Pour 2011, le bulletin municipal comportera deux nouveautés. Tout d’abord une nouvelle chronique du maire de Québec, monsieur Régis Labeaume, qui entame un nouveau dialogue avec la population par le truchement de cette publication.

Le bulletin

Source : Samuel Auger, Le Soleil, le 6 février 2011

(Québec) Les feux clignotants d’après-tempête ne suivent plus le rythme. La Ville de Québec opte désormais pour Internet et les messages textes pour avertir les citoyens du centre-ville d’une opération déneigement à la vitesse de l’éclair. Mais les feux orange – vieillissants – traînent la patte et entretiennent la confusion pour les travailleurs de soir. Un décalage numérique que compte régler la capitale dès 2012, a appris Le Soleil.

Des milliers d’automobilistes les observent attentivement du coin de l’oeil. Les lendemains de tempête, les feux clignotants orange annoncent que les résidants doivent évacuer leur véhicule des artères des arrondissements centraux de Québec.

La Ville de Québec a ajouté ces dernières années des voies alternatives pour prendre connaissance des opérations déneigement. Une ligne téléphonique est accessible (418 641-6666), le site Web est mis à jour à 7h et 16h, et les détenteurs de téléphone cellulaire intéressés reçoivent une alerte SMS avant 16h.

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Opérations déneigement.

Les nouvelles méthodes d’avertissement vous sont-elles utiles jusqu’à date ? Ou vous faisiez toujours confiance à ces fameux feux clignotants ?

La Ville de Québec invite tous les citoyens à participer à un nouveau concours. En complétant en quelques mots la phrase J’aime Québec parce que… ils pourront exprimer leur attachement à la ville de Québec et courir ainsi la chance de gagner un laissez-passer VIP pour plusieurs activités culturelles organisées par la Ville et ses partenaires.

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Le Soleil

(Québec) Trop peu de maisons se sont retrouvées sur le marché de la revente en 2010, forçant les jeunes familles à se tourner vers la périphérie pour faire construire, analyse la Société canadienne d’hypothèques et de logement (SCHL). (…) , la valeur moyenne de revente a continué à grimper en flèche pour atteindre 12 %, la deuxième plus forte hausse dans tout le pays, derrière Vancouver. Depuis cinq ans, les propriétés de Québec ont gagné 55 % de valeur.

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Le Soleil

(Québec) Les citoyens de Québec devront puiser un peu plus dans leur portefeuille en 2011 quand viendra le temps de recevoir certains services de la Ville. Et oubliez l’inflation : certains tarifs passent du simple au double, tandis que d’autres triplent carrément.

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Annie Saint-Pierre
Journal de Québec

Pour la première fois en 10 ans, la ville de Québec est victime d’un exode de sa population puisqu’elle a perdu plus de résidants qu’elle n’en a attiré, et c’est la banlieue qui en profite.

C’est ce qui se dégage d’une analyse des données de l’Institut de la statistique du Québec (ISQ) portant sur les soldes migratoires des régions du Québec entre le 1er juillet 2009 et le 30 juin 2010. L’étude a été publiée hier. Si, à l’échelle plus large, la grande région de la Capitale-Nationale se tire mieux d’affaire que la région de Montréal, c’est loin d’être le cas pour la ville de Québec, qui a assisté au départ de 18 233 personnes pendant cette période.

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L’exode des Montréalais vers la banlieue s’accentue Rue Frontenac (Marilou Séguin)

*Merci à un lecteur (André Bernatchez)

Isabelle Porter
Le Devoir

Québec — Aussi séduisants soient-ils, les grands projets d’écoquartiers du maire Labeaume se butent à toutes sortes de résistances dans le milieu immobilier. À Québec, beaucoup hésitent à se lancer dans l’aventure. (…) Sur les dix, seulement trois envisagent de soumettre une offre à la Ville: Logisbourg, Allégro et l’Industrielle Alliance. Les sept autres ne sont tout simplement pas intéressés. C’est le cas par exemple de Patrick Gilbert, de Gilbert Immobilier. «Au départ, je trouvais ça intéressant et ça me disait de travailler là-dessus, mais les attentes étaient élevées et nous avons déjà un autre projet qui demande beaucoup de temps.»

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Vicky Lapointe
Patrimoine, Histoire et multimédia

»Entre 1885 et 1889, David Ross McCord (1844-1930) a commandé à l’artiste Henry Richard S. Bunnett (1845-1910) plus de 200 tableaux à l’huile représentant des édifices, des vues et des lieux qui étaient situés un peu partout dans la province et qu’il jugeait d’une importance historique. » (…) En voici quelques-uns qui nous montrent la ville de Québec. On y voit l’Anse au Foulon, le Séminaire et des vues panoramiques exécutées depuis la tourelle de la prison de Québec.

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Source : Le Soleil, le 22 janvier 2011

(Québec) Les patineurs expérimentés s’en rappellent encore. Quelques coups de lames sur la rivière Saint-Charles, lieu enchanteur pour les patineurs urbains dans les années 70. Le Carnaval de Québec y a même tenu plusieurs activités officielles. La Ville de Québec n’a toutefois pas l’intention d’autoriser de nouveau la glisse sur sa rivière urbaine.

«Les gens s’en rappellent, mais ça a été abandonné pour de nombreuses raisons, dont la sécurité», rappelle Gérome Deschamps, président de la Société de la rivière Saint-Charles. L’association gère le sentier glacé aménagé près de la rivière, un attrait qui attire environ 100 000 personnes par hiver. «Les gens sont très contents de l’aménagement du sentier de la Pointe-aux-Lièvres. C’est sûr que ce n’est pas la rivière, mais avec les hivers plus courts que l’on connaît et la qualité de la glace inégale, je ne suis pas sûr que ce serait intéressant de faire un retour sur la Saint-Charles.»

Québec a déjà rêvé d’imiter avec la rivière Saint-Charles le succès du canal Rideau à Ottawa. Dans la capitale fédérale, le cours d’eau gelé de 7,8 km est devenu une attraction touristique incontournable par temps froid. «Ici, nous n’avons pas de contrôle sur le niveau d’eau, contrairement au canal Rideau», nuance M. Deschamps. «Ça n’empêche pas qu’il pourrait y avoir des activités ponctuelles sur la Saint-Charles.»

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Sortirez-vous vos patins aujourd’hui et demain ?

Ajout :
Merci à M. Léonce Naud pour cette photo

François Cattapan
Journal Habitation

L’année 2010 marque l’atteinte d’un plateau pour le marché de la revente résidentielle dans la région de Québec. À la lueur du bilan qu’elle trace, la direction de la Chambre immobilière de Québec (CIQ) anticipe que le nombre de transactions se situera autour de 10 000 au cours des prochaines années, tandis que le prix moyen devrait continuer de grimper, mais plus modestement qu’au cours de la deuxième moitié des années 2000. (…) «Le prix moyen des propriétés résidentielles a connu une hausse de 48 % depuis les 20 dernières années. Cela peut paraître énorme, toutefois en considérant une base annualisée, on obtient ratio de 2,4 % par an. Une évolution très similaire au taux d’inflation.

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