Québec Urbain

L’Urbanisme de la ville de Québec en version carnet…


Archives pour la catégorie « Commercial »

Une auberge de jeunesse bientôt sur la Grande Allée

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 5 novembre 2019 Commentaires fermés sur Une auberge de jeunesse bientôt sur la Grande Allée

Diane Tremblay
Journal de Québec

Une auberge de jeunesse d’une capacité de 126 lits verra le jour sur la Grande Allée, au printemps prochain, dans l’ancien restaurant La Vieille Maison du Spaghetti, à Québec. Il s’agit d’un projet évalué à près de 4 M$, a appris Le Journal.

« On veut que ce soit la plus belle auberge de jeunesse au Canada. On a regardé ce qui se faisait ailleurs, notamment à Toronto », a affirmé Pierre Moffet, président de Douville, Moffet & Associés, qui est derrière ce projet.

Plutôt discret depuis l’acquisition du 625, Grande Allée Est, M. Moffet attendait d’avoir le permis de construction de la Ville de Québec pour en parler publiquement.

Au cours des derniers mois, il a mandaté la firme spécialisée HVS pour produire une étude de marché et un rapport d’évaluation qui se sont avérés concluants.

Un édifice avec du cachet

Le futur établissement, qui ouvrira ses portes en mars 2020, portera le nom d’Auberge YQBeds en référence au code d’identification de l’Aéroport international Jean-Lesage, YQB. Avec une valeur patrimoniale jugée exceptionnelle, les nouveaux propriétaires s’engagent à préserver le plus d’éléments architecturaux de cette résidence, construite en 1899.

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Voir aussi : Arrondissement La Cité-Limoilou, Commercial.

Autoroute Laurentienne, boulevard urbain, Place Fleur de Lys et autres sujets

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 26 octobre 2019 2 commentaires

François Bourque
Le Soleil

(…)

Au plan urbain, la démolition annoncée du vieux Colisée est plutôt une bonne nouvelle.

Il y a quelques années encore, j’aurais craint que la Ville récupère l’espace pour agrandir le stationnement. Il est aujourd’hui permis d’espérer qu’on lui trouvera un meilleur usage.

Le maire Labeaume a d’ailleurs évoqué ces jours derniers l’intérêt de promoteurs pour ce terrain.

On pourrait imaginer une nouvelle rue qui passerait à la porte du Grand Marché, côté est, offrant la possibilité d’une façade sur rue à de futurs immeubles à construire sur le site du Colisée.

Le site d’ExpoCité y perdrait un peu en superficie, mais y gagnerait en qualité urbaine et en vitalité.

À l’époque où elle plaidait pour la construction d’un nouvel amphithéâtre, l’administration Labeaume faisait miroiter l’important développement immobilier qui allait suivre. Et les taxes qui en résulteraient.

Le raisonnement était un peu court. L’expérience nord-américaine montre que construire un nouveau stade n’a pas un effet automatique sur le développement du voisinage.

D’autres conditions doivent y être et des investissements publics sont généralement nécessaires pour rendre le secteur attrayant pour des développeurs.

Il aura fallu plus de vingt ans avant de voir des grues autour du Centre Bell à Montréal. Le marché immobilier n’était pas prêt avant.

(…)

On ne le voyait pas venir au début, mais l’objectif est aujourd’hui de déborder du site d’ExpoCité et de créer un tout nouveau quartier pouvant assurer le lien entre Limoilou, Saint-Roch, Saint-Sauveur et Vanier.

Cette vision est tributaire de la transformation de l’autoroute Laurentienne en boulevard urbain. On parle du tronçon entre la rue Soumande, au nord de Fleur de Lys et la rue de la Croix-Rouge, près du parc Victoria.

L’idée de transformer ce tronçon est dans l’air depuis quelques décennies, encouragée par des architectes, urbanistes et universitaires et groupes de citoyens. La Ville de Québec y est favorable, mais la décision appartient au ministère des Transports (MTQ) où un «dossier d’opportunité» est toujours à l’étude.

La valeur dominante au MTQ a longtemps été la fluidité (et la vitesse) de la circulation automobile. On le sent aujourd’hui plus ouvert à d’autres enjeux d’urbanisme, mais le réflexe de l’autoroute, encouragé par des radios privées, reste difficile à briser.

