Source: Stéphanie Bois-Houde, Le Soleil, 3 octobre 2007.

«Qu’est-ce qu’il y a au menu aujourd’hui, ma belle?» lance à une serveuse bouche bée un client au regard lourd de sous-entendus. «Eh oh, y a-t-il quelqu’un dans ta petite tête de serveur?» invective un autre, rendu furieux par une erreur de commande. Ce sont là deux malheureux exemples qui prouvent que la politesse au restaurant est une vertu malmenée, même en 2007. (…)

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Image saisie hier soir « en face de la Gare, alors que des jeunes venaient de vider une bouteille de bain moussant dans la fontaine. »…

Merci à Denis L. pour sa collaboration! À consulter aussi, ce billet.

Canoë Geneviève Riel-Roberge
14/08/2007

« C’est au 350, 5e rue à Limoilou que se trouve la coopérative d’habitation Les Pénates où a été lancé, il y a quatre ans, le projet Des jardins sur les toits. Déjà existant à Montréal, ce concept permet aux cinquante résidants de cultiver leur petit coin de jardin en pleine ville. Une oasis de fraîcheur tout ce qu’il y a de plus convivial (…) »

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Le sujet est revenu récemment sur le tapis dans Québec Urbain: en voici en exemple parmi tant d’autres, hélas, croqué sur la rue Lavigueur au départ du sentier menant à la Basse-Ville.

Les graffitis ont récemment fait l’objet de ce dossier dans La Presse: Montréal, aux prises comme Québec avec un fléau pas évident à contrôler. Un « moyen d’expression perçu comme une véritable tare par une majorité de citoyens »…

À consulter aussi, ce billet.

Plutôt que de « pogner les nerfs », ce bref, mais sincère commentaire bien personnel: bon succès, M. Nasranee! La bêtise humaine a décidément fait l’objet de nombreuses interventions sur Québec Urbain, ces derniers jours…

Source: Marc Allard, Le Soleil, 6 août 2007.

Ahmad Nasranee en a eu assez des clients qui annulaient leur réservation parce qu’un soldat canadien venait de mourir en Afghanistan et des quidams qui se stationnaient devant la terrasse pour traiter ses employés de terroristes. (…)

Depuis l’ouverture, cependant, environ quatre clients par mois annulent leur réservation quand un soldat canadien est tué en Afghanistan.

« Les réservations, ce n’est pas trop grave. Mais quand j’avais des clients assis sur la terrasse et qu’il y a un malade qui passait devant et qui disait “Crissez le camp, quittez le Québec, c’est pas votre place, maudits terroristes !â€?, je me sentais vraiment mal », dit-il. (…)

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Le Devoir
Isabelle Porter
Édition du samedi 14 et du dimanche 15 juillet 2007

Macadam РQu̩bec sur plage, quand on aime le fleuve

Québec — À Québec, le fleuve est un prince qu’on s’est habitué à admirer de loin. Séparé de nous par des autoroutes, des usines et les installations portuaires, il avait fini par nous faire oublier à quel point sa fréquentation est agréable. Jusqu’à ce que les célébrations du 400e servent de prétexte à d’heureuses retrouvailles.

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Cet événement n’a peut-être pas eu beaucoup d’échos dans les médias, mais il a touché bien des gens qui comme nous, Gérald Gobeil (photo) ou ce lecteur du Devoir, ont été les témoins des comportements de ceux ou de celles que je me plais décidément à nommer « les colons du Québec profond »…

Des vandales au festival! (Pierre J. Boucher, Le Devoir, 8 juillet 2007.)

Pensez-vous que certains politiciens sont les meilleurs «péteux de broue»? Si vous étiez à la fontaine de Tourny en face du Parlement de Québec samedi soir, vous savez qu’il y a pire. La fontaine débordait généreusement de bulles, oeuvre d’un mauvais farceur. Comme beaucoup, j’ai immortalisé la scène avec mon appareil photo. Je suis aussi maniaque du Kodak que n’importe quel Japonais. Ce n’est pas la première fois que cela se produit dans les bassins publics. Décidément, il y en a qui ne vieillissent jamais, éternels pré-ados sans jugement et immatures. (…)

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Coloré portrait d’un quartier que j’habite fièrement depuis déjà 15 ans!

Source: David Desjardins, Voir (Québec), 28 juin 2007.

Je suis arrivé chez elle sans trop m’annoncer. Tout s’est joué dans les petites annonces, s’est négocié rapidement, dans l’urgence. Étrangement, j’ai eu l’impression que c’était elle qui me cherchait, qui m’a trouvé. Qu’en réalité, je n’ai jamais eu d’autre choix que de venir m’y installer.

Aurais-je répondu à son chant comme à celui d’une sirène?

Quand je me suis pointé avec mon barda, chose certaine, elle m’attendait. Et là, après seulement quelques semaines, c’est sûr, elle me tient dans sa main, sous le joug d’un charme prolétaire, suranné.

Je m’en rends compte aujourd’hui, Limoilou n’est pas mon nouveau quartier. Limoilou est bien plus que ça. Limoilou, c’est quelqu’un. Limoilou, c’est une femme. (…)

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Cette année encore, le concours Les Mérites d’architecture de la Ville de Québec vient souligner les efforts consentis par les personnes, les entreprises et les professionnels qui, dans le domaine de la construction et de la préservation de bâtiments, ont le souci de faire de belles réussites architecturales.

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Source: Justice Québec, juin 2007.

Il faut accepter les inconvénients inhérents à la vie en société. Mais cette tolérance a des limites. En effet, on n’a pas à subir un préjudice causé par la mauvaise foi d’un voisin ou une maladresse de sa part. D’ailleurs, le Code civil établit des règles de comportement assurant le maintien de bonnes relations entre voisins.

Les détails. Voir aussi ce billet.