Québec Urbain

L’Urbanisme de la ville de Québec en version carnet…


Archives pour la catégorie « Art urbain »

Projet de monument Québec Émotion

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 18 février 2016 5 commentaires

Voici le vidéo. Le site web vous explique le projet, mais croule présentement sous le traffic.

Le projet Québec Émotion est une initiative d’un groupe de citoyens démontrant attachement et fierté à son patrimoine en offrant à la ville de Québec, un monument à lettres géantes qui assurera le rayonnement planétaire de l’image de la ville. Évoquant littéralement le nom de la ville, le choix des couleurs rappelle son allégeance francophone. Le «bec» de couleur distinctive, souligne l’aspect convivial et attachant de l’endroit. Le tout, combiné à un symbole internationalement reconnu, suscitera chez les citoyens ou les visiteurs, le sentiment d’appartenance à la communauté souriante qui y réside ou qui la découvre. Le pictogramme représentant le sourire, possède l’immense avantage d’être reconnu dans toutes les langues et utilisé dans toutes les communications écrites, ou il est approprié de souligner le ton positif du message.

Voir aussi : Art urbain.

Parcours lumineux sur la rue Saint-Joseph

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 26 novembre 2015 Commentaires fermés sur Parcours lumineux sur la rue Saint-Joseph

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Source : Valérie Gaudreau, Le Soleil (24 novembre 2015)

Après une année dans l’ombre, la lumière revient sur la rue Saint-Joseph pour célébrer le temps des Fêtes. La Ville de Québec verse 215 000 $ à la Société de développement commercial (SDC) Saint-Roch pour l’événement Parcours lumineux.

Conçu pour la période des Fêtes, ce parcours entre les rues Caron et Saint-Dominique sera composé de 12 000 lumières DEL installées sur les lampadaires.

Les ampoules réagiront au passage des piétons pour créer des mouvements, comme on a pu le voir mardi dans un extrait vidéo de la firme Black Out Design.

Une autre phase du Parcours lumineux consiste en des projections sur la bibliothèque Gabrielle-Roy et sur l’hôtel PUR conçues par l’entreprise Ombrage.

L’article

Voir aussi : Arrondissement La Cité - St-Roch, Art urbain, Fêtes populaires et événements publics, Message d'intérêt public.

Les Attracteurs sont arrivés

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 15 novembre 2015 1 commentaire

Source : Patricia Cloutier, Le Soleil, le 15 novembre 2015

(Québec) Après deux mois d’installation, l’oeuvre d’art public Les attracteurs est achevée dans le quartier Saint-Roch. L’artiste André Du Bois a voulu faire l’«éloge de la différence» avec ses 36 sculptures de bronze qui se ressemblent, mais qui sont à la fois toutes des pièces uniques.

Disséminées en groupe de trois ou quatre dans le parc de l’Université-du-Québec et sur le parvis de l’église Saint-Roch, les sculptures visent à donner une «signature technoculturelle» au quartier, tel que le souhaitait la Ville de Québec. Discrètes, 17 d’entre elles s’animent en son et lumière, mais seulement lorsqu’un détecteur de mouvement voit passer un piéton tout près.

Les lumières DEL qui sont incrustées à l’intérieur ne sont pas aveuglantes et les sons, tous différents les uns des autres, ne forment pas une trame musicale. Ce sont plutôt des sons d’ambiance.

M. Du Bois souhaite que les passants «s’amusent à se mettre à trois ou quatre pour déclencher plusieurs sculptures en même temps et entendre les sons qui vont se superposer», explique-t-il en entrevue.

Une trentaine de personnes ont travaillé à la réalisation du projet, dont une équipe de l’Atelier du bronze d’Inverness. «On a travaillé à partir de moules, mais dans l’assemblage des structures, il y a quelque chose de différent pour chacune», explique M. Du Bois.

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Art urbain : Les attracteurs bientôt dans Saint-Roch?

Voir aussi : Arrondissement La Cité - St-Roch, Art urbain.