Le MTQ est conscient du «prix politique» qu’il lui faut payer chaque fois qu’il renonce à un kilomètre d’autoroute.

L’autre «pièce maîtresse» de ce nouveau quartier, liée à la première, est la transformation du centre commercial Fleur de Lys.

Les propriétaires William et Jonathan Trudel souhaitent faire éclater le modèle déclinant de la galerie marchande entourée de stationnements de surface.

(…)

Le promoteur Jonathan Trudel en a fait une tournée avec l’architecte de Québec Érick Rivard pour recenser les meilleures pratiques et repérer les erreurs à éviter.

M. Trudel a aussi rencontré des groupes d’étudiants en design urbain venus lui soumettre des scénarios pour Fleur de Lys. Des idées très «intéressantes», a-t-il perçu.

(…)

La Ville de Québec, qui a mené une consultation publique l’hiver dernier sur l’avenir de ce secteur, devrait faire connaître ses orientations au début 2020. Il est envisagé un nouveau programme particulier d’urbanisme (PPU) pour ce secteur, ce qui mettrait le projet à l’abri de toute contestation référendaire.

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Voir aussi : Arrondissement La Cité-Limoilou, Art de vivre en ville, Commercial, Densification, Tramway à Québec, Transport, Transport en commun.

Le retard du Phare pourrait profiter à d’autres projets

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 17 octobre 2019 4 commentaires

Jean-Michel Genois-Gagnon
Journal de Québec

Le Phare étant retardé, plusieurs promoteurs pourraient en profiter pour accélérer leurs projets sur le boulevard Laurier, estime un expert de l’immobilier. Cominar projette, entre autres, un développement qui pourrait atteindre jusqu’à 28 étages.

« Nous avons beaucoup d’intérêt de potentiels locataires pour ce site à proximité du Phare. C’est un terrain qui pourrait accueillir un immeuble de la superficie du Complexe Jules-Dallaire en termes de droits aériens », indique au Journal Caroline Lacroix, vice-présidente aux communications au Fonds de placement immobilier Cominar. Ce dernier est propriétaire du 3000, boulevard Laurier, depuis 2016. La direction avait déboursé 14,6 millions $ pour acheter le terrain à l’assureur SSQ.

Initialement, SSQ voulait y construire un projet mixte de deux tours, dont un édifice qui devait atteindre 25 étages. Impossible pour le moment d’obtenir les plans de Cominar. La direction mentionne être en « réflexion » et en « discussion » avec la Ville.

Comme autres chantiers à proximité du Phare qui pourraient voir rapidement le jour, le promoteur Immostar a déboursé près de 16 millions $ en 2018 pour faire l’acquisition de 16 lots entre le CHUL et la résidence Ékla du Groupe Maurice.

Selon nos informations, un développement multirésidentiel devrait être présenté à la population cet automne.

Par ailleurs, le groupe immobilier ACERO prévoit construire un immeuble de sept à neuf étages sur le boulevard Laurier, à un jet de pierre de l’hôtel Alt Québec.

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Tramway: d’autres changements à venir Baptiste Ricard-Châtelain (Le Soleil). Un extrait: Régis Labeaume tient, par ailleurs, à rassurer les investisseurs nombreux qui ont acquis des terrains sur le boulevard Laurier afin d’y construire des immeubles. «On est au courant des projets sur le boulevard Laurier. Et plus il y en aura et mieux ce sera, parce que cette entrée de Québec est tellement laide, décourageante, déprimante. Tout le côté nord va se bâtir. On le souhaite ardemment.»

Voir aussi : Arrondissement Ste-Foy / Sillery / Cap-Rouge, Commercial, Projet - Le Phare de Québec.

Sainte-Foy : un nouvel immeuble de prestige dans un secteur recherché

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 13 octobre 2019 18 commentaires

D’ici 2021, un nouvel immeuble de bureaux prendra forme à l’angle du boulevard Laurier et de l’avenue de Germain-des-Prés, dans l’arrondissement de Sainte-Foy à Québec.

L’édifice de classe A, dont la construction représente un investissement de plus de 30 millions de dollars, offrira près de 85 000 pieds carrés (pi2) de bureaux ainsi que des espaces commerciaux au rez-de-chaussée. Le chantier, qui ne débutera probablement pas avant le printemps prochain, doit s’échelonner sur douze à quatorze mois.

