Québec Urbain

L’Urbanisme de la ville de Québec en version carnet…


Archives pour la catégorie « Commercial »

La «Main» de Québec se cherche

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 8 mars 2020 15 commentaires

Gabriel Béland
La Presse

(Québec) Les façades de pierre et de brique, les corniches sculptées, les portes de chêne massif… Il suffit de mettre les pieds rue Saint-Joseph pour admirer les traces de son passé prospère.

Mais depuis des mois, les pancartes « à louer » se multiplient sur cette artère commerciale emblématique de Québec, qui est depuis des décennies le sujet de bien des débats et symbolise la résistance des commerces « de la ville » contre ceux « de la banlieue ».

La rue a récemment perdu deux importantes enseignes au profit de la périphérie. EQ3 et Artemano ont toutes deux déménagé à Lebourgneuf, non loin des Galeries de la Capitale.

Pendant ce temps, à un jet de pierre de là, l’important local qui accueillait le magasin MEC est toujours inoccupé depuis 2016. La coopérative de plein air a elle aussi déménagé à Lebourgneuf, quartier récent proche des autoroutes et des centres commerciaux.

Le taux d’inoccupation des locaux rue Saint-Joseph est aujourd’hui de 14 %, selon les données les plus récentes obtenues par La Presse, alors qu’il était de 9,4 % en 2018. « C’est moyen, c’est clair. Il y a plus de 10 locaux à louer dans la rue », constate François Gagnon, propriétaire de Déjà Vu, commerce de meubles situé entre les anciens locaux du EQ3 et du Artemano.

« Mais je pense que ce n’est pas seulement Saint-Joseph, on le voit aussi sur Saint-Jean en haute-ville. C’est difficile de rivaliser contre la vente en ligne et tout ce qui s’appelle centres commerciaux avec les stationnements à perte de vue. » François Gagnon, propriétaire de Déjà Vu

La rue Saint-Joseph a un passé prospère, mais compliqué. Au milieu du XIXe siècle, la rue du quartier Saint-Roch est devenue la plus importante artère commerciale de Québec, supplantant celles de la haute-ville. Elle a compté jusqu’à 125 boutiques, dont les enseignes Laliberté, Paquet, Pollack et Le Syndicat de Québec.

Mais le développement de la banlieue après la Seconde Guerre mondiale a fait mal à Saint-Joseph. Les centres commerciaux ont poussé comme des champignons.

La mise en place d’un centre commercial couvert en 1972 n’a pas réussi à stopper le déclin : il a été démantelé en 2007. Les efforts de la Ville pour revitaliser Saint-Roch ont donné un nouveau souffle à la rue, mais les derniers mois ont été difficiles.

« C’est rue Saint-Joseph qu’on trouve les plus grands locaux hors centres commerciaux ou hors power center à Québec », rappelle Éric Courtemanche Baril, propriétaire de l’épicerie Intermarché rue Saint-Joseph et ancien président de la SDC Saint-Roch.

Avec la croissance du commerce en ligne, ces grands magasins auront de plus en plus d’ennuis, croit-il.

L’entreprise immobilière Groupe Mach a acquis de nombreux grands locaux de la rue depuis 2017. Elle possède notamment l’immeuble qui abritait le MEC. Le local vacant, intersection Saint-Joseph et de la Couronne, est toujours inoccupé depuis.

« Sûrement qu’on ne pensait pas qu’il serait encore vacant aujourd’hui. Mais on continue d’acheter dans le secteur, on continue de croire au secteur », assure le conseiller juridique de Mach, Laurent Dionne-Legendre. « Mais l’ancien MEC n’est pas le symbole de ce qui va mal sur Saint-Joseph. C’est une question de temps. »

Le groupe immobilier ne cache pas ses ambitions : ramener le centre-ville à Saint-Roch plutôt qu’à Sainte-Foy ou à Lebourgneuf. « Est-ce qu’on veut que le centre-ville se développe autour d’un boulevard commercial comme Laurier ou est-ce qu’on revient vers Grande-Allée, la basse-ville ? Nous on pense que le centre-ville va revenir ici. »

En attendant, l’entreprise a acquis l’immeuble du magasin Laliberté, la dernière survivante des grandes enseignes de l’âge d’or de la rue. Mach tente de trouver un repreneur pour exploiter le détaillant, qui vend des vêtements. Mais tous les scénarios sont possibles, y compris un changement de vocation.

