Québec Urbain

L’Urbanisme de la ville de Québec en version carnet…


Archives pour la catégorie « Commercial »

Gros projet sur Grande Allée

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 23 février 2019 Commentaires fermés sur Gros projet sur Grande Allée

Jean-François Racine
Journal de Québec
TVA Nouvelles

Le Groupe Mach pourrait investir des dizaines de millions de dollars.

Un projet d’investissement de plusieurs dizaines de millions de dollars est sur la table à dessin dans le secteur de Grande Allée.

Le Groupe Mach est désormais propriétaire de tout un important quadrilatère entre les rues Senezergues et de la Chevrotière.

Cet espace inclut le Pub Ozone ainsi que le stationnement extérieur de la rue Berthelot, à l’arrière. Le bar n’est pas visé par le développement.

Selon TVA Nouvelles, la société envisage de construire un stationnement à étages, de même qu’une zone commerciale avec boutiques, services et aire de restauration. À terme, cette densification devrait réjouir les commerçants voisins, alors qu’une partie de la clientèle migre vers Saint-Roch et Limoilou. Les taxes et le prix des loyers ont souvent fait la manchette au cours de la dernière année.

Du développement

Aucun échéancier n’est encore disponible, mais la société en expansion devra respecter les règles en vigueur dans le secteur, tout comme le plan d’urbanisme.

Le Groupe Mach possède plusieurs édifices sur la Grande Allée, notamment le 560 (2 étages), le 566 (3 étages) et le 580 (6 étages), qui sont situés devant le Maurice Night Club et l’hôtel Le Concorde.
En 2015, la société est devenue un chef de file dans le domaine de l’immobilier à Québec avec l’achat d’édifices pour un peu plus de 100 millions $.

En 2013, Le Groupe Mach avait annoncé la réalisation d’une transaction immobilière en faisant l’acquisition, auprès du Fonds immobilier de solidarité FTQ, de six immeubles de bureaux et d’un immeuble mixte à vocation résidentielle et commerciale. Six des édifices acquis à l’époque par le Groupe Mach sont situés à Québec, le septième à Montréal.

Portefeuille varié

Le Groupe Mach, créé en 1999 par Vincent Chiara, propriétaire unique, détient un portefeuille très varié : immeubles de bureaux, commerciaux, industriels, résidentiels et institutionnels.
Son portefeuille immobilier comprend entre autres l’édifice Sun Life, la Tour CIBC, la tour de la Place Victoria, le site de la Maison Radio-Canada et l’Édifice Telus à Québec.

Ailleurs à Québec, la société détient officiellement l’Édifice 410 Charest (anciennement Mountain Equipment Co-op), ainsi que le stationnement souterrain du côté du jardin Jean-Paul L’Allier et des bâtiments situés au 701, rue Saint-Joseph, et au 750, boulevard Charest Est, le tout pour une valeur de 54,6 M$.

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Voir aussi : Arrondissement La Cité-Limoilou, Commercial.

Un édifice «phare» dans Saint-Roch: Le Pied-à-terre

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 17 février 2019 18 commentaires

Jean-Luc Lavallée
Journal de Québec

La construction d’un édifice «phare» de 10 étages, qui changera radicalement l’entrée ouest du quartier Saint-Roch, pourrait débuter d’ici fin de l’année, espère le promoteur GM Développement.

Initialement surnommé «Le Cobalt», l’édifice sera finalement baptisé «Le Pied-à-terre», a appris Le Journal, et n’aura qu’une seule vocation, celle de condo-hôtel. L’immeuble au design singulier sera érigé sur le terrain en pointe d’une ancienne station-service au carrefour des boulevards Charest et Langelier puis de la rue Saint-Vallier Est. Il comptera 105 unités sur dix étages, avec un stationnement souterrain de trois étages.

Même si le mot «commerce» apparaît toujours au rez-de-chaussée sur les esquisses, il n’y en aura pas, nous a-t-on confirmé. Les promoteurs comptent finalement utiliser cet espace pour aménager des salles qui pourront accueillir des évènements corporatifs.

«Le projet a évolué avec le temps. C’est un condo-hôtel à 100 % maintenant. Il n’y a rien en lien avec du Airbnb. La réception va être organisée, les équipes de ménage vont être sur place. Pour le voisinage, c’est purement un hôtel qui s’en va là. Il faut vraiment le présenter comme le nouveau super-hôtel à l’entrée de Saint-Roch», a fait savoir Luc Guillot, associé chez Mallette, qui a été mandaté par GM Développement afin de monter le plan d’affaires.

(…)

Quant au permis de construction de la Ville de Québec, M. Guillot s’est dit confiant, en entrevue, de l’obtenir prochainement. Il ne reste selon lui que des «détails» à régler. Les plans présentés à la Ville respectent le zonage et la hauteur maximale prévue dans le secteur.