Place Jean-Béliveau : le portrait se précise

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 3 novembre 2015 Commentaires fermés sur Place Jean-Béliveau : le portrait se précise

Source : Annie Morin, Le Soleil, le 3 novembre 2015

(Québec) Patinoire sans bandes et sentiers glacés, promenade traversant le site d’ExpoCité d’est en ouest, parvis de béton devant le Centre Vidéotron et espaces-terrasses devant les pavillons du Commerce et de la Jeunesse. La place Jean-Béliveau prend forme, du moins sur papier.
La Ville de Québec a dévoilé son concept d’aménagement pour la grande place publique de presque 15 000 mètres carrés promise devant le nouvel amphithéâtre. Il se trouve dans un cahier des charges préparé à l’intention des professionnels en architecture de paysage et en ingénierie que la Ville cherche à recruter. L’équipe retenue devra détailler le concept, en estimer les coûts et «le rationaliser au besoin». Elle surveillera également la première phase des travaux, devant être complétée pour septembre 2017.

Avant même que l’amphithéâtre ne lève de terre, il était question d’une patinoire extérieure pour animer les lieux en hiver. L’idée est reprise officiellement dans les documents d’appel d’offres publiés vendredi. La «surface de patinage libre sans bande sera installée sur une partie de la place et dans les sentiers du parc public», peut-on lire.

«La glace sera fabriquée de façon traditionnelle en arrosant les surfaces existantes, ou encore, elle sera installée sur un tapis réfrigérant amovible.» Les deux options doivent être étudiées.

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Cinq finalistes pour l’oeuvre d’art de la place Jean-Béliveau

Voir aussi : Amphithéâtre, Arrondissement La Cité-Limoilou, Art urbain, Centre Vidéotron.

Cinq finalistes pour l’oeuvre d’art de la place Jean-Béliveau

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 23 octobre 2015 Commentaires fermés sur Cinq finalistes pour l’oeuvre d’art de la place Jean-Béliveau

Source : Baptiste Richard-Châtelain, Le Soleil, le 23 octobre 2015

(Québec) Ça y est, ils ne sont plus que cinq sur les blocs de départ pour remporter le plus important contrat de l’histoire du programme du 1 % visant l’intégration des arts à l’architecture au Québec, a appris Le Soleil. Cinq artistes et collectifs d’artistes en compétition pour décrocher les 1,125 million $ mis en réserve pour la création d’une oeuvre «monumentale» qui sera postée aux portes de l’amphithéâtre de la capitale, au coeur de la place Jean-Béliveau.

Le concours avait été lancé en grande pompe le 1er septembre. Mardi, les téléphones de cinq candidats ont retenti : les Cooke-Sasseville de Québec, Doyon-Rivest de Montréal, Jacek Jarnuszkiewicz aussi de la métropole, Pierre Bourgault de Saint-Jean-Port-Joli et Yannick Pouliot de Saint-Casimir.

L’enjeu est de taille. Il y a bien eu un investissement total de 5 millions $ pour les nombreuses oeuvres qui seront implantées dans le nouveau Centre hospitalier universitaire de Montréal. Mais le montant dévolu à la sculpture qui embellira la place Jean-Béliveau de Québec est le plus important pour une réalisation unique.

Ce vendredi, les finalistes sont convoqués pour signer un contrat de 15 000 $ chacun. La somme leur permettra de réaliser un miniature de leur projet qui sera présenté en mars. Car le jury n’a vu aucune proposition concrète pour l’instant, nous confirme une porte-parole du ministère de la Culture, Anne-Sophie Lacroix. «On n’a pas reçu de maquettes de la part des candidats.»

Le choix n’était basé que sur leur curriculum vitae, leurs réalisations des huit dernières années.

L’oeuvre qui sera finalement choisie sera installée durant l’été 2017. À noter que le ministère de la Culture se donne le droit de ne désigner aucun gagnant parmi les finalistes.

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Centre Vidéotron: concours national d’art public pour la place Jean-Béliveau

Voir aussi : Arrondissement La Cité-Limoilou, Art urbain, Centre Vidéotron.