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Saint-Roch: le Best Western lance son projet d’agrandissement

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 6 mars 2020 Commentaires fermés sur Saint-Roch: le Best Western lance son projet d’agrandissement

Baptiste Ricard-Châtelain
Le Soleil

Le propriétaire du Best Western du quartier Saint-Roch donne le coup d’envoi d’un projet immobilier évalué à 32 millions $ qui commencera par la construction de plus de 40 logements ainsi que d’un stationnement souterrain d’une centaine de places.

«Les travaux devraient débuter cet été», annonce au Soleil André Huot, collaborateur de l’hôtelier Joey Thiffault. Mais, déjà, des ouvriers sont à l’ouvrage.

Un grand terrain a été libéré entre les rues de la Salle et de la Reine, dans le quadrilatère coincé entre les rues de la Couronne et Dorchester. C’est là que sera joué le premier acte.

Autorisée par la Ville fin novembre, début décembre, la démolition de deux bâtiments d’habitation de 1920 et 1970 est réalisée. Et les fondations des voisins ont été renforcées.

Ainsi, dès l’été, André Huot pourra lancer la phase 1. «C’est un chantier qui va s’étendre sur un an.»

Que pourra-t-on voir au cours de ce premier tour de piste des développeurs? Le grand rectangle aujourd’hui délimité par des murets de béton temporaires sera d’abord vidé. «Le but de l’exercice, c’est d’avoir des stationnements souterrains pour l’hôtel Best Western existant.» Entre 90 et 120 voitures pourront s’y réfugier.

«Ça fait longtemps que M. Thiffault ne veut plus avoir de stationnements sur sol», observe André Huot. «C’est mieux pour l’environnement immédiat du quartier. C’est plus beau d’avoir un bâtiment que d’avoir un terrain de gravier.»

Justement, sur ledit stationnement érigé sous terre, il y aura des habitations. «Ça implique de la construction résidentielle aussi sur ces terrains-là. […] On construit 40 unités résidentielles locatives.»

«Il y aura deux bâtiments», poursuit M. Huot. «Un qui donne sur la rue de la Salle de quatre étages et un qui donne sur la rue de la Reine de trois étages.» Entre les deux? Il y aura «une cour intérieure agrémentée d’arbres».

«Probablement que ça va être mis en location pour juillet 2021. Les logements varieront de 600 pieds carrés à 1200 pieds carrés, de 3 ½ à 5 ½.»

Voilà pour le chantier de 2020-2021. «Pour cette partie-là, c’est une douzaine de millions [de dollars] au total.»

Phase 2 : jusqu’à 12 étages

Il y a pareillement du mouvement derrière le Best Western dont la devanture borde la rue de la Couronne. Une des compagnies de Joey Thiffault vient finalement de mettre la main sur la petite maison du 355, rue de la Salle. Cette acquisition permet de compléter un grand terrain sur lequel l’homme d’affaires rêve d’une tour de 12 étages.

Ici, il reste plus de fils à attacher avant de commencer l’excavation. «C’est dans un deuxième temps, dans une deuxième phase», insiste d’ailleurs André Huot. «On regarde pour construire, adjacent à l’hôtel existant, un nouveau bâtiment à usage mixte probablement résidentiel et hôtelier.» Il y aurait un stationnement souterrain. «Mais le projet reste à confirmer.»

Cette phase 2 est néanmoins avancée. Déjà en 2012, l’immeuble avait été intégré au plan d’urbanisme de la Ville de Québec, qui est favorable.

Aussi, quoique les détails ne soient toujours pas dessinés, M. Huot certifie que le désir d’aller de l’avant, plus tôt que tard, est bien réel. «On espère 2021. Ce n’est pas remis aux calendes grecques. Ça dépend du marché hôtelier, du marché résidentiel locatif. On va au gré du marché. C’est lui qui décide un peu ce qu’on fait, quand on le fait et comment on le fait.»

«Ce qui est assuré, c’est qu’il y a un bâtiment là avec un zonage d’une douzaine d’étages qui est possible et qu’on veut faire tout en bois massif. Un peu comme la tour Origine [de la Pointe-aux-Lièvres], mais avec une option hôtellerie.»

Le plan toujours à l’étude comporte un agrandissement du Best Western de la même hauteur que l’hôtel actuel, soit six étages. Au-dessus, il y aura des appartements. Reste à déterminer s’ils seront loués ou vendus en copropriétés.

«C’est un investissement qui va être autour de 20 millions $.»

10 ans de préparation

Voilà un bon moment que Joey Thiffault et André Huot préparent ce développement dans le quartier Saint-Roch. Ils ont acheté petit à petit des propriétés du secteur. «Ce sont des terrains qu’on assemble depuis plusieurs années, depuis au moins une dizaine d’années.»