« Jusqu’ici, on a franchi à peu près toutes les étapes, indique Benoit Raymond, président d’Acero Immobilier, à la fois promoteur et constructeur du projet. On a reçu le feu vert du comité consultatif d’urbanisme, parce que le secteur est soumis à un plan d’implantation et d’intégration architecturale (PIIA). Il est aussi visé par un programme particulier d’urbanisme (PPU), mais les normes d’implantation ont été révisées et les changements ne sont entrés en vigueur qu’au début du mois d’aout. Maintenant que le projet remplit toutes les conditions, on est prêt à faire notre demande de permis. »

Il précise que la volonté de construire un édifice de prestige dans ce secteur stratégique émane d’un besoin du marché. Deux locataires de marque ont d’ailleurs déjà conclu des ententes de location, qui seront annoncées plus tard cet automne. « C’est un endroit très en demande, à proximité du complexe Jules-Dallaire, de Place Laurier, de l’hôpital et des grands axes routiers, dit-il. On y retrouve les principales banques, de grands cabinets d’avocats et des entreprises. »

L’édifice projeté, qui occupera un terrain de 21 571 pi2, comptera neuf niveaux hors sol et six niveaux de stationnement souterrain. Il sera tout de béton et ses façades principales, exposées au sud et à l’est, seront entièrement vitrées. Pour dissimuler les équipements mécaniques installés au toit, les concepteurs de Régis Côté et associés ont d’ailleurs joué d’astuce en prolongeant ces murs de verre au-delà du dernier étage. Les autres façades seront plutôt monolithiques, à l’exception de la façade arrière où un porte-à-faux donnera du mouvement à l’ensemble.

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Merci à un fidèle lecteur (J.F. Cormier)

Voir aussi : Arrondissement Ste-Foy / Sillery / Cap-Rouge, Commercial.

Est-ce le début de la fin du Phare?

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 11 octobre 2019 8 commentaires

François Bourque
Le Soleil

CHRONIQUE / Le nouveau délai de deux années pour une mise en chantier annoncé par le promoteur Michel Dallaire et le licenciement de 71 employés affectés au projet rendent la question inévitable : est-ce le début de la fin pour le projet du Phare et de sa tour de 65 étages?

Le conseiller exécutif de la Ville de Québec, Rémy Normand, parle d’un simple «pas de côté», mais les signaux s’additionnent sur les difficultés du projet.

L’argument voulant qu’il faut mettre Le Phare sur pause le temps de revoir les plans du pôle d’échanges d’autobus est incontournable.

Un promoteur ne peut pas continuer à planifier une construction s’il sait que les plans, les volumes à prévoir et les accès au sous-sol sont appelés à changer.

On note ici que ce n’est pas le promoteur qui a demandé à revoir les plans et qu’il est en cela une victime des circonstances.

Cette pause forcée arrive cependant à un moment presque providentiel pour le promoteur Dallaire qui peinait à rassembler les conditions lui permettant de mettre son projet en chantier.

Non seulement n’aura-t-il plus à expliquer pourquoi son projet tarde tant, mais la Ville vient de lui donner un excellent motif pour réclamer un dédommagement pour le retard.

Je ne suis pas l’avocat de la Ville ni celui du Groupe Dallaire, mais un projet qui retarde coûte plus cher et quelqu’un finit par devoir payer.

Et si le projet devait être abandonné, le promoteur pourra maintenant en rejeter une part de responsabilités sur la Ville.

Depuis la rupture avec Cominar, Michel Dallaire pilote seul le projet du Phare. Il n’a pas fait de cachette de ses difficultés à trouver assez de locataires pour lancer le projet.

Ni de ses difficultés de financement pour un projet initialement évalué à 755 millions $, mais dont le coût risque de grimper avec les retards. Des locataires pourraient se lasser d’attendre une date de livraison qui devient de plus en plus hypothétique.

Il n’y a par ailleurs toujours pas d’entente sur le partage des factures d’infrastructure municipales liées au Phare.

(…)

Relocaliser le pôle d’échanges permettrait un tracé de tramway plus direct vers le marché public et d’éviter un détour de 600 mètres par Le Phare dans un tunnel en «U» compliqué et coûteux.

