. En 2008, ils en ont construit un deuxième dans le secteur des Galeries de la Capitale.
Celui du boulevard Laurier a déménagé au printemps 2016 à Place Sainte-Foy.
Le groupe d’investisseurs de D Resto se targue aujourd’hui d’opérer 26 restaurants dont des Mikes, des Scores ainsi que des La Belle et La Boeuf.
Franchises
Jusqu’en 2018, la marque Bâton Rouge faisait partie du portefeuille de 252 restaurants du franchiseur montréalais Imvescor, tout comme les enseignes Ben & Florentine, Scores, Mikes et Pizza Delight. Cette année-là, le géant MTY a cependant racheté l’entreprise pour 248 millions $. Le groupe établi au Québec compterait maintenant plus de 7000 restaurants sous 80 bannières.
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LE BOULEVARD LAURIER ET LE PONT DE QUÉBEC
Boulevard Laurier comme dans sir Wilfrid Laurier, septième premier ministre du Canada, né à Saint-Lin en 1841. Avocat et journaliste, il a été le premier francophone à diriger le gouvernement post-Confédération.
«Laurier a puissamment contribué au développement du Canada, notamment par la création des provinces de l’Alberta et de la Saskatchewan en 1905, par son rôle dans l’expansion du chemin de fer dans l’Ouest et par la construction de la section de la voie ferrée reliant Québec à Winnipeg», dixit la Commission de toponymie du Québec.
Dans son recueil toponymique, la Ville de Québec souligne qu’il était dans la capitale en octobre 1900, aux côtés du maire Simon-Napoléon Parent — aussi connu comme premier ministre québécois — pour poser la pierre angulaire du pont de Québec.
Battu aux élections de 1911, il est demeuré à la tête de l’opposition jusqu’à son décès en 1919, à 78 ans.
Dans le secteur des plaines d’Abraham, il «possède» également une avenue.
Allonger Grande Allée
Le boulevard Laurier a été aménagé durant les années 1940 afin de prolonger la Grande Allée vers le pont. «À Sillery, le boulevard a pris le nom de Laurier vers 1946. À Sainte-Foy, le toponyme a été adopté officiellement le 4 mai 1950», apprend-on dans cette fiche.
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AVENUE LAVIGERIE
Ici, la référence est toute religieuse. L’avenue a ainsi été baptisée puisqu’elle est située à proximité de l’ancien domaine Ravenswood que possédaient les Pères blancs sur le chemin Saint-Louis.
Charles Martial Lavigerie (1825-1892) est réputé avoir fondé la Société des missionnaires d’Afrique, ou Pères Blancs, en 1868. L’année suivante, il a mis sur pied une version féminine : les Sœurs missionnaires de Notre-Dame d’Afrique.
Français, il a été «professeur d’histoire ecclésiastique à la Sorbonne (1854-1856), directeur des œuvres des Écoles d’Orient en Syrie, est nommé évêque de Nancy (1863) puis archevêque d’Alger (1867)», résume la Commission de toponymie du Québec.
«Chef de l’Église d’Afrique, cardinal (1882), il devient également administrateur apostolique de la Tunisie (1884), après l’établissement du protectorat français dans ce pays, sans cesser de poursuivre son œuvre missionnaire et sa lutte contre l’esclavagisme.»
Voir aussi : Arrondissement Ste-Foy / Sillery / Cap-Rouge, Commercial, Condo, Densification, Logement locatif ou social.
Source : Baptiste Ricard-Châtelain, Le Soleil, le 1 mars 2021
Le paysage va changer. Où? Au boisé de Marly, un des derniers vestiges de la forêt qui couvrait jadis le quartier de la Pointe-de-Sainte-Foy. Quelque 830 arbres y seront abattus d’ici l’automne. Une lectrice du Soleil inquiète nous a recommandé de regarder en direction de ce boisé entourant l’édifice de Revenu Québec de la rue de Marly. Des émondeurs sont au travail, nous a-t-elle écrit. Et leur tâche semble colossale, puisque de très nombreux arbres portent des marques de peinture orangée, signe qu’ils seront tronçonnés. L’amie du Soleil craint que le parc urbain soit irrémédiablement charcuté, craint que la faune en pâtisse.