«On s’est assurés que l’intégration du bâtiment soit la plus harmonieuse possible avec son environnement immédiat. À l’entrée du centre-ville de Québec, ça prenait un bâtiment phare.»

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Un billet précédent ainsi que ce billet de 2015

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D’Estimauville : Labeaume veut 100 M$ et exproprier une partie de la White Birch

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 5 février 2019 14 commentaires

Radio-Canada
Québec

La Ville de Québec souhaite transformer le secteur D’Estimauville en vaste zone d’innovation technologique. Pour réaliser son projet qui s’étendrait sur l’équivalent de 100 terrains de football, le maire prévient qu’il y aura des expropriations.

L’administration Labeaume souhaite notamment mettre la main sur une partie du terrain de l’usine Papiers White Birch.

« Je ne sais pas combien de temps White Birch va durer, mais il y aurait moyen de réaménager le terrain. Il y a trois bassins de décantation, mais ils ne les utilisent pas tous les trois. Ça peut se déménager », explique le maire de Québec.

La Ville compte aussi demander le déménagement d’entreprises comme AIM et Glassine. Le dépôt à neige du secteur D’Estimauville et le garage municipal seraient aussi appelés à disparaître.

Le processus pourrait prendre du temps. Il faudrait négocier avec les entreprises visées, qui n’ont pas encore été informées du projet. Régis Labeaume soutient également qu’une loi devrait être adoptée par le gouvernement Legault pour faciliter les expropriations.

Projet sur 10 ans

Le projet vise à favoriser, d’ici 10 ans, l’implantation de laboratoires et d’entreprises dans les secteurs des sciences de la vie, des activités logistiques et des technologies propres.

Le maire a présenté son projet au premier ministre François Legault. Pour la première phase du projet, la Ville de Québec demande au provincial d’investir 100 millions de dollars qui serviraient surtout à décontaminer des sols.

« C’est un projet avec un impact immense. Tu changes carrément la basse-ville avec ce projet-là, mais dramatiquement. C’est un projet immense pour une ville. On n’a pas vu ça depuis très longtemps », soutient Régis Labeaume.

Création de milliers d’emplois

À terme, l’administration Labeaume estime pouvoir attirer 280 entreprises technologiques. Le projet créerait 15 000 emplois et apporterait un milliard de dollars par année en salaires, selon la Ville.

Le maire souligne qu’aucun citoyen ne sera exproprié.

« L’objectif, c’est impact zéro pour tous les gens de Limoilou, du bas Giffard aussi. En expropriant des industries, on veut faire en sorte que l’environnement deviennne sain », affirme Régis Labeaume.

Le gouvernement n’a pas encore donné son appui au projet.

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Voir aussi : Arrondissement Beauport, Commercial.

Si on poussait le rêve un peu plus loin

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 5 février 2019 Commentaires fermés sur Si on poussait le rêve un peu plus loin

François Bourque
Le Soleil

CHRONIQUE / Les terrains industriels dévitalisés ou en fin de vie du secteur de l’estuaire de la rivière Saint-Charles offrent à Québec l’occasion de se projeter avec audace dans le nouveau siècle.
Il y a là, à la rencontre de la rivière, du fleuve et du centre-ville historique, un potentiel urbain insoupçonné. Une possibilité de transformer ce no man’s land ingrat et lourdement contaminé en un quartier exemplaire pour vivre et travailler.

L’administration Labeaume vient de franchir un premier pas intéressant avec cette idée d’un «Littoral Est» consacré à l’innovation et à l’incubation d’entreprises des sciences de la vie et des technologies vertes.

Cette vision est encore embryonnaire, un peu timide, et très centrée sur l’argumentaire économique, mais elle a le mérite de lancer une réflexion pertinente.

On note aussi l’habileté de l’administration à vouloir inscrire ce projet de rénovation urbaine dans le Projet Saint-Laurent de François Legault.

Cela fera plaisir au chef du nouveau gouvernement dont le livre-essai Cap sur un Québec gagnant : le Projet Saint-Laurent lancé en 2013, n’avait pas en à ce jour un gros tirant d’eau. Que la capitale s’intéresse au bébé du premier ministre sera bien vu j’imagine.

De façon plus prosaïque, l’administration Labeaume a vu dans ce Projet Saint-Laurent une possibilité d’obtenir de l’aide pour financer la décontamination de terrains qui rapporteront un jour des taxes à la ville.

C’est de toute façon une bonne idée d’essayer de récupérer des terrains sous-utilisés du centre-ville. Ceux-ci sont faciles à desservir par les services publics et cela évite d’aller empiéter sur des espaces de la périphérie.