Et si le projet de Phare devait s’éteindre, on éviterait de se retrouver avec un pôle d’échanges avec rien au-dessus, dans le voisinage ingrat des bretelles d’autoroutes.

Si la Ville a de bonnes raisons de maintenir quand même le site du Phare, elle devrait expliquer pourquoi, plutôt que de servir des réponses arrogantes (et parfois mensongères) qui desservent le projet et l’intérêt public.

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Voir aussi : Arrondissement Ste-Foy / Sillery / Cap-Rouge, Commercial, Projet - Le Phare de Québec, Projet - Tramway, Transport en commun.

Nouveau projet de GM Développement

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 7 octobre 2019 6 commentaires

Merci à un fidèle lecteur (J.C. La Forge) qui nous informe de ceci:

J’espère beaucoup voir ce projet se réaliser! L’image est tirée directement du site de GM Développement. Livraison prévue: fin 2020.

Il s’agit du terrain qui sert actuellement de stationnement au Ahston sur le boulevard Charest tout près des bretelles d’accès à Dufferin-Montmorency.

Le projet

Voir aussi : Arrondissement La Cité-Limoilou, Commercial, Condo, Logement locatif ou social.

Cominar: projet de 1000 unités résidentielles dans le secteur Ikea/Décathlon à Québec

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 5 octobre 2019 2 commentaires

Jean-Michel Genois-Gagnon
Journal de Québec

Afin d’optimiser ses actifs, le Fonds de placement immobilier
Cominar
envisage la construction de près de 10 000 unités résidentielles sur dix de ses sites commerciaux au Québec, dont la sortie de terre de six tours au Mail Champlain et trois dans la gare centrale de Montréal.

(…)

Parmi les autres sites analysés, en raison de la construction du tramway à Québec, Cominar souhaite ériger, à son développement commercial dans le secteur Duplessis à proximité des détaillants IKEA et Décathlon, 1000 unités résidentielles. D’autres possibilités sont aussi à l’étude, notamment la construction d’édifices pour le secteur industriel.

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Voir aussi : Arrondissement La Cité-Limoilou, Commercial, Condo, Densification, Logement locatif ou social.

Des projets de construction dans la région de Québec. Situation à l’automne 2019

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 3 octobre 2019 2 commentaires

Altus Québec

L’un des plus gros concessionnaires Nissan en Amérique du Nord

En octobre 2019, le plus grand concessionnaire Nissan au Canada et l’un des plus gros en Amérique du Nord prévoit ouvrir ses portes sur l’avenue Watt. C’est en effet depuis juin et avec un investissement de près de 16 M$ que Sainte-Foy Nissan, auparavant sur la rue John-Molson, se prépare à emménager sur le site de l’ancien centre de cueillette IKEA. Le bâtiment construit sur un terrain de 350 000 pieds carrés occupera dorénavant une superficie de 63 000 pieds carrés, soit trois fois plus que ses anciens locaux.

Le Nordet : 40 M$ à d’Estimauville

Le paysage du secteur d’Estimauville changera sous peu alors que trois nouveaux édifices sortiront de terre à l’intersection des rues Gabriel-Lajeunesse et des Cajuns dans un avenir très rapproché. Chacun comportera 66 unités réparties sur 6 étages et inclura un stationnement souterrain. Selon société immobilière Nordet, Ultima immobilier et le groupe Drolet Construction, le premier immeuble pourra accueillir des locataires dès juin 2020. Dans le cas des phases deux et trois, aucune date de livraison n’est encore précisée et la superficie des unités sera ajustée en fonction de la demande.

Nouvelle vocation pour le site de la Maison de Lauberivière en 2021

Suite au départ de la Maison Lauberivière, qui en 2021 quittera définitivement le 401, rue Saint-Paul pour emménager dans des locaux plus spacieux, un groupe d’investisseurs, qui a déboursé 2,6 M$ pour acquérir le bâtiment, souhaite donner un second souffle à l’un des coins de rue les plus reconnaissables de la ville de Québec. Des discussions sont présentement en cour avec la Ville afin d’obtenir un permis de « démolition partielle » de l’immeuble actuellement en place ainsi qu’un changement de zonage qui permettrait d’y ériger un hôtel.