Centre Vidéotron: concours national d’art public pour la place Jean-Béliveau

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 1er septembre 2015 Commentaires fermés sur Centre Vidéotron: concours national d’art public pour la place Jean-Béliveau

Ministère de la Culture et des Communications

Dans le cadre du projet de construction de l’amphithéâtre multifonctionnel de Québec, la Ville de Québec en collaboration avec le ministère de la Culture et des Communications tient un concours en vue de la création d’une œuvre d’art public monumentale, d’un rayonnement d’envergure majeure, soit la réalisation d’une sculpture extérieure intégrée à l’environnement pour la place publique Jean-Béliveau. Ce concours s’adresse aux artistes professionnels en arts visuels et en métiers d’art.

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La place Jean-Béliveau bénéficiera du plus important projet d’art public au Québec (1 225 000 $) * Ville de Québec

Voir aussi : Art urbain, Centre Vidéotron.

Les finalistes pour le concours d’œuvre d’art public pour le Complexe Jules-Dallaire

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 31 août 2015 13 commentaires

Le Groupe Dallaire et Cominar annonçaient, en avril dernier, la tenue d’un concours provincial pour la conception et la réalisation d’une œuvre d’art public pour le Complexe Jules-Dallaire. Cette œuvre, en hommage aux réalisations de Monsieur Jules Dallaire, sera située devant l’immeuble portant son nom, à l’intersection du boulevard Laurier et de la route de l’Église, à Québec.

Le 19 juin dernier, le jury de sélection s’est rencontré une première fois afin d’évaluer les candidatures reçues et a retenu 5 artistes parmi celles-ci à titre de finaliste. Ces derniers présenteront leur projet d’œuvre d’art au jury, en octobre prochain. Au terme des présentations, le jury devra recommander l’une de ces propositions en tant que projet lauréat aux instances décisionnelles de Groupe Dallaire et de Cominar.

Nous avons le plaisir d’annoncer que les artistes retenus sont les suivants:

COOKE-SASSEVILLE S.E.N.C
Ludovic Boney
François Mathieu
Hélène Rochette
Michel Saulnier

Ce concours, pour lequel un budget de réalisation de 423 000 $ est prévu, s’inscrit dans la volonté du promoteur d’intégrer des œuvres d’art public dans ses projets immobiliers d’envergure. Il est d’ailleurs le premier promoteur à avoir posé des actions concrètes en réponse au dévoilement de la Vision de développement de l’art public par la Ville de Québec en 2013.

Voir aussi : Art urbain.

Les passages insolites: Dezeen en parle

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 8 août 2015 1 commentaire

Magazine Dezeen

Pomo summer: design collective Fontaine/Fortin/Labelle has blocked both ends of a lane in Quebec’s Quartier Création with a Postmodern-influenced installation of colourful walls and geometric doorway

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Voir aussi : Art urbain.

La restauration des œuvres d’art publiques extérieures, un défi à Québec

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 31 juillet 2015 8 commentaires

Ici Radio-Canada

Le controversé démantèlement de l’œuvre Dialogue avec l’histoire il y a quelques semaines à Québec, en raison de son état de détérioration avancé, a mis en lumière le phénomène des œuvres d’arts ou monuments extérieurs soumis aux intempéries, hiver comme été.

Dans la capitale, la restauration des œuvres publiques extérieures fait partie de la Vision du développement de l’art public développé par la Ville de Québec il y a quelques années.

Dans le cadre de cette stratégie, l’administration municipale a confié au Centre de conservation du Québec la restauration et l’entretien de 44 œuvres de sa collection extérieure, au coût de près de 180 000 $.

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Guide pour la conservation des oeuvres d’art public Centre de conservation du Québec

L’inventaire des oeuvres d’art public dans la Ville de Québec

* Ajout de ce texte publié dans La Presse + (4 août 2015):

Pour tout l’art du monde

Espérer qu’une oeuvre réalisée pour un espace public puisse faire l’unanimité est une aberration

Luc Boulanger (La Presse)

La démolition de l’Agora de Charles Daudelin au square Viger. La grande roue du collectif BGL à Montréal-Nord. Le projet de Moment Factory d’illuminer le pont Jacques-Cartier.