Une entreprise de M. Thiffault possède d’ailleurs quelques autres terrains des alentours.

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Voir aussi : Arrondissement La Cité-Limoilou, Commercial, Tourisme.

Réaménagement de la portion nord de l’avenue Cartier : le chantier débutera au printemps

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 3 mars 2020 4 commentaires

17000 véhicules par jour circulent sur le Chemin Ste-Foy. 13000 sur le boulevard René-Lévesque (circulation moindre à cause des voies réservées). Une artère commerçante très achalandée. Et des travaux importants à faire, dans la continuation de ceux exécutés en 2017. Tout cet ensemble verra un été 2020 qui sera source de complications connues.

C’est lors d’une conférence de presse très courue que la Ville nous a présenté le projet. L’essentiel des inconvénients pour les automobilistes est présenté dans l’image suivante:

En ce qui a trait au transport en commun, nécessairement détourné, il sera de cet ordre:

Pour les personnes habitant le secteur et ayant des vignettes de stationnement pour cette section nord de l’avenue Cartier, la Ville leur donnera l’usage du terrain où est l’ancien Garage Bérubé qui ne fait toujours pas l’objet d’une construction (voir ce billet).

Pour d’autres informations, le communiqué.

* Une rencontre avec les citoyens est également prévue pour le 3 mars 2020, de 19h à 21h, aux Loisirs Montcalm (265 Boul. René-Lévesque), salle Fraser.

Les défis du chantier Cartier-Sainte-Foy Jean-François Néron (Le Soleil)

Voir aussi : Arrondissement La Cité-Limoilou, Commercial, Message d'intérêt public.

Construction à Québec: une autre année record

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 3 mars 2020 Commentaires fermés sur Construction à Québec: une autre année record

Jean-Luc Lavallée
Journal de Québec

La valeur des permis délivrés par la Ville a atteint un nouveau sommet de 1,5 G$ l’an dernier.

L’industrie de la construction, dans la capitale, continue de tourner à plein régime. La valeur des permis délivrés par la Ville de Québec a atteint un sommet record de 1,5 milliard $ en 2019. Il s’agit d’une hausse significative de 16 % par rapport à l’année précédente, selon les chiffres obtenus par Le Journal.
La Ville de Québec vogue de record en record, à ce chapitre, depuis trois ans, après ses précédents sommets de près de 1,2 G$ en 2017 et de 1,3 G$ en 2018.

Quelques chantiers d’envergure, comme celui du centre de recherche et de production de vaccins de Medicago dans le secteur D’Estimauville (245 M$), celui du Centre de biométhanisation (190 M$) ou du Centre de glaces à Sainte-Foy (68,7 M$) ont contribué à gonfler le bilan impressionnant de la dernière année.

Parmi les projets résidentiels majeurs qui ont obtenu le feu vert de la Commission d’urbanisme en 2019, on note le Quartier Louis Quatorze (sur le boulevard Pierre-Bertrand), une résidence pour aînés dans le secteur du Trait-Carré, le Zéphyr du Groupe Dallaire à Beauport, la résidence Le Marc-Aurèle dans Lebourgneuf, la phase 2 de La Klé à la Cité Verte et les phases 6 et 7 du complexe L’Aventura dans l’arrondissement Des Rivières.

La demande pour l’habitation, particulièrement les condos locatifs, est en hausse, depuis quelques années à Québec, en raison de la performance du marché de l’emploi et de l’arrivée de nouveaux résidents permanents ou temporaires (travailleurs et étudiants étrangers), souligne le porte-parole de la Ville de Québec, David O’Brien.

«L’économie de la région va très bien, tout comme celles du Québec et du Canada, ce qui encourage les investissements d’entreprises. Le coût de la construction augmente, ce qui fait également accroître la valeur déclarée des travaux dans les permis délivrés, en raison des nombreux projets en cours et de la rareté de la main-d’œuvre», ajoute-t-il.

Loin de s’essouffler, le phénomène semble vouloir se poursuivre. L’année 2020 a démarré sur les chapeaux de roue, avec un mois de janvier record depuis que les statistiques ont commencé à être compilées en 2006.

La valeur des permis de construction, tous secteurs confondus (construction et rénovation dans le résidentiel et le non résidentiel), a atteint 68 M$, une augmentation de 100 % par rapport à la même période l’an dernier.

La hausse est encore plus frappante pour le secteur résidentiel – qui passe à lui seul de 14 M$ à 49 M$ en janvier – mais les statistiques sont faussées par la remise d’un seul permis de près de 37 M$ pour le chantier des condos locatifs Le Huppé, dans Lebourgneuf.