Nous les avons cherchés pendant un bout de temps, les émondeurs. Et cherché pour qui ils travaillent.
Voir aussi : Arbres, Arrondissement Ste-Foy / Sillery / Cap-Rouge, Environnement.
Jean-François Nadeau
Radio-Canada
La nouvelle école secondaire anglophone de la Commission scolaire Central Quebec sera construite sur les terrains excédentaires de la Défense nationale, le long du boulevard Hochelaga à Sainte-Foy.
Le ministre de la Défense, Harjit S. Sajjan, a annoncé mardi les plans pour la vente d’une parcelle de terrain à la province de Québec.
Près d’un hectare du terrain ira au ministère de l’Éducation et de l’Enseignement supérieur pour la construction de cette nouvelle école.
La Commission scolaire Central Quebec projette de fusionner les écoles secondaires Saint-Patrick et Québec High school dans un immeuble plus grand et plus moderne.
Les dirigeants étaient à la recherche d’un terrain pour pouvoir réaliser le projet.
Le transfert du terrain de la Défense nationale au gouvernement du Québec est prévu au printemps 2022.
Les consultations se poursuivent avec toutes les parties intéressées concernant le reste des terrains excédentaires du secteur, soit environ 11 hectares.
Le point sur l’avenir du terrain de la Défense de Sainte-Foy à Québec
Voir aussi : Arrondissement Ste-Foy / Sillery / Cap-Rouge, Institutionnel.
Stéphanie Martin
Journal de Québec
Sans entente rapide sur le tramway, le mégaprojet HUMANITI, sur l’emplacement du défunt Phare, est en péril, prévient le promoteur. Le PDG de Cogir, Mathieu Duguay, est « très inquiet » des tergiversations au sujet du tramway.
« On ne peut pas attendre plus que quelques mois avant que ces choses-là se règlent. C’est sûr que je n’avance pas d’un pouce de plus sur ce projet-là. Quand la confirmation va arriver, est-ce qu’on va être encore là ? Je ne peux pas vous répondre. »
La mésentente entre le gouvernement et la Ville de Québec est arrivée comme « une grande surprise » pour M. Duguay, et est « très anxiogène ».
Car dans son offre d’achat à Michel Dallaire, la condition à la construction du complexe immobilier à la tête des ponts est le passage du tramway à proximité, dit-il. Sans entente et confirmation du projet de réseau structurant, il ne peut garantir qu’il ira de l’avant avec le projet HUMANITI.
Celui-ci est d’une valeur de 1 milliard $ et comprend quatre tours, variant de 31 à 53 étages qui abriteront deux hôtels, des bureaux, des commerces, des condos et des appartements pour 2400 résidents.
L’absence d’échéancier inquiète M. Duguay. Et il n’est pas le seul.
« Il ne semble pas y avoir de volonté de régler rapidement. J’invite les parties à clarifier les intentions rapidement. Je peux parler au nom des promoteurs immobiliers qui tablent sur des projets autour du réseau. Il faut qu’on sache quand une décision se prendra. L’argent est frileux. Si ça traîne comme ça, on va être obligé d’aller ailleurs. »
Il souhaite que le point de vue des promoteurs, qui ont besoin de « clarté », soit entendu. Il répète que son entreprise veut participer à la relance économique.
Il n’est pas rassuré par le discours du gouvernement qui affirme que les fonds pour le projet sont réservés jusqu’en 2023.
« Pour moi, deux ans, c’est une éternité. » Le projet nécessite tellement d’investissement financier et de ressources qu’on ne peut planifier sans certitude, explique-t-il.
La situation est déplorable, selon lui, d’autant plus que le projet venait d’obtenir toutes les autorisations réglementaires municipales pour la construction, « sans opposition ».
Mathieu Duguay espère maintenant un « rapprochement » entre la Ville et le gouvernement Legault et de la « bonne volonté » de part et d’autre pour dénouer l’impasse.
Un billet précédent en novembre 2020
Voir aussi : Arrondissement Ste-Foy / Sillery / Cap-Rouge, Projet - Humaniti.