Umano : projet de 900 M$ à Lévis

Situé à Lévis, près du campus de l’UQAR, à l’intersection des boulevards Étienne-Dallaire, Guillaume-Couture et Alphonse-Desjardins, le développement comprendra 7 phases et inclura des bâtiments commerciaux et près de 2500 unités résidentielles, des stationnements souterrains, ainsi qu’une résidence privée pour aînés. Une tour de 22 étages est notamment prévue sur le site, de même qu’une esplanade publique. À terme, le projet représente un investissement de 900 M$ pour Groupe CSB.

Projet de 200 M$ à l’intersection des boulevards Lebourgneuf et Pierre-Bertrand

C’est sur le terrain de 251 500 pieds carrés autrefois occupé par le Carrefour Chrétien que seront érigées les 800 unités d’habitations projetées par Habitations Trigone et ImDevCo qui souhaitent démarrer les travaux d’ici 6 mois. Six édifices sont prévus qui offriront des services tels que salle d’entrainement, cuisine communautaire et piscine. La hauteur des bâtiments n’est pas encore déterminée puisque le zonage actuel permet une hauteur de six étages, mais le promoteur souhaite obtenir une modification à ce chapitre.

Le Faubourg Saint-Bernard dans l’arrondissement Les Rivières

Le développement résidentiel projeté par David Duperron immobilier inc. sera situé à l’intersection du boulevard Henri-Bourassa et de l’avenue Chauveau, sur un terrain de 340 222 pieds carrés. Les deux édifices totaliseront, à terme, un investissement de près de 175 M$. Le premier, dont le chantier est prévu débuter dans les premiers mois de 2020, comportera une résidence pour retraités de près de 375 unités, une piscine, des locaux commerciaux, le tout réparti sur 8 étages, ainsi que 3 niveaux de stationnement souterrain. Le deuxième immeuble prévoit 170 condos locatifs répartis sur 6 étages et inclura également une piscine et un stationnement souterrain.

Bâtimo et Chartwell ont commencé cet été les travaux de construction de la nouvelle résidence pour personnes âgées de 90 M$ sur le boulevard Louis-XIV, où se trouvait anciennement le Jardin Hamel. Les 359 unités seront réparties sur les 6 étages d’un immeuble qui offrira également une salle à manger, un salon de coiffure, une salle de yoga, une piscine ainsi qu’une unité de service de soins évolutifs qui offrira plus d’encadrement. Les premières unités seront disponibles dès l’automne 2020.

Le site de l’ancien garage Bérubé se refait une beauté

Amiot Bergeron Architecture et le promoteur Gestion Casot proposent, en lieu et place de l’ancien garage Bérubé laissé à l’abandon, un concept harmonieux, en retrait de la rue, comportant une cour intérieure, une terrasse sur le toit, une coursive, 78 stationnements intérieurs, une toiture végétale. Le projet inclura 76 unités d’habitation, dont 9 maisons de ville sur deux étages et un local commercial au rez-de-chaussée.

L’ancienne quincaillerie Cantin fait place à 100 unités d’habitations locatives

C’est depuis 2013 que Synchro immobilier prévoit ériger un immeuble à logement de 6 étages sur le site situé rue Saint-Vallier Est à l’angle de la rue Horatio-Nelson. Le complexe d’environ 18 M$ baptisé Le Gecko et dont la livraison est prévue pour juin 2020, comprendra 85 appartements locatifs, allant du studio au 5½, ainsi qu’un stationnement souterrain de 42 places.

Un développement résidentiel de 100 M$ respectueux de l’environnement

Si les pourparlers vont bon train avec la Ville de Québec, le site de 164 974 mètres carrés, situé entre la rue du Grand-Bourg et la route de l’Aéroport, pourrait accueillir une centaine d’habitations résidentielles dans un avenir rapproché. En effet, l’entreprise Les Contemporains Val-Bélair qui en est l’acquéreur, souhaite réaliser un développement écologique en conservant 40 % des espaces verts, en utilisant des matériaux durables, en installant des luminaires à énergie solaire dans les rues et un système de rétention des eaux pluviales sur chaque terrain ainsi qu’en offrant un environnement faisant la part belle aux piétons et cyclistes.