Là où j’ai plus de misère à suivre, c’est lorsque la Ville célèbre le projet d’agrandissement du Port et en fait un des moteurs du «Littoral Est».

On dit vouloir tourner la page sur la vocation industrielle du secteur mais on renforce cette vocation par le prolongement d’un quai susceptible d’accroître les activités de transbordement.

Si le Port gagne son pari et trouve un jour des clients pour son projet, il y aura davantage de transport de marchandise dans le quartier. Ce n’est pas très cohérent ni compatible avec l’objectif d’un développement vert pour le secteur.

Sans parler de l’impact de ces nouvelles activités portuaires sur la baie de Beauport.

La Ville souhaite prolonger la promenade Samuel-De Champlain vers l’Est pour redonner aux citoyens l’accès au fleuve. Mais elle appuie un projet qui va restreindre l’accès au paysage du fleuve et de la ville depuis la plage de la batture.

Cela non plus n’est pas très cohérent ni compatible avec l’objectif qu’on dit poursuivre.

Il faut retourner aux récents travaux de fin d’étude de deux étudiants de l’Université Laval, Charles Gosselin-Giguère et Simon Parent, pour prendre toute la mesure du potentiel (et de la timidité) du concept de «Littoral Est» lancé par la Ville.

Ces étudiants à la «double maîtrise» en architecture et design urbain ont développé l’automne dernier une vision de transformation urbaine qui cible ce même secteur industriel de Limoilou et de l’embouchure de la rivière Saint-Charles.

Le Soleil y avait alors fait écho.

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Place Ste-Foy est à vendre

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 12 janvier 2019 3 commentaires

Source : Pierre Couture, TVA Nouvelles, le 12 janvier 2019

Le bras immobilier de la Caisse de dépôt et placement, Ivanhoé Cambridge, a récemment mis en vente discrètement sa participation dans 10 centres commerciaux au pays, dont Place Sainte-Foy à Québec.
Plusieurs sources ont indiqué au «Journal» que la filiale de la Caisse, Ivanhoé Cambridge, cherchait maintenant à diminuer son risque immobilier dans le secteur commercial alors que le secteur du commerce au détail est en pleine transformation.
Ivanhoé Cambridge détient au Canada une vingtaine de centres commerciaux dits de destination, dont la vente moyenne au pied carré avait atteint en 2017 les 800$.

Selon le quotidien «Globe and Mail» de Toronto, le courtier immobilier CBRE et la Banque Royale du Canada ont été embauchés pour mettre en marche le processus de vente de dix centres commerciaux d’Ivanhoé Cambridge.

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Actualités sur Québec Urbain concernant Place Ste-Foy

Voir aussi : Arrondissement Ste-Foy / Sillery / Cap-Rouge, Commercial.

Coup d’oeil sur quatre magasins centenaires de Québec

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 6 janvier 2019 1 commentaire

Alice Chiche
Radio-Canada
Québec

Au gré de balades dans la ville de Québec, on passe parfois devant certains magasins sans pour autant connaître leur histoire, qui peut remonter à plusieurs décennies. Regard sur quatre commerces qui ont tous déjà soufflé leurs 100 bougies.

L’épicerie J.A. Moisan : dans une machine à remonter le temps. Le bâtiment situé au 699 de la rue Saint-Jean a été construit en 1871. Le capitaine John Dick, chef du port de l’anse au Foulon de Québec, en est alors le propriétaire. C’est quelques années après que Jean-Alfred Moisan fait l’acquisition de l’immeuble, transformant le premier étage en une épicerie réputée.

(…)

Brûlerie Rousseau : le savoir-faire de la torréfaction. Établie en 1867, la Brûlerie Rousseau a longtemps occupé la seule place sur la scène du café à Québec. Lorsque Jean-Baptiste Rousseau a lancé son entreprise, c’était du thé qui embaumait ses succursales répondant au nom de Rousseau T! T! T!. Il faut attendre 1889 pour que le propriétaire décide de se tourner vers le café, et 1938 pour que l’entreprise torréfie ses grains sur place.

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Voir aussi : Commercial, Histoire.

Un marché alimentaire dans l’ancien MEC de Saint-Roch

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 21 décembre 2018 2 commentaires

Source : Diane Tremblay, Le Journal de Québec (20 décembre 2018)

Les astres sont alignés pour la venue d’un nouveau supermarché dans Saint-Roch. Le Groupe Mach a confirmé que des négociations sérieuses sont en cours à ce sujet. 

Le Groupe Mach est officiellement devenu propriétaire hier de l’Édifice 410 Charest, ainsi que du stationnement souterrain du côté du jardin Jean-Paul L’Allier et des bâtiments situés au 701, rue St-Joseph, et au 750, boulevard Charest Est, le tout pour une valeur de 54,6 M$. 