Jean-Michel Genois Gagnon
Journal de Québec
Un nouveau complexe immobilier de 35 millions $ verra le jour sur le chemin des Quatre-Bourgeois, à Sainte-Foy. Le promoteur Douville, Moffet & Associés prévoit construire un édifice de 240 unités résidentielles.
Les travaux pour l’immeuble de six étages sont entamés depuis l’été dernier. Les premiers locataires devraient pouvoir y aménager en juillet 2022.
En raison des impacts de la COVID-19, le directeur de projets chez Douville, Moffet & Associés, François Moffet, concède que certains ajustements ont été effectués dans les plans de l’immeuble afin de les adapter au nouveau mode de vie des gens ainsi qu’aux nouveaux standards sanitaires.
« Les gens sont plus à la maison. Nous avons prévu des appartements un peu plus grands et plus conviviaux. Il y a aussi plus d’espaces isolés pour des bulles familiales », avance au Journal M. Moffet. « Je ne pensais jamais faire cela dans ma vie, mais nous allons également installer un lavabo dans l’entrée pour que les personnes puissent se laver les mains », poursuit-il.
50 ans et plus
Les prix varieront de 1000 $ par mois pour un studio à 2500 $ pour un appartement avec trois chambres. L’électricité et le chauffage seront inclus. Certaines unités occuperont une superficie sur deux étages, indique le promoteur, qui parle « d’appartements spacieux avec finis haut de gamme ».
« On vise les gens qui vont vendre leur bungalow, soit une clientèle un petit peu plus âgée, d’environ 50 ans et plus. Notre objectif n’est toutefois pas de venir concurrencer les résidences pour personnes âgées », note M. Moffet, précisant que les plus jeunes seront aussi les bienvenus.
Le projet immobilier baptisé Le Wow inclura des salles de séjour, un stationnement souterrain, un boudoir, une piscine, un gymnase et des cours intérieures. Les animaux de moins de 20 livres seront permis.
Ce nouveau complexe verra le jour au 2595 chemin des Quatre-Bourgeois où se situait l’ancienne maison de retraite des Frères des Écoles chrétiennes.
Douville, Moffet & Associés avait déboursé 5,5 millions $ pour acheter l’immeuble, aujourd’hui détruit, et le terrain en 2018.
La firme Douville, Moffet & Associés, qui possède 1200 appartements dans la région, affirme avoir d’autres projets immobiliers dans les plans pour cette année à Québec ainsi que du côté d’Ottawa. Mais motus et bouche cousue sur les prochains chantiers pour le moment.
Par le passé, le promoteur immobilier de Québec a notamment piloté les projets résidentiels La Suite ainsi que le Quartier QB, à Sainte-Foy.
Voir aussi : Arrondissement Ste-Foy / Sillery / Cap-Rouge, Logement locatif ou social.
Source : Jean Michel Genois Gagnon, Journal de Québec, le 9 février 2021
Le Phare n’étant plus dans ses plans, le Groupe Dallaire prévoit maintenant entamer la construction de deux nouvelles tours d’une vingtaine d’étages sur le boulevard Laurier d’ici la fin 2022. Un projet d’environ 200 millions $.
Ces nouvelles constructions seront réalisées sur les anciens terrains de l’Ozone Hôtel Bar et du restaurant Batifol. Le groupe immobilier avait déboursé 11 M$ pour acheter ce site de 100 000 pieds carrés en 2014.
Voir aussi : Arrondissement Ste-Foy / Sillery / Cap-Rouge.
Source : Jean-Luc Lavallée, Le Journal de Québec, le 8 février 2021
La Ville de Québec veut aménager un centre communautaire de 10 M$ sur les terrains de l’ancienne usine Anacolor, à Cap-Rouge, mais elle n’exclut pas non plus une portion résidentielle.
L’administration Labeaume n’a pas encore fait son nid sur un potentiel ensemble résidentiel sur les immenses terrains disponibles, mais, chose certaine, elle a déjà statué sur la construction d’un centre communautaire flambant neuf au cœur du site, a appris Le Journal.
Voir aussi : Arrondissement Ste-Foy / Sillery / Cap-Rouge.
Les tours 4 et 5 de ce gros projet sont pratiquement terminés et cela correspond à la date de livraison de cette partie qui est indiquée pour être «février 21021».
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