50 logements locatifs près de la rivière Saint-Charles

Les résidents du secteur du pont Drouin auront bientôt une tout autre vue que celle laissée par le trou béant sur le site du 445, 1re Avenue. En effet, Synchro Immobilier, qui est propriétaire du terrain depuis 2018, a déposé son projet auprès de la Commission d’urbanisme et souhaiterait débuter les travaux de construction de l’immeuble de 5 étages dès octobre 2019.

Le Saint-Sô

Société en commandite 508, Saint-Vallier a choisi le site de l’ancien concessionnaire DYL Auto pour ériger son immeuble de 4 étages. Les 90 unités auront accès à un ascenseur et à un commerce de proximité au rez-de-chaussée. La livraison est prévue pour avril 2020.

Groupe Mach

Groupe Mach souhaite ériger un développement immobilier mixte entre les rues Senezergues et de la Chevrotière. Le projet représentant 23 M$ prévoit la démolition des deux édifices abritant l’ancien Pub Ozone et le Second Cup sur la Grande Allée.

Transactions majeures depuis avril 2019 dans la région

3111, avenue Watt – commercial (30 avril 2019 / 9 M$)
2900, ch. des Quatre-Bourgeois – commercial (21 mai 2019 / 5,7 M$)
2202, rue MacKay – multirésidentiel (22 mai 2019 / 11 M$
3231, chemin Sainte-Foy – multirésidentiel (13 juin 2019 / 5,5 M$
Hôtel PUR Québec – hôtel (14 juin 2019 / 10,3 M$)
3640-3650, rue Lanthier – multirésidentiel (17 juin 2019 / 6,8 M$)
1348-1352, boul. des Chutes – commercial (2 juillet 2019 / 9,9 M$)
2430, rue Évangéline – multirésidentiel (11 juillet 2019 / 8,7 M$)
870, chemin Olivier – commercial (19 juillet 2019 / 6,7 M$)
1 033 215, boul. Lebourgneuf – terrain (23 juillet 2019 / 8,5 M$)
68-68½, rue Saint-Louis – hôtel (31 juillet 2019 / 8,1 M$)
835, boul. Pierre-Bertrand – industriel (1er août 2019 / 8 M$)
6 037 088, boul Étienne-Dallaire – terrain (4 août 2019 / 5,9 M$)
550, boul. Laflèche – commercial (22 août 2019 / 5,2 M$)
RPA de 90 M$ à Charlesbourg

Voir aussi : Commercial, Institutionnel, Logement locatif ou social, Publications & ressources Internet, Québec La cité.

L’immobilier commercial se porte bien à Québec

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 27 septembre 2019 2 commentaires

Julie Roy
La Presse

Les travaux vont bon train pour Medicago

Débutés il y a un an, les travaux de construction du complexe de Medicago se déroulent rondement. « Nous sommes dans les temps », souligne Jean-Luc Martre, vice-président exécutif chez Medicago. Le projet de 245 millions de dollars comprend le siège social, un centre de recherche et de développement ainsi qu’une usine pour produire des vaccins commerciaux. Le début de la production est prévu pour 2023 et devrait permettre la mise en marché de 40 à 50 millions de doses contre la grippe saisonnière. Medicago avait fait le choix de s’installer à Québec après un appel d’offres international. La main-d’œuvre hautement qualifiée, les infrastructures de recherche et les conditions économiques favorables avaient fait pencher la balance en faveur de la capitale.
775 millions pour le Terminal Laurentia

Anciennement nommé Beauport 2020, le projet du terminal de conteneurs du Port de Québec a de nouveaux alliés avec Hutchison Port, le plus grand opérateur de terminal au monde, présent dans 27 pays, et le Canadien National. « Notre but est de concurrencer les ports de New York et de la Virginie pour avoir accès au marché du Midwest américain », explique Mario Girard, président-directeur général du Port de Québec. L’arrivée de ces nouveaux partenaires a fait augmenter la valeur de l’investissement à 775 millions. La première pelletée de terre ne sera toutefois pas pour tout de suite puisque le projet est encore à l’étape de l’évaluation environnementale. En tout, 15 ministères, tant provinciaux que fédéraux, travaillent sur ce dossier.

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Voir aussi : Commercial.