De gros chantiers sont également dans les cartons pour les années à venir, notamment celui du Réseau structurant de transport en commun et du Quartier Mosaïque, près des Galeries de la Capitale.

Sans oublier le complexe Le Phare, du Groupe Dallaire, avec quatre tours, dont une de 65 étages, qui va peut-être finir par sortir de terre sur le boulevard Laurier.

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Voir aussi : Commercial, Condo, Logement locatif ou social, Québec La cité, Résidentiel.

Un nouveau milieu de vie en construction à Sainte-Foy: Le QG Sainte-Foy

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 25 février 2020 1 commentaire

Aurélie Beaupré
Portail Constructo

Un nouveau projet immobilier conjuguant un milieu de vie digne des grands hôtels, un vaste espace de restauration et de services ainsi qu’une clinique médicale verra le jour dans l’arrondissement de Sainte-Foy, à Québec.

Le QG Sainte-Foy, piloté par Capwood, sera situé au coin de la route de l’Église et de l’avenue Rolland-Beaudin et nécessitera un investissement de 80 millions de dollars. Celui-ci s’élèvera à une hauteur de douze étages et possèdera une superficie totale d’environ 27 870 mètres carrés (m2). Les cinq premiers étages seront à vocation commerciale, tandis que les sept autres permettront d’ajouter 122 logements en copropriété à l’offre résidentielle du secteur. Le bâtiment comprendra aussi 400 places de stationnement souterrain, une piscine, un gymnase, un chalet urbain au dernier étage ainsi que de nombreuses terrasses.

La section commerciale de l’immeuble, dont la superficie s’étendra à 7 432 m2, abritera effectivement un vaste espace de restauration et de services. Au sein de ce dernier seront regroupés de nombreux artisans. Plusieurs d’entre eux seront locaux, tandis que certains seront français. Une offre de produits variée sera ainsi mise à la disposition des résidents et des visiteurs.

Ce projet se démarque d’ailleurs par la gestion de cet espace commercial. En effet, les artisans pourront se concentrer sur leur travail, le promoteur s’occupant des tâches administratives. « On souhaite procurer aux artisans un endroit dans lequel ils pourront simplement exercer leur métier. Tout le reste, que ce soit l’administration, la promotion ou la vente en ligne, c’est nous qui nous en chargerons », explique Denis Epoh, directeur général chez Capwood.

Les clients bénéficieront de plus d’un service singulier. Ces derniers commanderont leur repas à l’aide d’une tablette électronique et seront servis directement à leur table. Ils pourront ainsi profiter simultanément des services de différents restaurateurs tout en étant servis au même moment, et ce, sans devoir se lever. Les résidents, pour leur part, auront l’avantage de la livraison à domicile rendue possible grâce aux tablettes électroniques qui leur seront offertes.

Ce qui distingue le QG Sainte-Foy des autres projets immobiliers aura cependant présenté quelques défis pour le promoteur. En effet, le système de chauffage et de ventilation de ce vaste espace de restauration devait être installé au dernier étage afin de permettre une meilleure utilisation de l’espace. Cette tâche complexe a donc engendré des défis en matière d’ingénierie. De plus, la technologie requise pour la commande, le service et la livraison des repas et des produits a nécessité la création d’une toute nouvelle plateforme électronique. Pour ce faire, une plus grande planification et la mobilisation de nouvelles ressources ont été essentielles.

La livraison du bâtiment, dont la construction a commencé en novembre 2019, est prévue en septembre 2020. À ce moment, près de 600 employés seront mobilisés dans les 25 commerces émergents qui s’ajouteront à l’offre commerciale des environs.

L’article

Voir aussi : Arrondissement Ste-Foy / Sillery / Cap-Rouge, Commercial, Condo, Logement locatif ou social.

Nouveau projet: Centre d’affaires Henri IV, phase 3

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 14 février 2020 5 commentaires

Bonjour M Gobeil,

Voici une photo d’un nouveau projet que j’aimerais vous partager.

Il s’agit du Centre d’affaires Henry IV phase 3, au 1045 avenue Wilfrid-Pelletier, projet de la Société immobilière GP.

La livraison de la phase 3 est prévue pour l’automne 2021 et devrait accueillir les employés du Directeur général des élections.

Les édifices des phases 2 (1035 ave W-P) et 3 (1045) devrait communiquer seulement via le stationnement, afin de permettre une conservation du lien piétonnier vers la passerelle passant au-dessus de l’autoroute Henry IV.