Le local situé au rez-de-chaussée du 410 Charest Est était resté vacant depuis le départ de Mountain Equipment Co-op (MEC), au printemps 2017. 

Il semblerait maintenant qu’un nouveau locataire soit sur le point de prendre possession des lieux.

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Voir aussi : Arrondissement La Cité - St-Roch, Commercial.

Feu vert pour Le Phare

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 18 décembre 2018 Commentaires fermés sur Feu vert pour Le Phare

Louise Boisvert
Radio-Canada

Les élus de la Ville de Québec ont adopté à majorité le règlement qui premet la réalisation du projet immobilier Le Phare. Cinq conseillers de l’opposition ont voté contre.

La Ville a franchi une nouvelle étape dans le dossier du projet immobilier le Phare. Lundi, les élus ont adopté le règlement qui permet au projet de voir le jour sans être soumis au processus référendaire.

La Ville a toutefois apporté une modification au règlement. Elle exige du promoteur qu’il termine les travaux d’aménagement d’un pôle d’échange souterrain pour le projet de réseau structurant, avant le 1er janvier 2022.

L’objectif est de s’assurer que le promoteur, le Groupe Dallaire, procède en priorité à ces aménagements pour ne pas retarder l’échéancier du projet de la Ville de Québec.

« Dans le respect de la qualité de vie des citoyens du secteur, je ne peux pas accepter le projet de règlement », s’est exprimé le conseiller indépendant, Yvon Bussières.

Québec 21 et Démocratie Québec ont aussi voté contre le projet de règlement.

Dernière tentative des citoyens

Quelques citoyens ont pris la parole pour convaincre la Ville de retarder le projet pour reprendre le processus de consultation publique depuis le début. « Le projet gagnerait en pertinence et en acceptabilité sociale » a déclaré Huguette Lépine, ancienne présidente du conseil de quartier Saint-Louis.

Une pétition de 2000 signatures a aussi été déposée au conseil.

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Voir aussi : Arrondissement Ste-Foy / Sillery / Cap-Rouge, Commercial, Condo, Logement locatif ou social, Projet - Le Phare de Québec.

Trudel Alliance poursuit ses emplettes sur le boulevard Wilfrid-Hamel

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 5 décembre 2018 4 commentaires

Jean-Michel Genois-Gagnon
Le Soleil

Trudel Alliance a la dalle. Le promoteur immobilier poursuit ses emplettes et met le grappin sur le centre commercial qui héberge l’enseigne Pizza Royal au coin de la rue Marie-de-l’Incarnation et du boulevard Wilfrid-Hamel. Un investissement de 6,25 millions $.

Il s’agit d’une quatrième propriété d’envergure pour les frères Trudel sur le boulevard Wilfrid-Hamel. La compagnie détient également le centre commercial Fleur de Lys, ainsi que les adresses 1950 et 5050. Cette dernière compte, entre autres, comme locataire le restaurant Le Rascal.

Pour l’heure, aucun projet d’agrandissement ou de rénovation ne figure dans les plans des promoteurs pour leur dernière acquisition. Elle est située au 623, boulevard Wilfrid-Hamel. Cette transaction s’inscrit dans le plan de l’entreprise qui souhaite «redynamiser» ce secteur au cours des prochaines années.

«Nous avons acheté l’établissement, car il cadre très bien dans notre stratégie d’affaires. On vise toujours atteindre le milliard de dollars d’actifs privés», note au Soleil Jonathan Trudel, vice-président exécutif. «On croit beaucoup en cette artère. On pense qu’il va s’agir d’un excellent endroit pour réaliser au cours des prochaines années du développement immobilier», poursuit-il.

La transaction pour le centre commercial qui compte une dizaine de locataires, dont une pharmacie Jean Coutu, un magasin Betonel et une succursale de la Banque Nationale, a été officialisée vendredi dernier.

«C’est un immeuble qui bénéficie d’une très belle visibilité en raison de son emplacement. Il y a aussi des locataires de qualité», dit M. Trudel.

Dans une autre transaction, également signée au cours des derniers jours, les frangins Trudel ont acheté pour 345 000 $ un autre édifice situé à proximité de leur site du 1950, boulevard Wilfrid-Hamel.

Pour le moment, la direction demeure avare de commentaires sur ses projets pour le secteur. Pour le terrain de 300 000 pieds carrés, à proximité de l’autoroute Robert-Bourassa (1950), plusieurs options sont sur la table notamment la construction d’édifices commerciaux et de bureaux. C’est aussi le cas pour le site de Fleur de lys.

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Voir aussi : Arrondissement La Cité-Limoilou, Commercial.