Décidément, on parle beaucoup d’art public cet été. Ce qui suscite la controverse.

Rien de nouveau sous le soleil, hélas. L’art public, par essence, est un accélérateur de controverses. En matière d’appréciation d’une œuvre d’art, les goûts sont subjectifs et individuels. Alors espérer qu’une œuvre, réalisée pour un espace public, puisse faire l’unanimité est une aberration.

Des colonnes de Daniel Buren plantées dans les jardins du Palais Royal, à Paris, à l’épave d’acier du sculpteur Pierre Bourgault installée sur la promenade Champlain, à Québec, l’histoire de l’art est jalonnée de ce type de polémique.

Chaque fois, le débat autour de la création de ces œuvres s’apparente à deux monologues. L’un élitiste, l’autre populiste. Aux citoyens qui jugent (en 10 secondes) une œuvre pour mieux la rejeter, des experts leur répondent qu’on n’a pas à juger de l’esthétisme. Selon eux, on doit laisser l’art contemporain « dialoguer avec son époque ». Même si c’est toujours un dialogue de sourds ?

André Malraux, le plus important ministre de la Culture de la France, disait que l’art n’est pas la beauté. Les artistes n’ont donc pas à « respecter des règles édictées par quelque sacerdoce ». Malraux ne distinguait pas l’art des autres domaines : science, politique, économie. « La volonté de création artistique ne me semble pas plus s’opposer à la volonté de transformation du monde que la pensée scientifique.

Créer des formes nouvelles, voilà le mantra des créateurs. Pourquoi alors le public s’acharne-t-il toujours sur eux, alors qu’ils laissent les chercheurs créer leurs inventions, les chimistes breveter leurs molécules ?

On nous répondra que la technologie et les médicaments sont plus utiles à l’avancement de la société que l’art. Pourtant, dans la grande échelle de la production terrestre, l’argument utilitaire a ses limites. Le désir de la forme pour la forme fait partie de la sensibilité humaine. Si on avait seulement besoin de ce qui est « nécessaire » dans la vie, ce serait trop simple.

Ensuite, il y a l’argument avec un grand A, celui des fonds publics. Le collègue François Cardinal s’en est indigné dans sa chronique de samedi dernier. On ne s’épanchera pas là-dessus.

Seulement pour dire que ce credo populiste, la démagogie de l’argent public, s’acharne sur l’un des groupes les plus pauvres de la société : les artistes. Dans la plus grande méconnaissance du processus de sélection des œuvres ; du fonctionnement des comités où siègent des élus ET des citoyens ; des plans, budgets et étapes de production.

Si la grogne populaire sévissait avec autant de rapidité et de véhémence pour des enjeux bien plus importants pour notre démocratie, le Québec nagerait en pleine révolution.

Voir aussi : Art urbain.

Le Collectif Le Banc embellit la rue Racine

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 27 juillet 2015 2 commentaires

Source : Michèle Laferrière, Le Soleil (27 juillet 2015)

Mandaté par l’arrondissement de La Haute-Saint-Charles, le Collectif Le Banc a fait cadeau de sa dernière réalisation à la rue Racine, à Loretteville.

«Si les quartiers centraux reçoivent beaucoup d’attention […], les rues principales des quartiers plus excentrés méritent aussi notre attention», lit-on sur la page Facebook du Collectif, qui a aménagé la promenade de la rue Racine sur d’anciens espaces de stationnement. Les bancs de bois, les espaces potagers, le piano public, les jeux de table et les jeux de poche égaieront le lieu jusqu’à l’automne et donneront des prétextes aux passants pour flâner et profiter de l’été au coeur de leur quartier.

L’article

Voir aussi : Arrondissement Haute-St-Charles, Art urbain.