* Merci à un fidèle lecteur

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LOGISCO investit 68 M$ en 2020 à Québec et à Lévis

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 13 février 2020 Commentaires fermés sur LOGISCO investit 68 M$ en 2020 à Québec et à Lévis

Portail Constructo

Le tout premier complexe hôtelier de l’enseigne Home2 Suites par Hilton à Québec sera érigé à Sainte-Foy, sur le boulevard Wilfrid-Hamel, à proximité de l’aéroport Jean-Lesage de Québec. Totalisant un investissement de 16 millions de dollars, l’hôtel comptera 107 chambres réparties sur six étages, une piscine, une salle d’entrainement, des salles de réunion et deux terrasses. Il s’agit du premier hôtel Home2 Suites à l’est du Québec.

Sur la Rive-Nord (Québec), la deuxième phase du projet MAJELLA verra le jour dans le secteur de Val-Bélair en mars 2021. Ce projet de 12 millions de dollars comportera 73 appartements spacieux et modernes, passant du 2 ½ au 5 ½. Le premier immeuble du MAJELLA sera livré en juin 2020.

Enfin, à Beauport, sur la rue d’Everell, la troisième et la quatrième phases du projet résidentiel le LATTÉ seront érigées, totalisant 160 nouveaux appartements. La livraison de la troisième phase est prévue pour novembre 2020 et celle de la quatrième, pour mars 2021. Ces immeubles, comportant des logements de grandeur 2 ½, 3 ½ et 4 ½, totaliseront un investissement de 26 millions de dollars pour LOGISCO.

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Logisco

Voir aussi : Commercial, Logement locatif ou social, Publications & ressources Internet.

Logisco investira 68 M$ dans la grande région de Québec

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 24 janvier 2020 5 commentaires

Jean-Michel Genois Gagnon
Journal de Québec

Le promoteur Logisco multipliera les investissements dans la grande région de Québec en 2020. La facture de ses projets, dont notamment la construction d’un nouvel hôtel, devrait atteindre 68 millions $.

Parmi ses nombreux chantiers, Logisco injectera ´16 millions $ pour faire sortir de terre un complexe hôtelier de 107 chambres sous la bannière Home2 Suites par Hilton.

L’établissement sera situé sur le boulevard Wilfrid-Hamel, à Sainte-Foy, à proximité de l’aéroport de Québec.

Les travaux pour le nouvel hôtel de six étages, avec des salles de réunion, une piscine et une salle d’entraînement, débuteront à l’été 2020.

L’ouverture est prévue pour septembre 2021. Chaque chambre possédera un espace cuisine, a fait valoir la direction dans un communiqué. Il s’agira du troisième établissement hôtelier du groupe lévisien à voir le jour depuis 2017, après ceux de Saint-Romuald et de Beauport.

En juin dernier, le président de l’entreprise, Michel Parent, affirmait vouloir réaliser au moins deux autres projets d’hôtels dans la région. Jeudi, il n’était pas disponible pour une entrevue.

300 unités locatives

Par ailleurs, Logisco entamera trois nouveaux chantiers résidentiels au cours des prochains mois, soit à Val-Bélair, à Saint-Romuald et à Beauport. Au total, 300 unités locatives seront construites.
À Val-Bélair, le promoteur démarrera en mars la deuxième phase, évaluée à 12 millions $, de son projet baptisé Majella sur le boulevard Pie-XI. Ce sont 73 appartements qui seront érigés. La fin du projet est prévue pour 2021.

À Beauport, sur la rue d’Everell, ce sont deux immeubles comptant au total 160 appartements qui seront construits dans le nouveau secteur Latté. Le premier de ces édifices sera livré en novembre 2020 et le second en mars 2021. L’investissement sera d’environ 26 millions $.

Quant au projet multigénérationnel l’Amalgam, à Saint-Romuald, Logisco construira un deuxième immeuble. Il sera composé de 70 unités, dont certains logements offriront une superficie de deux étages. Les locataires pourront s’y installer dès mars 2021. La facture du chantier devrait atteindre 14 millions $.

Fondé en 1967, Logisco détient aujourd’hui un parc immobilier de 4300 appartements, trois résidences pour aînés et deux hôtels dans la grande région de Québec. L’entreprise sert de gagne-pain à environ 300 travailleurs.

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Les travaux au marché public de Ste-Foy

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 16 janvier 2020 Commentaires fermés sur Les travaux au marché public de Ste-Foy

Source: Page Facebook du Marché. Et merci à un fidèle lecteur de Québec Urbain

Voir aussi : Arrondissement Ste-Foy / Sillery / Cap-Rouge, Commercial.